C'était au-delà de ses espérances. Lugar avait vraiment envie d'un toit confortable pour se ravigorer. Elle fit un petite révérence à Blancos en guise de remerciement.

- Dans ce cas, il me fait plaisir d'accepter votre chaleureuse hospitalité. Si je peux faire quelque chose pour vous accommoder, n'hésitez pas à m'en parler. -

Lugar pris ses quelques effets et était prête à suivre l'inspecteur des Impôts vers son domicile.

L'individu que Lugar avait abordé quelques minutes au-paravant s'apprêtait à poursuivre son chemin. Elle ne manqua pas de le saluer. Avec son sourire angélique habituel, elle lui dit :

- Monsieur, je reçois vos voeux d'amitié et les partage. Notre rencontre fut brève et j'espère vous recroiser un de ces quatres question de faire plus amples connaissances. Bonne route et au plaisir ! -

Lugar revint à Blancos qui venait de faire ses salutations à Lothar. Il lui offrit de porter ses bagages. Regardant son simple baluchon d'un air amusé elle lui répondit :

- Je vous remercie de votre gentillesse mais je voyage très léger ces temps-ci. Je crois que je vais porter mon baluchon moi-même et je vous suis de ce pas. Vous habitez loin d'ici ? -

Blancos sourit lorsque Lugar regarda son baluchon.

-Eh bien dans ce cas madame êtes vous prete à partir? Hum....non ce n'est pas trop loin.



HRP: demain, je vais crée un nouveau sujet pour ma maison.

Killashandra était arrivée sur la place du village. Elle jeta un coup d'oeil, essayant de repérer une auberge ...
Elle voyait beaucoup de gens vaquer à leurs occupations, et timide, hésitait à accoster quelqu'un ...
Elle avançait lentement, regardant de droite et de gauche. Nulle auberge en vue ...
Désemparée, elle se demandait où elle allait bien pouvoir trouver refuge !

Me promenant sur la place du village j'aperçus une personne qui avait l'air un peu perdu, il fallait que je fasse connaissance.

bonjour Madame je n'ai pas le plaisir de vous connaître je me présente messire Peredunod puis je vous renseigner vous chercher peut être quelqu'un ou quelque chose.

tout en attendant sa réponse, je me demandais s'il y avait longtemps qu'elle tourné dans les rues de Vertus en attendant que quelques viennent la renseigner.

Citation :

bonjour Madame je n'ai pas le plaisir de vous connaître je me présente messire Peredunod puis je vous renseigner vous chercher peut être quelqu'un ou quelque chose.

Soulagée d'entendre ces paroles, la jeune femme sourit :

Je me nomme Killashandra, Messire. Enchantée de faire votre connaissance.
Pour vous répondre, je viens d'arriver à Vertus Je ne connais rien, ni personne. Et je commence à désespérer de trouver un endroit où me loger ... Pourriez-vous m'aider ?

Elle regarda Peredunod d'un air suppliant, espérant de tout coeur qu'il allait pouvoir l'aider. Elle imaginait mal passer la nuit à la belle étoile, par ce temps maussade.

Très content d'avoir entendu la réponse positive de Dame Killashandra, je me retracer le parcours du retour au plus simple pour qu'elle puisse se repérer plus facilement.


Dame Killashandra je vous en prie laisser votre sac je me charge de le porter.nous allons nous diriger vers la mairie au passage vous apercevrez une taverne qui se norme l'Auberge des oiseaux de passage la propriétaire se nomme dame Lugar une personne très agréable.
Arrivée à la mairie nous prendrons mon coche car j'habite à côté du lac dans la forêt ça vous évitera de marché, vous devez être très fatigué.
vous verrez le chemin est très agréable.

Partant de la place du village avec Dame Killashandra je me mis à commenter tout ce qu'on voyait sur le long du chemin,

au numéro trois de la place habite messire Matteo personne très aimable et non loin de la nous apercevons la mairie tenue par le maire Messire Megalino très occupé pour l'instant dans une autre ville, j'allais oublier quand Monsieur le maire est absent je suis maire adjoint de la ville de Vertus.
Enfin passant là-dessus, ce n'est qu'un titre s'est pas là-dessus qu'on reconnaît la personne.
je parle je parle et vous devez être très fatigué nous voici arrivés au coche montée je vais vous aider, aller partons à la maison.

pendant tout le chemin je ne cessai de regarder si dame Killashandra était bien installé, car à peine partie elle s'endormit, c'était normal toutes ces émotions en très peu de temps la soirée et la nuit ne pourront lui faire que du bien.

