Le marché était bien vide, quelques étales dressés mais peu de gens. Malgré tout, Ambroisie s'attarda un peu pour voir ce qu'offrait le village.

Du pain a 6 écus. Voyez vous ça ! Sacré différence avec Paris! Elle esquissa un sourire. La vie serait sans doute assez douce à Vertus. Peut-être pas facile mais douce, assurément.
Elle vérifia encore plusieurs autres denrées, elle se tourna alors face à la mairie qui se dressait aux abords de la place.

Ca y est ... j'y suis ... Elle poussa la porte de l'édifice pour s'y engouffrer.

Peredunod qui se promenait dans les rues de Vertus à une heure tardive de la nuit, aperçut coucher sous un porche une jeune femme.
elle était simplement habiller et à la tête un baluchon qui lui servait d'oreiller.
peredunod s'approcha-t-elle et lui touchent l'épaule.

Mademoiselle Mademoiselle il ne faut pas avoir peur, je suis peredunod un habitant de Vertus. vous voyant dormir sous un porche toute seule dans la nuit, ce n'est pas prudent
je vous invite à ma demeure n'ayez crainte on me connaît dans la ville
. j'habite au bord du lac de vertu au numéro 55 - Vous me feriez un très grand plaisir en m'accompagnant. une bonne soupe chaude et du bon pain vous feront du bien.
Peredunod attendait avec impatience la réponse de la jeune femme qui étaient un peu peut désemparer.

Eloanne fut soudain interpellée par deux hommes. Craintive, elle recula hors de leur portée. L'un d 'eux avait beau se présenter comme étant le maire, elle n'en serait pas moins dubitative.

Puis elle se rappella les bonnes manières et salua.


Bonjour monsieur.

Je me nomme Eloanne et je viens d'arriver ici. Je n'ai pas pour habitude d'accepter de suivre un homme, aussi je vous remercie de votre proposition mais pourriez vous m'indiquer une auberge et un endroit où trouver un travail honnète?

(hrp : suite ici pour ceux qui veulent aider : https://droits-divins.1fr1.net/vertus-f34/la-mine-de-fer-de-vertus-t586.htm)

Mathilde s'arreta a la hauteur de messire Falshir qu'elle avait rapidement aperçu dans les locaux de la mairie. Elle le salua rapidement, ainsi que la dame qui était en sa compagnie.

Monsieur le Maire que dîtes vous ?

Vite, nous avons besoin d'aide, la mine s'est effondrée, venez nous aider s'il-vous-plait...


Il ne resta pas plus longtemps. Il était déjà partit, sans doute a la recherche d'aide ou en direction de la mine. Elle ne réfléchirai pas plus longtemps. Elle commença elle aussi a courir, chose difficile comte tenu de sa pauvre robe, mais elle ne laisserai pas des gens dans une mine effondré pour de pauvres choses.

Vite dépechons nous ! cria t'elle...

Squad venais faire un tour habituel à la place du village pour voir si il n'y avais pas quelque chose d'intéressant à faire comme chaque soir. Il arriva sur la place et ne vue que quelques personnes, des villageois. Du moins, c'est ce qu'il pensais. Il contourna quelques maison pour enfin arriver a une fontaine où un cheval s'abreuvait.

Squad vis aussi un jeune homme habiller différemment qu'un autre villageois. Squad se dit alors qu'il était un étranger et qu'il venais d'effectuer une route assez grande pour arriver jusqu'ici. Peut-être était-ce la raison pourquoi le cheval s'abreuvait. L'homme avais une très belle monture et s'approcha de celle-ci en lui caressant le museau. Il s'approcha ensuite de l'homme pour lui adresser quelques mots;

- Squad, Chef de l'armée et de la maréchaussée de Vertus. Qui êtes-vous? Il attendit ensuite une réponse.

[HRP: J'espère que Quatar est un cheval ^^']

Valère s'était assis sur le rebord de la fontaine et contemplait les alentours de la place. Il essayait de repérer s'il y avait quelque endroit succeptible de l'accueillir pour le gîte et le couvert. Son regard était à l'affût de la moindre enseigne avec la mention "auberge", lorsque apparut soudainement un homme à l'imposante stature, et se planta devant lui l'interpellant. Sursautant, le jeune homme, encore sous l'effet de la surprise, balbutia

"Heu... Bon...bonjour messire. Je me nomme Valère il dégluti, puis repris sa respiration. Je viens d'arriver dans votre village, et je dois le reconnaître, je suis un peu perdu..."

Valère fixa l'homme, se remettant de ses émotions, et observait sa réaction.

Meganilo sortit en trombe de la mairie, il sauta sur sa jument, et cria.

Villageois de Vertus ! Venez à moi, la Reyne a apparemment disparu. Ce serait peut-être l'œuvre d'un brigand. Suivez-moi et aidons-la !

En quelques minutes des têtes intriguées sortirent des maisons et regardèrent l'homme qui criait ainsi.
Les gardes eux, étaient déjà aux côtés de Meganilo.
Il attendit que les villageois se rassemblent.

[HRP: j'ai envoyer une lettre aux villageois afin de savoir, combien souhaiterait participer à l'opération, en fonction du nombre de oui, il y aura le nombre d'homme et de femme [HRP]