NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Eléanore commençait à parler quand la porte s’ouvrit, en entendant une femme parler derrière lui, il réprima un juron, ce n’était pas le moment de le déranger…
C’est fou comme depuis son voyage, un rien l’énervait, il ne se retourna pas pour voir qui venait d’entrer, et resta debout fixant Eléanore des yeux.
Quand elle s’approcha de lui et qu’elle lui prit la main, il sentit sa colère le quitter, mais ses mots raisonnaient encore dans sa tête :

Vous savez que votre départ m'a affectée, j’accepte vos excuses mais c’est à vous de me redonner confiance...
Et je vous interdis de partir une nouvelle fois.

Il voulu la retenir, c’était maintenant qu’il voulait lui parler, il n’aurait pas la force de le faire une autre fois, mais il la connaissait bien pour savoir que le confort de ses clients était pour elle une priorité.
Il resta d’abord debout sans bouger, puis se dirigea vers le comptoir, et ne releva pas les yeux jusqu’à ce qu’elle revienne avec un bol de Camomille, auquel il ne toucha pas, silencieux, il entendait des pas, des phrases, des voix…mais c’était comme si rien n’avait d’importance.

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Souriant a la jeune fille, elle remarqua qu'elle aussi avait probablement vécu des choses pénible rien à qu'a voir son visage fermée et fatiguée.
Bienvenue à Reims dit-elle d'une voix qui se voulait accueillante, mais elle inspira plutôt de la tristesse que de la joie.

Fouillant dans ses poches, elle sortit un jeu de clefs puis en détacha une qu'elle donna à la rouquine.
Voila la clef de votre chambre. Bien qu'elle soit assez simple, j'espère que vous vous y sertirez a l'aise. Par contre si vous cherchez un lopin de terre, je conseille d'aller vous renseigner au cadastre. Vous trouverez sans doute ce que vous rechercher.

Lui souriant une dernière fois puis la laissa seule. Marchant vers la seconde cliente, elle jeta un coup d'oeil au comptoir. Tristan lui tournait le dos et de le voir ainsi la faisait encore plus souffrir. Soufflant pour reprendre ses esprits, elle s'approcha de la jeune femme
Avez vous choisis ?

Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 26/08/2008

La tavernière faisait tout son possible pour rester souriante et joyeuse , mais sa tristesse ne pouvait guère être dissimulée ... Elle lui souhaita la bienvenue au village et lui donna les clefs de sa chambre .

Le cadastre ! Mais oui bien sûr , elle ira y jeter un coup d'œil le lendemain , histoire de voir quelle genre de parcelles proposait on ... Les pensées de Rosée commençait à vagabonder en s'imaginant quelques mois plus tard , avec une jolie maison à elle seule , un petit jardin , et un travail respectable ... Elle réfléchissait au moyen de parvenir à tout cela , avec son jeune âge , démarrer une nouvelle vie , certes un peu éloignée de sa nouvelle famille ... Une vie sans soucis ...

Elle prit le bol de camomille qu'elle porta à ses lèvres , un peu plongée dans ses pensées , elle se brûla la lèvre inférieure soudainement et fronça ses sourcils , mécontente , non pas du bol brûlant , mais de tout ce qu'elle a enduré ces derniers temps ... Elle s'appuya contre le mur derrière elle , rêvassant d'un avenir meilleur ....

Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 31/08/2008

Avez vous choisis ?

Eleone sortit de sa torpeur ou plutôt de son début d'endormissement .
Elle était si lasse .

Heu ... oui pardon Dame .
Si cela n'est pas trop demander j'aimerais un bol de lait chaud avec du miel .
Ainsi qu'une chambre pour quelques jours le temps de trouver demeure en cette ville .

Eleone avait tout débité d'un trait comme si elle allait être punie de ne pas parler rapidement .Il fallait que cela lui passe .
Il n'était plus .
Plus de coup ou de violence .Tout cela était finit .

Mais Elé était si peu sur d'elle que la peur l'emportait rapidement .Elle n'avait qu'une hâte à cet instant dormir et découvrir enfin la ville et glaner des infos sur sa fratrie .

Prise d'une crise d'éternuements. Elle se sentit gênée ,il manquait plus qu'elle ne tombe malade.
Elle murmura *Excusez moi *

Nombre de messages : 181 Date d'inscription : 19/07/2008

Passant devant le charmant établissement de la marée basse, Tifa y remarqua la présence d'Eleone qui avait su trouver un lieu pour se reposer et penser à loisir, probablement, de ce qu'elle ferait de son avenir et si elle s'établirait à Reims.

Tifa lui fit un signe de la main à travers les carreaux de la taverne.

