NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Uriel rougit .

Ma Dame ...
Il faudra aussi vous trouver une demeure par la meme occasion, vous ne pouvez rester indefiniment à l auberge ....

Uriel regarda les etales il remarqua une somptueuse etoffe verte emeraude .

lls s approchèrent tout deux du marchand .

Que pensez vous de cette etoffe ? je la trouve magnifique ... la couleur vous va à ravir ....
peut etre pourrez vous vous en faire une robe ...

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Elle est magnifique Messire Uriel.

Anne touche l'étoffe et apprécie la douceur .

Oui je pourrait m'en faire une belle robe.

Mais pour la demeure c'est la votre en priorité,
L'auberge me convient pour l'instant.

Et ,je pourrait vous rendre visite comme cela.

Son regard se porte sur Uriel et lui sourit

Bien je vous en fait donc cadeau .

Pour feter ma nommination en temps que comte et pour vous remercier de m avoir suivi à jusqu à paris !

ils remercièrent tout deux le marchand et partirent un peu plus loin ...

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Je vous remercie Messire Uriel.
Cette étoffe est magnifique.

Dite moi, votre demeure c'est le palais maintenant.
Vous pourriez me le faire visitée...

A moins que cela vous dérange, ou que vous ne vous êtes pas encore installer...

Anne lui pris le bras pour le suivre. Elle aimait être en sa compagnie.

Je vous l' aurais fait decourvrir avec plaisir ... Mais je ne connais pas encore très bien les lieux ... la seule piece que je connais bien, c est mon bureau

Uriel rit ...

Mais c' est avec plaisir que je le decouvrirai avec vous ...

Mais j' y pense ....

Que diriez vous d' y habiter ?

Il y a plusieur chambre vous savez, et ce serait pour moi un réel plaisir de pouvoir vous admirer tout les jours ... au bon matin comme au soupet ...

Uriel regarda Anne plein d espoir ...

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Mais je ne voudrais point vous gener.

Cependant ,J'accepte volontier votre offre.
Je resterais discrete , je ne veut pas vous déranger si vous aviez de la visite.

Au matin,je ne pense pas que vous apprécierez ma vision.

Anne le regarde.

Faite moi donc visitez que je puisse choisir ma chambre.
Aprés , je retournerais chercher les quelques affaires qui sont rester dans l'auberge.

Uriel fut empli de joie.

Ma Dame , vous me comblez !

Votre vision que ce soit à l aube ou à l aurore ne peut que m' eblouire ...

Pressons nous de rejoindre le palais ...
J ai hate de vous montrer les chambres !

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Alors ,je vous suit Messire Uriel .

Vous connaissez surement mieux que moi les rues qui y conduisent.
Et j'ai hâte de voir votre demeure.

Anne lui repris le bras, et ils avancent vers le palais.

Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 01/12/2007

Organza s'était réveillée tard ce matin là. Surement la fatigue du voyage! Mais elle avait bien dormie, d'une seule traite et se sont les rayons du soleil et le chant d'un coq au loin qui l'avaient réveillée.
Elle était partie de la taverne après avoir fait un brin de toilette, sans oublier avant de passer à l'écurie pour voir son fidèle compagnon. Elle lui avait mis de la paille fraiche, rempli son auge d'eau claire et l'avait brossé.

Puis elle pris les ruelles au hazard, bien décidée à visiter la ville et savoir s'y repérer.

Il y avait peu de personnes, et c'était compréhensible car il faisait très froid en cette belle journée d'hiver. Lle ciel était bien bleu, mais il y avait une petite bise glaciale qui mettait de la couleur aux joues et le soleil n'arrivait plus à réchauffer la terre.
Mais peu importait pour Organza, il était temps pour elle de visiter les lieux et bien emmitoufler sous sa cape épaisse, elle se promenait tranquillement.
Elle croisa quelques enfants qui la bousculèrent en riant, et elle se mit à rire avec eux gaiement.
Il était bon de rire!

Tout en se promenant, elle prenait des repères, une fontaine, une place, un groupe d'arbre...

voila dame rosa nous y somme voici une rue charmante,on y trouve beaucoup de magasins appartenant aux commercant vendant sur le marché c'est ici qu'il créer pour le meunier,le charpentier,ebeniste et j'en passe.

dja54 expliqua a dame rosa les rouages des rues de paris,toute en tirant ses les reines il lui disa :

comme vous voyer les rues sont très étroite,il est clair qu'un carrosse ne passe pas ici on peut tous juste i faire passer un cheval
n'es pas spike?

dja54 se retourna furtivement vers dame rosa est lui fit un clin d'oeil,ensemble ils continuerent leur visite .

