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Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Anne avait décider de découvrir Paris...Ville merveilleuse. Uriel lui en avait parler .Elle l'avait rejoind sur un coup de tête, elle voulais tout connaitre , croquer la vie a pleine dents .
Elle n'avait plus de nouvelle d'Uriel depuis leurs soirée a la taverne .

Elle enfile sa cape noir, passe la capuche sur sa tête.Elle était bien protéger comme cela. Anne se mis a sourire , heureuse de découvrir les secrets de Paris.

L'hivers arrivait a grand pas, l'air devenais vif.Les arbres avaient perdue leurs feuilles.

Les rues pavé étaient étroite.
Elle commence a parcourir les rues. Anne regarde émerveiller toute les maisons alignée.
Certaine étaient trés belle, d'autre plus simple.
Un jour ,elle auras une demeure a elle aussi.

Dans les rues, parmi la foule des badauds anonymes, dans le brouhahah des créatures nyctalopes, l'homme était perdu.
Soudain il vit une silhouette noire et svelte qui lui semblait bien familliaire.
Malgré sa capuche, la femme était aisément reconnaissable.
L'homme se dirigea vers elle d'un pas décidé.

- C'est bien vous Dame ? Que faîtes-vous à une heure si tardive dans les rues ? Cela n'est guère prudent.
Puis-je vous offrir mon bras pour cette ballade nocturne ?

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Anne regardais la foules , tout ce monde, elle en avait guerre l'habitude.Elle était émerveiller de voir Paris.

Un homme l'arrete , elle eue peur avant de reconnaitre l'homme en question.

Ha c'est vous Messire André...vous m'avez fait peur...
Je visite un peu Paris...je devait être accompagnée , mais hélas non.

Mais j'accepte volontier votre bras.

Anne lui pris le bras et le suit. non sans regarder l'homme qui l'accompagne. Elle ne le connait que depuis trés peu ,Anne se dit qu'elle devrais peu être plus prudente a l'avenir.

L'homme lui sourit aimablement, puis se pencha vers elle pour lui murmurer :

- Veuillez m'excuser pour hier soir, mais une affaire urgente m'a appelé et m'a malheureusement empêché de vous souhaiter la bonne soirée. Mes plus sincères excuses...

L'homme laissa échapper un long soupir.

- Je dois vous avouer que je me perds facilement dans les grandes villes. Où voulez-vous aller pour commencer ?

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Vos excuses son accepter Messire André.

Ou allez, cela est bien le probléme.
Je ne connait pas grand chose par ici.

Je vous laisse me conduire .Et puis visiter comme cela , on peu voir de belle demeure et qui sais en trouver a vendre.
Le marché aussi , les bords de Saine.Plein de chose quoi !!

Anne lui sourit .Elle était contente de tout voir, parcourir les rues.

- Vous pensez vous installez en achetant une demeure ? Je vous envie.
Pour le moment l'hostel me comble parfaitement.

Puis André demanda à un badaud, où se trouvait la place du marché. Dans un françois ignoble, celui-ci réussit à le lui indiquer, entre deux jurons. Sans même le remercier, l'homme se retournait vers Anne :

- Un petit tour au marché alors ? Et je dois vous le dire, mon ventre crie famine. On pourra nous y sustenter quelque peu.

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Ho ,non !! Je ne compte pas acheter, cela serais bien trop chere pour ma modeste bourse.
Mais un ami cherchait une demeure.Celui même qui devait m'accompagnée, Messire Uriel.Mais apparament il doit être occuper a ses affaires.
Moi, je prefere l'auberge pour le moment.On y rencontre du monde, on y fait des connaissances ,du moins pour l'instant on vois trés peu de monde.

Oui , allons du coté du marché, vous trouverez surement de quoi vous satisfaire.

Anne rajusta sa cape pour se proteger du froid, elle marchait tranquillement au bras d'André.

- Hé bien, vostre ami est un rustre et un imbécile s'il laisse passer ses affaires avant vous.
C'est vrai que pour l'auberge... La foule ne s'y presse pas. Etrange pour une capitale...