-bonjour demoiselle Eleone !! si vous avez besoin de quelque chose, n'hésitez pas à venir me rendre visite !

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Regardant la jeune femme quelque peu endormir, Eléanore fut étonnée par la rapidité de ses propos. Souriant en prenant sa commande, elle partit dans la cuisine et mit le lait a tiédir. Elle versa ensuite du miel dans un récipient puis le remplit de lait chaud et repartit dans la salle.

Arrivant à sa hauteur, elle posa le bol sur la table. Mettant sa main dans sa poche, elle sortit son trousseau de clefs, en détacha une et la posa à coté de la commande.
Voila votre lait chaud au miel ainsi que la clef de votre chambre. Elle est au premier étage au fond du couloir à gauche, vous pouvez rester le temps qu'il convient.
Par conte si vous recherchez une demeure, je vous conseille d'aller au cadastre. Je pense que vous pourrez trouver ce que vous recherchez
Regardant la jeune femme, elle remarqua qu'elle ne l'avait jamais vu auparavant et reprit
Je ne vous ai pas souhaitez la bienvenue à Reims, excusez moi pour mon accueil des plus terne... C'est que... Aujourd'hui, j'ai un peu la tête ailleurs...

Sur ces dernière paroles, elle laissa la jeune femme seule.

Faisant quelque pas dans la taverne, elle regarda tristement Tristan qui était accoudé au comptoir. Elle inspira profondément puis souffla lentement comme pour faire sortir en elle tout les inquiétudes et le stress qu'elle éprouvait a cette instant.

D'un pas lent, elle se dirigea vers lui et s'accouda à coté sans dire le moindre mot. N'osant tourner la tête pour le regarder, elle observa la fumée qui s'échappait du bol pour disparaître paisiblement dans l'air.

Au bout de quelque minutes, elle demanda d'une voix qui se voulait calme alors qu'on pouvait entendre une pointe d'anxiété.
Je suis désolé de vous avoir laisser ainsi. Quelque peu gênée elle reprit Qu'étiez vous en train de me dire ? Vous parliez de la bourgogne il me semble...

Tristan était perdu dans ses pensées quand il sentit une présence à ses cotés, il releva son regard du bol qui était devant lui pour la regarder,
Eléanore lui parla de la Bourgogne, et il sentit un sentiment de mal être en lui rien qu’à l’évocation de ce sujet, il y a quelques instants il était prêt à tout lui dire, mais son courage c’est envolé maintenant.

Il réfléchit un instant puis dit calmement.

Vous êtes occupée, je crois qu’il vaudrait mieux que je vous laisse travailler tranquillement.

Tout en disant cela, il jeta un coup d’œil aux tables ou se trouvaient les deux clientes.

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Regardant par dessus de son épaule, elle balaya la salle d’un rapide coup d’œil
Si elles étaient venu un autre jour, cela ne m'aurait pas posée problèmes de les accueillir, mais aujourd’hui je n’ai pas vraiment le coeur à travailler...

Vous avez que votre lettre et votre retour m'ont surprise et maintenant que nous nous retrouvons face à face, j’aimerais entendre ce que vous étiez sur le point de me dire tout à l'heure

Elle le regarda d’un air déterminée voulant enfin avoir des explications de ce qu'il s'était passé durant ces derniers mois.

En réponse à ses derniers mots, Tristan resta silencieux au début, comment lui raconter tout ce qui lui était arrivé comme ça, certes, il lui devait une explication mais, il avait imaginé autrement la façon de les lui fournir.

Eléanore, je ne peux pas, pas…*il regarda derrière lui* pas maintenant, pas comme ça.

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Elle le regarda jeter un coup d'oeil derrière son épaule. Visiblement, il ne voulait pas parler en présence des clients et elle savait qu'évoquer son père ainsi que sa famille était un sujet qui le touchait tout particulièrement. Se redressant elle lui proposa
Allons dans un endroit plus discret dans ce cas. Montons à l'étage, nous parlerons dans ma chambre si cela vous convient ?

Il avait l’impression que le monde entier était contre lui, que le monde entier voulait le séparer de la seule personne avec qui il voulait être, et alors qu’il était là avec elle prêt à tout lui dire, il a fallu qu’un autre obstacle fasse son apparition,

Après sa dernière réponse, il s’était dit qu’il venait de gâcher sa seule chance de s’expliquer, et qu’il l’avait peut-être perdu à tout jamais cette fois ci. Puis…quand elle lui demanda de se rendre autre part, il fut tellement surpris qu’on aurait cru apparaitre un sourire sur son visage.

