arrivé sur la place , je remarquais 1 bellle fontaine , des enfants jouaient autours et s amusaient à s arroser , cela me fit rire et me remémorer ma jeunesse

Chère habitants de vertus

comme vous l'avez vu le jeu est en plein chamboulement, comme si ce qui est arrivé avant n'avait pas suffi!!
enfin, nous allons perdre encore pas mal de personne mais en attendant je vous invite à continuer le RP comme vous le faisiez avant ce problème.
car on ne sait pas combien de temps vont mettre ces personnes pour redémarrer le jeu dans sa nouvelle organisation???

j'espère au moins que l'on sera tenu au courant de notre futur du jeu et de nos personnages.

j'espère juste que c'est pas pour faire partir le plus de monde possible pour la tranquillité de certains.
des fois que le pouvoir monte à la tête (lol)

Arf! Le pouvoir. Encore une belle invention.

Il peut parfois être utile, mais faut-il encore qu'il soit utilisé intelligement.

Cher Peredunod. Si vous avez besoin de mes services, je reste à votre entière disposition.

Quelques envies de tyranie me monte à la tête.

Bref! En gros je suis dispo.

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Ce matin Pére-Huon a testé les fidèles j'espère que vous lui avez envoyé votre soutien comme il l'avait demandé.
il faut bien encourager notre curé ( il en pleine déprime lol)

merci à vous habitants de vertus

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Félicitation à tous ses conseillers, je suis sûr que l'on peut compter sur eux pour faire au mieux leur travail.

Félicitations au lieutenant Lothar qui passe au grade de Capitaine de la maréchaussée.

je rappelle aux conseillers et à Monsieur le curé que l'Aboyeur est à leur disposition.
(prendre contact avec Monsieur le maire)

Le conseil Vertusien :

Maire : / Messire Peredunod
Adjoint du maire :/ Messire Matteo
Conseiller des ventes :/ Dame Mathide
Conseiller des embauches :/ Dame Glorianna
Inspecteur général des impôts:/ Dame Lugar
Conseiller à l'accueil et à l'Animation :/ Dame Killashandra
Porte-parole / Messager :/l'Aboyeur de Vertus

Curé : Père Huon
Aubergiste / tavernier :Dame Lugar
Chef de la maréchaussée :/ Capitaine Lothar
Cadastre :/Messire Péredunod

Grille des prix de Vertus :[/i]
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Citation:
Denrée --- Prix min --- Prix max
Blé ----------- 8 ------------ 20
Fruit ---------- 7 ------------ 18
Fusil ------- 120 ----------- 180
Légume ------ 7 ------------ 18
Maïs ---------- 8 ------------ 19
Pain ---------- 4 ------------ 10
Pantalon ---- 25 ----------- 25
Truffe -------- 8 ------------ 20
Veste ... ---- 14 ------------ 25
Volaille ------ 15 ----------- 30

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habitants de vertus suite au congé de Pére-Huon pendant quelques jours, j'ai demandé à Père Thomas de venir le remplacer à la paroisse.
cela nous permettra de faire plus ample connaissance avec lui.
c'est lui qui nous dira le jour des messes.
Pére Thomas sera logé chez dame lugar le temps de son séjour, j'espère que vous lui ferez un bon accueil comme vous savez le faire.

nous souhaitons de bons congés à n'autre Curé Pére-Huon.

votre maire
Péredunod

Après être passé au cadastre pour bénéficier d'un toît, Thibaut s'en vint sur la place du village, un peu déserte en cette fin de journée.

Il s'adossa à un mur, et observa les passants.

"Sont bien blancs, les pauvres, se dit-il, ne voient pas souvent le soleil et le vent du large!"

Il attendait que l'un des habitants lui adresse la parole, on est poli, sur un navire!

En sortant de l'auberge, une superbe jeune femme à son bras, il inspira à pleins poumons l'air chaud de cet après-midi d'été.