D'une geste presque imperceptible, le bras de l'homme se resserrait contre celui de la femme.
Les deux personnages traversèrent maint ruelles sombres avant d'arriver sur la place du marché, en pleine agitation. Les marchands rameutaient les clients, arguant de leurs grosses voix que leurs produits étaient meilleurs et moins chers. Les odeurs et les couleurs frappaient nos narines et nos yeux pétillants.
André se dirigea vers un étal de pommes, en acheta deux au marchand et en tendit une à dame Anne.

- Partageons ceci en flânant dans le marché si vous le désirez.

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Anne pris la pomme que André lui presenta , elle la frotta contre sa cape.
Elle l'as croque a pleine dents.

Elle est trés bonne, Je vous en remercie Messire André .

Oui marchons un peu, nous verons ou nos pas nous conduisent.

Elle regardait les étals des marchands, elle ne savait plus ou regarder.
Entrainant André vers un marchand qui vendaient des tissus .

Anne les touchaient, certaine était plus douce que les autres .

André croqua à grandes dents dans la pomme puis sourit à Anne lorsque celle-ci se dirigea vers le marchand d'étoffe.

- Pourquoi est-ce que je fais le marché avec une dame ? Je dois avoir des tendances suicidaires.

L'homme éclatais d'un rire sonore et clair.
C'est vrai qu'en province, il n'était guère habituer à faire ses courses en si galante compagnie. André posa son regard sur les riches tissus.

- Elles sont bien belles ces étoffes.

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Vous faite le marché avec moi, car , vous ne pouvez me laisser seule dans une ville que je connait pas.

Oui les étoffes sont trés belle , je pourrait m'en faire de belle robe.
Mais je doute que parler étoffe ,vous interraisse vraiment.

Avançons si vous voulez, je suis sûre que nous trouverons d'autre endroit agréable.

Anne lui repris le bras et s'éloigne de l'étal ...Non sans jeter un dernier regard sur un étoffe.

- Vous avez raison comme toujours.
Une robe ? Vous n'avez pas besoin de joli attirail comme les dames noblespour exhalter votre beauté.
Laissez transparaître en plein jour !

André baissa la tête en guise de salut au marchand puis repris la route. Ils arrivèrent au bord de la Seine. Le fleuve dévoilait toute sa fougue sous un soleil de midi ardent.

- Quel charmant paysage vous ne trouvez pas ?

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Oui, cela est trés beau.Magnifique je devrais dire.
Vous penser que ce fleuve va loin ?
Mais dite moi, vous venez faire quoi sur Paris ?

Elle regarde le paysage , la saine qui s'écoule doucement, tout cela est magnifique.Les arbres qui la bordent sont dévétus de leurs feuilles, certaine suivent le court de ce grand fleuve.

Anne ne regrette pas cette sortie ,André est un compagnon bien agréable.

André continuait de garder ses yeux fixés sur le cours lent du fleuve.

- Où il va ? Le fleuve est comme la vie, petit à petit il grandit puis se disperse pour mourir dans la mer.

Puis elle me posa une autre question.

- Je viens faire ce que de nombreuses jeunes personnes sans fortune font : essayer de trouver richesse ou gloire et mieux si les deux vont de pairs...

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Vous me semblez songeur Messire André.
Si vous le désirez, nous pouvons revenir a l'auberge.

La richesse et la gloire. Oui cela peu aller ensemble.

Anne se mis a penser a elle même.Que lui reservait la vie ici.certainement pas la gloire , peu être juste un peu de richesse.
Mais la richesse du coeur est au dessus de tout.

Elle regard la saine couler et se perd dans ses pensés.

- Bah je médite c'est tout.
Il faut que j'arrête d'accumuler toute cette bille jaune, c'est très mauvais pour la santé.

Puis elle lui proposa de rentrer à l'auberge.

- Midi arrive à grand pas et mon ventre l'accueille avec de grands gargouillis.
Oui rentrons prendre une maigre pitance.

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

André l'as sortie de ses pensés.
Anne regarda une derniere fois la saine.

Oui rentrons, je commence a avoir faim aussi...

Ils quitterent les bord de la saine pour retourner dans le ventre de Paris.
Les ruelles étroites , le marché , jamais elle se retourverais dans toute c'est rues qui se resemble toute.