Il la regarda silencieux un instant puis répondit

Oui, s'il vous plait, si cela ne vous dérange pas

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

La frustration commençait à se lire sur le visage d'Eléanore. A chaque fois qu'elle tentait de connaître les raisons de son départ, il se renfermait un peu plus sur lui même.
Comprenant qu'il avait une certaine gène à parler avec du monde autour de lui, elle lui proposa donc d'aller bavarder dans un endroit plus calme, ce qu'il accepta.

Lui souriant, elle l'invita à le suivre.
Montant les escaliers, elle marcha d'un pas lent en se dirigeant vers la dernière porte au fond du couloir.

La nuit commençait à tomber alors qu'Eléanore entra dans la pièce. Se dirigeant d'un pas sur vers la commode, elle y alluma une lampe à huile qui éclaira toute la pièce.
Elle se retourna vers son hôte qui était resté au pas de la porte
Entrez, je vous en prie.

La chambre n'était pas bien grand, mais elle avait tout pour être confortable. Un lit sur la droite ainsi qu'un canapé et une table basse vers la gauche et un secrétaire au niveau de la fenêtre en face de l'a porte.

Elle fit un signe à Tristan en montrant le canapé alors qu'elle se dirigea vers la fenêtre pour regarder le ciel.
J'espère que nous pourrons enfin discuter, il me tarde de savoir de quoi vous vouliez me parler

Elle se retourna et le fixa du regard espérant qu'il allait lui donner une explication, même minime soit-elle. Elle voulait connaître les raisons qu'il l'avait rendu ainsi.
Que c'était-il donc passait en bourgogne ?

[Dans la Chambre, au premier étage]

Tristan sentit son cœur battre de plus en plus fort à chaque marche qu’il montait, une fois dans la chambre, il entendit Eléanore lui parler, mais son regard se portait sur sa chambre, c’était donc la qu’elle habitait, il eu un petite sourire à cette pensée, puis son regard se posa sur elle devant la fenêtre, elle semblait si fragile, si triste…même si elle voulait faire croire le contraire, et cette pensée l’attendrie.

Puis sans s’en rendre compte, il s’assit sur le canapé qu’elle lui avait montré, elle semblait pressée d’entendre ce qu’il avait à dire,
Si elle savait, peut-être qu’elle changerait d’avis, peut-être qu’elle changerait de comportement, peut-être qu’elle voudrait qu’il sorte de sa vie…tellement d’incertitudes qui rendirent le fait de lui parler plus dur.
Il prit une profonde inspiration et commença

Bien, voici les raisons de mon absence…

Il ne savait pas s’il devait tout lui dire, il avait trop peur de sa réaction

Il y a quelques mois j’ai reçu une lettre de mon plus jeune frère me demandant de me rendre en Bourgogne le plus rapidement possible, il disait que mon père était mourant, qu’il demandait à me voir et qu’il ne savait pas combien de temps il lui restait à vivre.

…Vous savez que mes rapports avec mon père n’ont jamais été…de bons rapports *dit-il tristement* mais je pensais que si j’y allais…je ne voulais pas être loin comme cela avait été le cas avec ma mère.

Il s’arrêta un moment en fixant le sol des yeux.

Je suis venu ici pour vous trouver mais vous n’étiez pas là et j’avais trop peur d’arriver en retard…alors j’ai dû me résoudre à partir sans vous avoir vu.

Il leva les yeux vers elle essayant de lire dans ses yeux ce qu’elle pouvait bien ressentir

j’ai pensé vous écrire une fois arrivé, mais la suite des événement en a décidé autrement.

sur ces mots, ils s’arrêta, tout ce qu’il pouvait dire pour le moment c’était ça, le reste était bien trop difficile à avouer et bien trop blessant.

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Les bras croisés, Eléanore le regardait en essayant de dissimuler ses émotions. Tournant le dos à la fenêtre, elle voulu paraître calme et posée alors qu'elle était anxieuse.

Elle l’écoutait silencieusement devenant de plus en plus triste au fil du récit. Il avait dû traversé des moments difficile et depuis son retour, elle s’était montrée distante et peu compréhensive.

S’approchant de lui, ses pas résonnaient lentement sur le planchait de bois et prit place a coté de lui.
Elle le regarda avec douceur ne sachant par où commencer puis après un petit moment d’hésitation elle rompit le silence
Je suis sincèrement navrée pour votre père... Sachant les liens qui vous unissaient, cela dut être une terrible épreuve de se retrouver en face de lui.

Bien qu’a l’époque je fut peinée de vous savoir partie, je comprend à présent votre peine. Retourner dans votre famille n'a pas dût être une chose facile.