Nombre de messages : 74 Ville : Paris Date d'inscription : 10/12/2007

Rosana était emerveillé par tout ce quelle voyait. Des couleurs vives des personnes affairer a leur taches et de la lumiere de la vie des sourire

Que c ets beau et il y a beaucoup de monde !!!!! je ne vous remercierais jamais assez du plaisir que vous me procurer !!!!!

Rosana etait intarrissable de questions de toute sortes . Elle sourit a Dja54 et flatta sa monture sage dans ses rues si etroite

vous inquieter pas dame rosa,spike et le plus gentil des cheval tete de mule mais gentil .

dja54 fesait la visite des rues de paris a dame rosa lui expliquer ses fonctionnement,ses regles,les endroits ou il etait bon de faire des affaires ....

nous allons bientot déboucher dans le marché dame rosa
mais au marché sont interdit les chevaux,et donc nous devons laisser spike au coin de cette rue .
vous inquitter pas on viendra le recuperer !!!!!!!!!

dja54 se dirigea avec son fidele compagnon et dame rosa a l'angle de la rue
quand il fut arrivé il attacha son cheval a un poteau et aida dame rosa a descendre
tout deux marcherent alors vers le marché ............

Nombre de messages : 74 Ville : Paris Date d'inscription : 10/12/2007

Rosa était tout aussi emerveillée sur la place du marché .
Mille couleur devant les yeux et mille parfum vinrent lui chatouillé les narines. Les odeurs de fruits , legumes, de cuisine , d épice , de bois et bien d atres encore.

Elle sourit a compagnon de visite et revint aux marché ou tout l attirait comme un papillon vis a vis d une lumiere.

Il y a du monde c ets l heure des courses et il y a un grand choix ................

Votre cheval est patient et il est merveilleusement dressé!!!!!!!!!!!!!!

Merci de prendre du temp pour moi !!!!!!!!!!!!!!!!!!

dja54 passa avec son cheval dans chaque rues de paris et d'une grosse voix portante il annonca .............

oyé,oyé

avis a la population
il y a réapprovisionement de pains au marché

oyé,oyé
Avis a la population
il y a réapprovisionement de pains au marché

oyé,oyé
Avis a la population
il y a réapprovisionement de pains au marché

dja54 répetta son annonce plusieurs fois,afin que la population soit bien au courant ,,,,,,,,,

Nombre de messages : 65 Date d'inscription : 12/01/2008

Soyoun se promenait de bon matin dans les rues de Paris. Il venait d'arriver de Reims. Il était gonflé d'ambition, de volonté de faire fortune et de rêves plein la tête.

dja54 trotant sur son chaval et parchemin a la main passait dans les rues de paris afin d'annoncer des changements .
a l'aide de sa grosse voix il déclara :

oyé,oyé peuple de paris !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

en raison d'un déficite dans les caisses de notre ville,je vous annonce a tous que le prix du pain va etre augmenter.
moi et tout les conseillers de la ville ainsi que notre comte s'attellons tous a la tache .
merci

c'est alors que lorque dja54 lisez son parchemin,une pauvre paysane vinre a sa rencontre et lui agrippa le pied avec c'est main et lui disa :

comment allons-nous survivre monseigneur?

dja54 vit bien qu'elle etait très inquiéte alors il la regarda et lui fit un sourire puis continua son chemain rappelant a chaque coin de rue la missive qui etait ecrit sur son parchemin .

Nombre de messages : 65 Date d'inscription : 12/01/2008

A l'annonce de l'augmentation du prix du pain Soyoun fronça les sourcils. Ceci ne correspondait pas avec l'idée qu'il se faisait de la vie parisienne. le pain, denrée obligatoire allait devenir inabordable et ça n'allait pas faciliter ses affaires.