Jetant un coup d'oeil vers son cheval, il eut un choc. Tout près, penaud, son bonnet entre les mains, se tenait, la bride de sa mule passée au bras, son vieux valet. Picard, son ombre presque, passé maître en l'art de charger un mousquet plus vite que quiconque. Le bougre l'avait perdu à Paris, sans nul doute occupé à compenser, dans les bas quartiers, les mois d'abstinence de la dernière campagne. Les traits tirés, manifestement vidé par les ribaudes de la capitale, il gardait le regard baissé. On eut pu y lire, néanmoins, si toutefois il l'avait levé, un certain soulagement à retrouver son jeune et pauvre seigneur.

Ah te voilà toi...

Il secoua la tête.

Rien n'y fait, à la première garce tu files comme le chien derrière un lapin ! Et tu reviens, invariablement, ventre et bourses vides, quémander de quoi boire et un bout de pain !

Essayant de ne pas sourire, il garda une voix sévère.

Allez, vas donc manger, sur ma note. Et trouve nous une cabane où dormir, tu n'auras pas perdu ta journée...

Regardant l'homme s'executer, il reprit, à l'attention d'Eloïse :

Voilà, vous connaissez maintenant Picard, un vieux compagnon. Pas bavard, pas tres bien degrossi, un peu coureur, mais fidèle au dela de tout, et doté d'un bon fond. Il faut dire, aussi, que vu l'arriéré de gages que je lui dois, il n'est pas pret de filer !

Il éclata de rire et ajouta :

Avec un autre, il serait honorablement pauvre. Avec moi, il est potentiellement riche !

Reprenant son sérieux, il désigna la place, et les ruelles qui en rayonnaient, d'un geste large.

Ma mie, vous êtes mon guide, j'irais où me meneront vos pas !

Eloïse posa sa main sur le bras qui comme elle l'avait pensé était fort et musclé. Elle adressa un sourire à Olbrie. Tous deux se dirigeaient vers la place du village quand ils entrèrent prsque en collision avec un homme d'un certain âge.
Eloïse, se tenant sur ses gardes, comme à son habitude posant sa main libre contre sa hanche.
Les ruelles à la tombée de la nuit n'était pas sûres en ces périodes parfois troublées.
Elle se détendit en entendant son compagnon parlé au valet et ne put refreiner un petit sourire malicieux en l'entendant parler des ribaudes parisiennes...

Je suis ravie de vous rencontrer monsieur Picard!

Elle se demanda si le maitre était comme le valet...Question délicate qu'elle prefera garder pour elle.
Elle retint un petit rire et pressant le bras d'Olbrie contre elle l'entraina à sa suite après un petit salut au valet dépité.

Au plaisir picard! Je vous enlève votre maitre un moment...

Aux paroles d'Olbrie qui lui disait:

Ma mie, vous êtes mon guide, j'irais où me meneront vos pas !

Elle sourit de plus belle.
et s'avança a ses côtés pour lui désigner les alentours.

Monsieur, si vous continuez dans cette direction en sortant de la ville vous arriverez à Epernay puis Reims. Mais je pense que vous êtes arrivé par là...
Les côteaux sont vallonnés et comme vous avez du le constatez les ceps regorgent de raisin juteux et sucrés.

Ils avançèrent dans les ruelles, Eloïse désignant les choses importantes de la ville...
Leurs pas les guidaient lentement vers le lac.

Il hocha la tête.

Epernay, puis la route du vieil hopital, par Saint Martin d'Ablois, et ensuite Vertus, oui, c'est bien ma route. Les coteaux sont raides, mais ne manquent pas de charme. On sent le pays comme suspendu... Personne ne touche aux champs, c'est tout juste si les vignerons osent vérifier l'état de leurs ceps. Comme s'ils craignaient de briser la magie en se montrant trop empressés. Il semble qu'à quelques semaines des vendanges, ils se contentent de retenir leur souffle en priant pour éloigner les orages.