Bien qu’elle comprenait les raisons de son départ, elle avait perdu depuis longtemps la confiance qu’elle avait en lui et cette pensée lui donna l’impression d’être qu’une égoïste.
Froissant le tissu de sa robe entre ses doigts, elle dit faiblement sans s’en rendre compte
Si vous ne m’aviez pas trouvé ce jour là, vous auriez pût... me laisser un mot...

Réalisant qu’elle avait parler à voix haute, elle releva aussitôt la tête inquiète de voir sa réaction.

Tristan avait arrêté de parler, et garda les yeux rivés vers le sol, quand il entendit des pas s’approcher de lui, puis un instant plus tard, Eléanore se trouvait à ses cotés, il la regarda anxieux l’écoutant parler, mais quand elle lui demanda pourquoi ne pas lui avoir laissé un mot, il paniqua.
S’il voulait qu’elle comprenne il fallait lui dire la vérité, une vérité, qui n’était pas facile à entendre certes, mais qui était encore moins facile à dire.
Il la regarda, ne sachant pas quels sont les mots qui allaient sortir de sa bouche à cet instant.

J’ai voulu vous écrire…je ne voulais pas perdre de temps et je pensais vous écrire de Bourgogne…mais…

Comment allait-il pouvoir tout lui raconter

A mon arrivée, j’ai…rien ne c’est passé comme prévu…même si je ne savais pas ce qui était prévu, je partais sans savoir ce que j’allais faire…ni comment réagir.

Et tout a changé, j’avais l’impression que ma vie n’avait plus de sens, que je n’avais plus aucune raison d’être après ce que j’ai…après ce qui c’est passé.

Quelque chose en moi c’est brisé, et je me suis retrouvé sur les routes, sans but, sans rien de plus que mes souvenirs, qui pour la plupart étaient des mensonges.

Il la regarda dans les yeux et dit

Je me suis rendu compte que vous êtes, Eléanore, le seul souvenir que je ne voulais effacer de ma mémoire, que vous êtes la seule personne qui me donne envie de sourire, qui me donne envie de vivre.
Et, quand je pense que je vous ai fait souffrir durant tout ce temps, que j’ai failli vous perdre, ou peut-être que je vous ai perdu à cause de…

Il dit ses derniers mots avec tant de rage qu’il en était étonné lui-même.

S’il faut que je passe le restant de ma vie à vous demander pardon pour cela, alors ma vie sera faite de cela Eléanore, puisqu’en ce jour vous êtes la seule personne qui compte pour moi.

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Eléanore l’écoutait sans rien dire, le regardant tristement alors qu’elle sentait un malaise grandir en elle. Il n’était pas plutôt arrivé qu’elle s’était déjà montrait indiscrète en lui demandant de lui raconter ce qu’il s’était passer en Bourgogne.

Je suis sincèrement désolé pour vous... Je sais que mes mots ne vous réconforteront certainement pas après ce qu’il c’est passé. Mais vous n’avez pas a vous sentir coupable. *Ne connaissant toute l'histoire, elle lui dit naïvement* Je sais que la mort de votre père a dût être une épreuve. Mais s’il vous à fait demander a son chevet, c’était sûrement pour renouer avec vous. Retrouver le fils qu’il avait perdu durant ses dernières années.

Elle lui prit sa main et le regarda d'un air compatissant lorsqu'elle se sentit rougir avec un sourire aux lèvres.
Sachez que vos paroles me touche et j’espère qu’à l’avenir vous ne partirez plus sans m’en avertir. Mais...

Elle s’arrêta cherchant ses mots alors que son sourire s’estompait peu à peu. Certes, elle était ravi d’être à nouveau a ses coté, mais elle ne pouvait effacer les sentiments d’abandon qu’elle éprouvait.

... De l’eau a coulait sous les ponts depuis notre dernière discussion et votre retour a Reims.
Durant ce temps, les semaines ont passées, la vie a reprit son cours et je m’étais résignée à ne plus jamais vous revoir.
J’ai l’impression d’être encore dans un rêve, prête à me réveiller à tout moment et de découvrir que finalement vous n’êtes pas là... Enfin, je veux dire par là que je ne peux pas effacer aussi facilement les sentiment que j’ai ressentit durant tout ce temps en une soirée.

La confusion se lisait dans son regard alors que les larmes ses formaient aux coins de ses yeux azur.

Tristan l’écoutait parler, comprenait ce qu’elle pouvait ressentir, il était fautif, et ne pouvait le nier, il acceptait le fait qu’il ait perdu la confession qu’elle avait en lui, qu’elle ne voudrait peut-être pas lui parler au début, Que pouvait-il faire dans ce cas si ce n’est attendre, et tout faire pour regagner sa confiance.
Il regarda la jeune femme puis posa ses mains sur ses joues et de ses pouces il essuya les larmes qui avaient mouillé son joli visage.