Ce matin là, Akron décida de trainer les pattes avant de se rendre à la mine. Sa vie paysanne lui manquait quelques peu déjà. Surtout en cette saison le samedi matin n'était pas vraiment traumatisant : se lever aux aurores certes pour nourrir les cochons, mais ensuite il se serait rendu dans la taverne où chez l'ancien. Les hommes abbataient joyeusement les bêtes en dévisant de choses et d'autres, les vidaient, pendant ce temps les femmes préparaient le potages commun, accompagné comme il se devait de la sauce cameline et tout le hameau prenait le repas en commun.
Ici les choses étaient différentes. Il ne connaissait personne, où presque, les habitant fonçaient tête baissée vers des destinations qu'eux seuls connaissaient. Il se nourissait sur le pouce de denrées achetées au marché, bien souvent une simple miche de pain.
C'était décidé, aujoud'hui il n'irait pas travailler. Il flanerait dans les rues, prenant le temps de vivre. Il fallait aussi qu'il trouve l'église, demain étant jour de messe. Les mains dans les poches, maintenant son rythme paysan dans la capitale; Akron commenca sa ballade, se faisant percuter par moment par des citadins tous plus énervés les uns que les autres.

Nombre de messages : 65 Date d'inscription : 12/01/2008

Soyoun marchait vite, regardant à peine devant lui, il bousculait certains passants. Son esprit était préoccupé car ses affaires n'étaient pas assez rentables. Les maigres recettes, arrivaient à peine à couvrir ses dépenses, la vie parisienne n'était pas aussi facile qu'il lui semblait.

Comment faire pour gagner plus ? Il avait déjà essayé de travailler plus, mais ça ne marchait pas vraiment comme ça, les journées ne duraient pas assez longtemps pour faire tout ce qu'il devait faire...

Avant de quitter la taverne, Leane s'était excusée quelques minutes auprès de Lomax. Elle avait regagné sa chambre afin de soulever la fameuse lame de plancher qui renfermait son "trésor". Elle préféré emporter la bourse au cas où elle ne revienne pas ici. L'aubergiste étant de plus en plus désagréable, il était temps pour la jeune gueuse de trouver la maisonnette.
Qui sait avec un peu de chance...
Elle redescendit rejoindre le jeune homme et ensemble, ils quittèrent la Rose Blanche.
Les rues étaient plutôt calmes, ils croisaient de rares personnes, sans doute la fraicheur de l'hiver en était la cause. Une brise s'éleva, la vagabonde frémit et resserra son vieux châle sur ses épaules.
Ils marchaient côte à côte, silencieusement, peut-être intimidés, peut-être ne voulant pas interrompre le calme, peut-être chacun perdu dans ses pensées.
A bien y réfléchir, Leane ne savait pas vraiment où conduire Lomax. Que connaissait-elle de Paris, si ce n'était le parvis de l'église sur lequel elle faisait la manche, ou son misérable cachot qui l'avait abritée quelques jours.
Pour la première fois depuis son arrivée à Paris, elle ressentait une certaine gêne, car en plus de ne savoir ni lire, ni écrire, voilà maintenant qu'elle était incapable de guider qui que ce soit dans les dédales de la ville. Elle n'allait quand même pas l'emener sous les ponts de bois qui surplombaient la Seine....
La jeune femme se mordit la lèvre et soupira, essayant de retrouver son habituelle constance.
Elle tenta d'esquisser un sourire.

Y a t-il quelque chose que vous aimeriez voir?

Lomax marchait désormais dans les rues de Paris avec Leane. Il se laissait volontiers guider, car il ne connaissait rien de cette ville mise à part une auberge dans laquelle il avait trouvé logement.
De doux rayons de soleils passaient au travers des nuages, venant frapper le visage fragile de la demoiselle, mettant un peu plus en exergue son coté mystérieux.

La regarder ainsi, cela l'intimida quelque peu, aussi préféra-t-il garder le silence. La ville de Paris s'y prêtait bien, et il ne trouvait pas quoi dire d'intéressant. Il avait passé sa jeunesse enfermé dans une école, ses parents souhaitant un faire un brillant étudiant...

Chemin faisant, alors que leurs regards se croisèrent une fois encore, Leane l'interpella :

Y a t-il quelque chose que vous aimeriez voir ?, lui demanda-t-elle.

Il chercha ses mots, car la question fut bien soudaine, et il n'y avait pas réfléchi. Il balbutia des bruits plus que des paroles, puis finalement une idée lui vint :

J'ai entendu parler de jolis jardins qui orneraient cette ville, il en existerait plusieurs. En connaîtriez-vous certains ?

En réalité, l'avoir à ses côtés était déjà quelque chose de très plaisant pour lui. Peu importe ce qu'elle lui montrerait, tant qu'il passerait de nouveaux moments ensemble. Il ne la connaissait pas, mais était inexorablement attiré par elle. Il ne savait pas comment lui dire, et se sentit gêné à chaque fois que ses yeux croisaient les siens...