Anne pris le bras d'André et se laisse guidé .

Uriel alla cherche Anne à l auberge .

Car comme convenu, il devait visiter Paris ....

bonjour madame,
Alors, que diriez vous de visiter Paris ?
Avez vous repéré de belles maisons et des endroits agréables lors de votre visite avec andré ?

Uriel poussa, un petit soupir ... ca jambe lui faisait atrocement mal après avoir monté les escaliers ....
il posa sa bequille contre le mur puis il prit les mains d Anne .

Anne....
Je suis encore une fois vraiment désolé de ne pas vous avoir donné de nouvelle ces derniers temps .... mais ce probleme de chasse ....
J espere que vous ne m en voulez point ....

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Non,je ne vous en veut point.
Mais si vous désirer vous reposer encore un peu ,le temps que vostre jambe ailles mieu.

Nostre visite ,pourrat attendre .
J'ai n'est point vue de demeure pour vous.

Il y as tellement de rues a voir et as se perdre.
Nous avons visiter avec Messire André le marché, il y as de temps belle étoffe la bas, des odeurs qui vous assaille les narines.
Puis nous sommes passer sur le bord de Saine,un endroit magnifique .

Mais , nous les redécouvrirons ensemble quand vostre jambe iras mieu.

Anne sourit as Uriel

Ma dame ...
ne pas passer du temps avec vous me ferait bien plus souffrir que ma jambe ....

Meme si je suis un peu boiteux, je tiens vraiment à faire cette balade dans paris ... Rien que l idée de partager de tel moment avec vous m a permis de m aider à tenir le coup lors de ma convalescence ....

Nous irons au marché alors, puis le bord de la seine m a l air d etre un endroit idéal pour "pique niquer"

Uriel reprit ca bequille, et adressa un sourir à Anne
il lui tendit la main

Anne, m accompagnerez vous dans ces etroites ruelles ?

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Si vous le désirer, je vous accompagne volontier.

Mais a conditions de ne pas aller trop vite , il faut penser a vostre jambe .

Nous passerons par le marché , mais il ne fait pas trés chaud en ces jours d'automne.

Et nous trouverons peu êstre une demeure pour vous .

Vous avez entendue parler d'un bal ? Messire André m'avait demander de l'accompagnée .

Anne lui pris le bras et le suivit au travers des ruelles de Paris.

très bien alors allons y !

Ils se dirigèrent vers la sortie ....

Je n ai entendu pas entendu parler d un quelconque bal madame ...
Mais ce serait avec plaisir que je vous y accompagnerai ... si vous n avez pas choisi sir André comme cavalier....

J espere simplement que ce bal n aura pas lieu dans les jour prochains jour, car ma jambe ne me permet pas encore l honneur de danser avec vous ....

Le medecin m a dis que je pourrais marcher sans bequille dans une semaine et demi ....

Uriel sorti du batiment, s inclina pour laisser passer Anne, et lui offris son bras.

alors , quel direction devons nous prendre ?

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Pour le bal, je ne sais pas plus ,c'est Messire André qui m'en avait parler.
Mais je pense qu'il n'auras plus besoin de moi pour l'accompagnée as ce bal.

Nous allons ou vous le désirer. Mais il faut éviter de vous fatigué.
Il faut écouter le médecin

Anne pris le bras d'Uriel et lui sourit.

Voulez vous prendre la direction du marché ? a moins que vous connaissiez un autre endroit dans Paris.

la direction du marché me convient parfaitement ... j irai là où bon vous semble

dis uriel en souriant .

Ils avancèrent donc tout deux en direction du marché.

Quel sont vos projets ?

Une femme aussi sage que vous pourrez ce lancer dans la justice ...
Ou peut etre même dans la politique ...

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Mes projets ?
Je ne sais pas encore, j'hésite encore pour prendre ma voie.

Et être enfermer dans un bureau, je sais pas.J'attend surement des conseils .

Le marché leurs fesais face .les odeurs , les couleurs.Il y avait tant d'étals, tant de senteur, tout lui fesait envie.Anne regarde les Dames , elles sont si belles dans leurs atours.

Dite moi Messire Uriel, il faudras vous trouver un demeure digne de vous maintenant .

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