Killashandra s'était assoupie durant le trajet. Elle se réveilla en sursaut.

Messire, veuillez m'excuser ... Je suis épuisée ... Je ne suis pas de très bonne compagnie ce soir !
Vous êtes adjoint au Maire ! Je comprends maintenant que vous connaissiez si bien la ville ...
Vous vivez près d'un lac ... quelle chance vous avez ! Ce doit être bien agréable, la forêt, l'eau, lorsque le soleil brille ...
Ralala, si je pouvais, moi aussi, trouver une maison aussi bien située ...
Mais je parle, je parle, je dois vous ennuyer ...
Sommes-nous encore loin ? J'ai hâte de voir votre maison ...

Killashandra sourit à Peredunod.

Quelle chance j'ai eu de vous rencontrer !

dame Killashandra semblé être de plus en plus fatigué, à la vue de la forêt et du lac elle ouvrit un peu plus les yeux pour découvrir les merveilles de la nature.


nous voici arrivés attendez et je vais vous aider à descendre, juste après les marches vous avez la porte d'entrée ouvrez vite pour vous mettre au chaud la cheminée doit être allumé, installé vous dans le fauteuil voulez-vous que je fasse chauffer l'eau pour le bain.

je pensai qu'un bon bain avant d'aller à table lui ferai que du bien j'attendai quand même elle ne se sentent et peut-être pas assez à l'aise.

La démarche frileuse et le teint candide d'un jeune homme fit son contraste dans les ruelles, sentiers et places de Vertus. En Champagne, il y vivait depuis des cycles qui se comptaient sur bien plus de deux mains, mais ne s'était aventuré que peu souvent dans les villes. Contraint de rester dans le calme des hameaux des fiefs nobiliaires, sans doute.

S'en était fini, car il avait pris sa voie en main, qu'importe les conséquences. Une centaine de louis, quelques nourriture, il débarquait, en gueux qu'il était, dans une ville qui lui était étrangère. Sympathiser, en première étape. Espéra-t'il que travailler pour le curé de la ville en ce jour serait de bonne augure. Encore fallait-il que sa tâche soit plutôt bien réalisée.

Citation :

Vous venez d'être embauché aujourd'hui pour cette activité : Cultive un champ, pour un salaire de 19 louis par Père_Huon .

Après avoir revempé l'état de la taverne, Lugar revenait les bras chargés d'ingrédients et de tissus pour s'attaquer à la deuxième phase de l'aménagement de l'auberge. Il fallait remettre les chambres en état et remplir l'entrepôt alimentaire de la cuisine.

Chemin faisant, en passant à la place centrale de Vertus, elle s'arrêta près de la fontaine d'où giclait la bonne eau fraîche des sources souterraines. Elle déposa ses effets et pris de cette eau de ses 2 mains. Elle but et se rafraichi. Avant de reprendre son chemin, elle scruta les alentours et y trouva un homme ayant l'air de revenir du travail au champ. Elle savait reconnaitre ces gens, ayant elle-même effectué ce travail une bonne partie de sa vie. Elle se dirigea vers lui et lui sourit.

- Bonjour Messire. Je ne crois pas vous avoir déjà vue dans cette ville. Je me présente Lugar, tenancière de l'auberge. Vous semblez las. Cherchez-vous un endroit pour vous revitailler ? -

Harassé, mais ravi d'avoir touché une coquette somme s'ajoutant à son pécule conséquent, l'homme se tapotait les deux mains salies, comme pour en épousseter la poussière.

Il lui faudrait trouver une auberge, pour se sustenter, prendre repos, et dépenser le reste de ses louis dans la boisson. Puis trouver un autre emploi. Et ainsi de suite.

Vaguement hélé alors qu'il songeait à tremper ses avant-bras noueux dans la fontaine du village, l'expression de son visage traduisit une surprise de prime abord.

Moi, dame ? En êtes vous sûre ? Tourne les yeux à droite, puis à gauche, pour conclure que la dénommée Lugar s'adressait bien à lui. Oh, vous avez raison, je suis arrivé il y a peu. Paisible cité. Se gratte les cheveux, avant de s'exclamer. Mes excuses ! J'ai omis de vous dévoiler mon nom. Dor, ainsi je réponds. S'incline légèrement par respect. Me ravitailler ? Et bien, je ne peux exprimer aucun refus, dame, et vous serais bien reconnaissant de me faire découvrir Vertus, que je ne connais guère, si cela ne vous déplait ni ne vous dérange.