Il marchait doucement, ayant un peu chaud sous son pourpoint, la chemise pourtant largement ouverte.

Un mien cousin, Bourguignon de goût plus que de naissance, me disait, comme une confidence, que la vigne se soignait comme une femme. Il lui faut de l'attention, mais ne jamais l'étouffer, sans quoi elle s'étiole et dépérit, et se déssèchent les liens qui l'attachent à son support. Il ajoutait souvent qu'il hésitait entre mourir dans les bras d'une femme et se noyer dans un foudre de Pommard. Finalement, il eut la tête arrachée par un boulet, dans un coin d'Italie. On a rapporté le corps, notez bien. Mais si la tête était bien la sienne, il subsiste des doutes sur l'identité du tronc. Mais...

Il se tut brusquement.

Mais je vous assome d'histoires atroces, pardonnez-moi, j'ai peine à me défaire de mes habitudes de soldat. Sans doute devrais-je, à la place, vous trousser un madrigal, et débiter des fadaises sur l'éphémère beauté de la rose.

Il s'arreta d'un coup, et la saisissant aux coudes, la fit pivoter, en face de lui.

Qu'en pensez-vous ?

Eloïse l'écoutait avec délice comme on déguste un grand cru, elle aimait entendre ses phrases à sens et non les idioties souvent lâchées par des soupirants trop impatients d'arriver à leurs fins.
Avec ceux là elle savait si prendre et répondre parfois à la limite de l'indélicatesse...
Mais Olbrie dégageait des choses si puissantes si fortes que cela obligeait au respect.
D'ailleurs cet homme était une enigme pour elle.
Enfant déjà elle ne savait pas résister aux enigmes et aux charades proposées par ses cousinset malgré les quelques années écoulées ...

Elle sourit à son compagnon ravie qu'il ai si bien sù cerner la champagne.
Sa champagne...Celle qui l'avait vu naître quelques vingt printemps plus tôt et qui l'enchantait toujours autant.

L'histoire que lui contait Olbrie bien que cruelle avait eu le don de la charmer...En effet peu d'homme osait parler librement devant une femme de sa condition. Les De La Tour était une vieille famille de champagne et beaucoup hésitaient...

Eloïse avançait donc écoutant attentivement son compagnon quand celui ci s'arreta d'un coup, et la saisissant aux coudes, la fit pivoter, en face de lui.

Qu'en pensez-vous ?

Surprise par ce brusque arrêt, elle manqua perdre l'équilibre et se raccrocha à lui inextrémis.
Levant les yeux vers lui elle lui sourit doucement.

Pas de platitude dans vos propos monsieur Olbrie et j'aime cela!!
Vous n'arrondissez pas les angles et dites ce qui doit être dit.

Comme vous le dites si bien quel interêt à parler des roses? Leur beauté est belle souvent exagérement belle et leur parfum trop capiteux mais elles se fanent vite et n'en reste qu'un souvenir ou une fleur séchée dans un recueil fermé...
Peut être me parleriez vous des coquelicots ou des marguerites que j'effeuillais enfant en imaginant mon prince charmant...Elles sont moins flamboyantes mais sont souvent plus charmantes.

Elle pensa qu'elle même tenait plus de la fleur des champs que de la fleur de serres...
Elle le regarda à nouveau noyant son regard sombre dans celui plus ambré d'Olbrie.
Elle rougit légèrement en contatant qu'elle ne l'avait pas encore lâché, mais rechinait à s'éloigner.

Bien sur je faisais cela à l'abri des regards, jamais mon père n'aurait toléré ce genre de frivolité de la part de ses filles.
Ma soeur et moi avons été élevés comme les fils que mon père n'a jamais eu.
En y repensant...
Comme il a dù envier oncle François...
Mes cousins avaient toute l'estime de père, mais je sais qu'il nous aimait...J'en suis certaine...