Nombre de messages : 136 Voie : Justice Date d'inscription : 10/12/2007

Julie sortait de sa maison et fut agréablement surprise par la douceur de l'air ce jour. Elle empreinta la ruelle qui longeait son jardin en direction du marché. On entendait au loin les marchands crier et venter leurs produits. Elle tourna le coin de la ruelle et vit arriver, en face d'elle, Leane en charmante compagnie.

Dame Leane, bonjour. Messire.
Leane, pourriez vous passer me voir à mon bureau dans la journée, j'ai une proposition à vous faire.

Julie ne s'attarda pas et laissa Leane surprise au bras d'un charmant d'un jeune homme.
Elle traversa la place du marché, saluant tour à tour les marchands et quelques passants.
La jeune femme entra dans la mairie et rejoignit son bureau qu'elle rangea un peu.
Elle devait recevoir quelques villageois aujourd'hui.

Leane ne put s'empecher de rire lorsqu'il lui parla de jardins. Les jardins...elle connaissait forcément, ainsi que les ponts et le parvis de l'eglise. C'était ainsi pour chaque ville qu'elle avait traversé.

Il y en a un pas très loin d'ici, je vous y conduis. C'est un parc tout à fait charmant vous verrez.

Elle lui prit alors le bras et tourna dans une petite ruelle pour se trouver nez à nez avec Julie.

Madame le Maire, quel plai... La vagabonde fut aussitôt interrompue par une julie, semblant pressée qui lui demanda de se rendre à son bureau. Leane était sur le point de refuser mais Julie ne lui laissa ,pas le temps de répondre.

Lomax, je suis vraiment désolée, cela semble urgent.
Pouvons-nousremettre notre visite à plus tard?
Oh mais j'y pense, peut-être pourriez-vous m'accompagner et nous irons ensuite.

Leane se demandait bien ce que pouvait lui vouloir Julie. Elle essayait de se remémorer les faits de ses derniers jours mais ne voyait rien qui puisse lui porter préjudice.
A moins que... le garde de la prison avait peut-être été retrouvé mort.

Leane avait saisi Lomax par le bras, ce qui l'avait surpris sur le coup. Cependant, il n'en cacha pas son plaisir et tous deux partèrent vers un jardin que connaissait la damoiselle.

En chemin, ils rencontrèrent la mairesse, Dame Julie, qui sommait Leane de la rejoindre à la mairie. Leane ne pouvant refuser, elle s'excusa auprès de Lomax :

Lomax, je suis vraiment désolée, cela semble urgent.
Pouvons-nous remettre notre visite à plus tard ?
Oh mais j'y pense, peut-être pourriez-vous m'accompagner et nous irons ensuite.

Il n'eut pas le temps de répondre, que Leane le tirait déjà par le bras. Il se décida donc à la suivre puisque, de toute manière, il avait prévu de passer sa journée avec elle.
Il espérait simplement qu'il ne se passait rien de grave, car tous deux étant plus ou moins nouveaux ici, on ne savait à quoi s'attendre.

Je vous suis, Damoiselle Leane, je vous suis. J'espère simplement que cela ne durera pas trop longtemps, et que surtout, rien de grave ne se trame.

Leane avait retrouvé Lomax qui l'attendait devant le bureau du Maire.
Pardonnez-moi, j'espère ne pas avoir été trop longue...

Ils reprirent leur promenande dans les ruelles. Pendant qu'ils marchaient, la vagabonde lui expliqua le déroulement de l'entrevue et l'informa de sa décision.

A bien y réfléchir, je ne sais même pas ce qui m'a poussée à accepter. Peut-être simplement l'envie d'avoir un oeil au conseil et de faire entendre la voix des miséreux.
Cette façon à vouloir distinguer les "grands de ce monde" du petit peuple a le don de me mettre hors de moi. A croire que tous ces petits bourgeois ne pensent qu'à dénigrer les plus pauvres.
Enfin, je me suis retenue, chose plutôt rare, Julie me semble être une personne bien, je reste quand même sur mes gardes.

Ils arrivèrent enfin à l'entrée du parc. C'était le seul que Leane connaissait jusqu'à aujourd'hui pour y avoir passé une nuit.
C'était un jardin bien entretenu, peuplé d'un bon nombre d'arbutes, de quelques bancs, il reflétait le calme de la campagne.

Leane et Lomax allèrent s'asseoir sous un grand chêne. Un peu plus loin, quelques enfants jouaient avec des brindilles, au bord d'un ruisseau.

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