Lugar avait vu juste. Cet homme, prénommé Dor, revenait des champs. Elle l'invita donc à se diriger vers l'auberge.

- Enchantée de faire votre connaissance Messire Dor. Il me fera plaisir de vous faire visiter Vertus. Mais plus tard aujourd'hui si vous n'y voyez pas d'inconvénient. Vous verrez, cette ville est charmante et accueillante. Tout comme ses habitants. Vous pourrez le constater par vous même, j'en ai aucun doute. Mais pour le moment, venez à l'auberge, je vous sert à boire. -

Sans même lui demander son avis, elle lui tendit une partie de son chargement et lui indiqua le chemin.

- Venez, c'est tout près. -

Pris de surprise lorsque les tissus et autres outils lui furent remis dans les bras, qu'il tendit pour ne point laisser le contenu se disperser au sol, il hocha la tête machinalement.

Fort bien, dirigeons nous donc en votre auberge pour partager choppe. Quelque peu encombré, il tâche de n'en rien faire paraitre. A la main qu'elle leva pour indiquer la route, il lui répondit. Je vous suis, dame Lugar ! Car je connais bien peu la ville, et que passer devant ne ferait que ralentir notre marche. Et puis, il craignait surtout pour le chargement. S'il le laissait se fracasser par mégarde, il s'en voudrait. Lui, ne pouvait pas tâcher de maintenir les objets en place et se frayer une route.

C'est par ici https://droits-divins.1fr1.net/vertus-f34/auberge-des-oiseaux-de-passage-t883.htm#17613

Après avoir entendu quelques appels qui venaient de la place je me mis à la fenêtre, heureusement de la mairie ont voyé à peu près tout ce qui se passer sur la place.
au bout de quelques instants un attroupement autour d'une silhouette qui me semblait être celle de messire Matteo , ne voyant pas à côté de lui Monsieur le maire Meganilo je commençai à me dire que le pli que j' avai reçu était peut-être exact.
sans attendre je partis en direction de la place, il fallait que je m'impose pour arriver jusqu'à lui tous les gens étaient la, comme si cela était un spectacle.
arrivé devant messire Matteo et dame Mathilde je vis dans la carriole Messire Meganilo sans vie.

messire que s'est il passé, j'ai reçu un pli il y a deux jours mais je ne voulais pas y croire c'est pour cela que je n'ai rien dit de formelle.
maintenant que vous êtes la nous allons le mener chez lui il sera bien dans son lit, ensuite nous agirons il faut prévenir pere huon.
je parle et je m'occupe même pas de vous deux, avez-vous soif ou faim ces hommes vont amener Monsieur le maire chez lui est installé dans son lit je laisserai quelqu'un pour surveiller sa maison.
venez avec moi nous allons de suite chez dame Lugar elle se fera un plaisir de vous préparer un repas et de quoi boire vous l'avez bien mérité avoir veillé aussi bien sur notre maire.

deux hommes partis avec la carriole pour poser le corps de Monsieur le maire chez lui .
sur le chemin de l'auberge je n'arrêtai de poser des questions à messire Matteo et dame Mathilde il fallait bien que je comprenne

Citation :

Messire Peredunod,vous voilà en fin!Comment?Il y a deux jours?Mais il est mort ce matin!

j'écoutai attentivement tout ce que me disait messire Matteo et plus il m'en disais plus je m'apercevais que le pli que j'avais reçu ne disait que des balivernes.
encore une rumeurs pour nous déstabiliser.

messire Matteo je m'aperçois que j'ai bien fait de ne pas avertir les villageois le pli que j'avais reçu m'annoncer la mort du maire bien à l'avance.
parlons d'autre chose!!!

Citation :

Qui est Dame Lugar?Je ne la connait point.Il faut que je la rencontre.J'ai besoin de me changer les idées,ça n'a pas été très facile ces temps-ci

vous verrez dame Lugar est fort sympathique et c'est très bien recevoir, depuis que vous êtes parti de charmante personnes sont arrivées dans la ville, ainsi que des hommes qui veulent s'investir pour la ville vertus

tout en marchant je lui racontait tout ce qui avait changé et et je lui donnai les noms des nouveaux habitants