Eloïse regarda Olbrie et lui sourit

Je suis navrée..Je vous importune avec mes souvenirs.
Mais parlez moi donc de vous? j'ai cru comprendre que vous étiez jeune retraité de l'armée...Vous ne me paraissez pourtant pas si âgé! Je ne vous donne guère que quelques années de plus que moi...

Elle rit légèrement prenant un petit air canaille.
La vue du lac qui scintillait sous les éclats du soleil la laissa un moment sans voix. Comme c'était beau...
Sans réfléchir, elle prit la main de son compagnon, releva ses jupons et se mit à courrir en direction des berges...

Il n’esquissa pas un geste lorsqu’elle s’agrippa légèrement à ses bras. Un peu plus grand qu’elle, il avait vue plongeante sur sa gorge. Au vu de sa condition, elle eut du être blanche comme le lait. Mais, étonnamment, un hâle léger recouvrait la peau, lui donnant une douce couleur de miel. Il releva les yeux en l’écoutant parler. Ainsi, une sauvageonne… Fugacement, il l’imagina courir dans les prés, à moitié nue…

Secouant la tête, il se reprit, se morigénant d’avoir de telles idées. Décidément, il était resté trop longtemps trop loin de toute civilisation.

Il s’apprêtait à répondre à sa dernière question, lorsqu’elle démarra soudainement, lui arrachant presque le bras. Ravalant sa phrase, il accéléra à son tour, la main gauche sur la poignée de sa rapière, qui battait désagréablement ses mollets.



Suite Au lac

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PNJ.... représente la Mairie de vertus




après une longue absence du à des obligations familiales je tenais à vous remercier de la confiance que vous me faites en me nommant pour un deuxième mandat en tant que maire de notre belle ville de vertus

comme vous le savez cette ville ma toujours plus notre ancien maire messire Meganilo a fait en sorte de me faire découvrir une ville qui pouvait avoir du potentiel, maintenant on voit que la ville de vertus n'est pas simplement une petite ville mais bien une grande et belle ville et que beaucoup viennent nous rejoindre pour la simplicité et les bons rapports humains que nous avons entre nous, je tiens à ce que tous soient préservés même avec de nouveaux habitants.

je tenais aussi à féliciter pour son excellents résultats aux élections mon adversaire, ont été séparés que d'une très courte distance, je pense que ce n'est pas une défaite mais simplement une préparation pour son futur.

pour ce prochain mandat je vais faire en sorte de relancer un peu plus le RP dans notre ville en créant de nouveaux coins de rencontres

je me suis aperçu que beaucoup d'entre vous jouer le jeu du RP et j'en suis très content

encore une fois merci pour votre confiance et me tiens à votre disposition à la mairie pour tout autre question.

votre serviteur

Peredunod Maire de Vertus

Oyé oyé habitants de Vertus. La mairie organise un loto pour tous les villageoises et villageois. Allez choisir votre combinaison et ainsi courir la chance de vous prévaloir un des 5 lots mis en jeu.

Pour vous rendre au guichet du loto : https://droits-divins.1fr1.net/vertus-f34/jeu-rp-loto-de-vertus-t1132.htm#22391

Bonne chance !

Le chevalier qui passait par la place sur son cheval, écoutat l'aboyeur avec beaucoup d'interet. MAis aujourd'hui sa journée sera chargé il devait aler se reccueillir à la chapelle et aller chasser pour son diner, qu'il esperait passer dans sa nouvelle demeure.

Oyé ! Oyé ! Habitants de Vertus. Il ne vous reste que 2 jours pour participer au loto. Hâtez-vous de vous rendre au guichet pour vous prévaloir d'une combinaison. Le tirage aura lieu dimanche, ce 14 septembre 1561. Bonne chance !

https://droits-divins.1fr1.net/vertus-f34/jeu-rp-loto-de-vertus-t1132.htm#22391