S’il faut attendre j’attendrai, et même si pour le moment vous ne me croirez pas, je vous promets Eléanore que je ne partirai plus loin de vous.

Que pouvait-il dire de plus?...rien…il fallait laisser le temps faire son œuvre.

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Elle lui sourit mélancoliquement alors que ses larmes coulèrent le long de ses joues.
Posant ses mains sur les siennes, elle les enleva et vint les poser sur ses genoux sans jamais les lâcher
Il se fait tard. Vous avez dût faire un long voyage et vous avez sûrement envie de vous reposer.
Je vais vous préparer une chambre pour cette nuit.

Elle le regarda dans les yeux avant se de lever de son siège en lâchant ses mains. Sortant son trousseau de clefs de sa poche, elle se mit a réfléchir sur la chambre qu'elle allait lui proposer. L'invitant à se lever puis à la suivre, ils partirent dans le couloir puis quelque seconde après, ils s'arrêtèrent devant une porte
J'espère qu'elle vous conviendra. Je vous souhaite une bonne nuit

Lui jetant un dernier regard, elle le laissa seul repartant dans sa chambre.

Un souffle d'air traversa la pièce refroidissant de quelques degrés l'air ambiant...

Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 18/09/2008

Passant devant les fenêtres de cet endroit, j'entendis des bruits de discussions. Je me décidai à entrer pour faire connaissance avec les villageois.

Bonjour à tous, je viens me présenter à vous. Est-ce ici que l'on peut partager un verre??

Nombre de messages : 181 Date d'inscription : 19/07/2008

Moi, dame Misti, si la boisson n'est pas trop alcoolisée ? Je suis prête à vous tenir compagnie ! Le temps est vraiment superbe en cette journée et il nous faut bien nous délasser de temps à autre !

J'ai su que vous aviez été au cadastre pour connaître l'endroit de votre prochaine demeure ! Qu'envisagez-vous ? Des travaux, des aménagements ? Racontez-moi tout !!!

Sans curiosité malsaine, Tifa était ravie de se retrouver avec Misti et de l'interroger sur ses projets ! De la conversation viennent les grandes idées dit-on ! Elle attendit la réponse de Dame Misti avec intérêt !

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Servant quelques clients de passage, Eléanore entendit la porte s'ouvrir. Tournant la tête pour accueillir le nouveau client, elle reconnut la femme qui était passée au cadastre il y a peu de temps.
Reconnaissant également Tifa, elle s'approcha d'elles avec un sourire.
Bonjour Mesdames, prenez donc un siège. Voulez vous boire quelque chose ??? Nous avons des boissons alcoolisés comme des boisson chaudes.

Attendant leur réponse, elle écoutait avec une grande curiosité la conversation

Nombre de messages : 181 Date d'inscription : 19/07/2008

Une boisson chaude, Dame Eléanore, s'il vous plait ! Non que le temps soit frisquet mais à l'heure où nous causons, il s'agirait de ne point prendre froid !

Tifa était toujours ravie de la bonne humeur persistante de Dame Eléanore ! Tifa se mordit les lèvres car elle avait probablement négligé cette taverne de peur d'y rencontrer quelques soiffards invétérés mais se promit d'y revenir souvent car l'accueil était chaleureux, souriant. Quel bonheur de se retrouver là après une dure journée de labeur !

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Prenant note de la commande, elle attendit que Mistimoy finisse de choisir pour aller tout préparer
Il ne fait pas encore bien froid, mais la fraîcheur commence a venir petit a petit. Et pendant que j'y pense, ne m'appeler pas Dame, vous pouvez m'appeler juste par mon prénom.

Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 18/09/2008

M'asseyant sur un siège contente de revoir des personnes fort amicales:

Je prendrais bien un bon thé pour me revigorer si cela est possible.

Me tournant vers Dame Tifa:

Mon installation commence par le fait de pouvoir ouvrir la porte d'une demeure dont je suis totalement la propriétaire et cela est un plaisir sans égal. Dame Eléanore m'a trouvé un petit coin très chaleureux. Pour le moment cela est rudimentaire mais j'espère pouvoir aménager l'endroit bientôt.

Qu'il était bon d'être assise ici à pouvoir babiller avec des nouvelles connaissances agréables.

» Taverne
» Le Plan de Vertus et son cadastre
» [RP] Auberge des oiseaux de passage
» [RP] Taverne de la rose blanche

NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

[RP] Taverne de la marée basse