Monsieur le maire comme convenu je me présente à vous pour voir les places libres au sein de la mairie.
J'ai vu que quelques places étaient en attente, donc j'attend de votre part des nouvelles pour me proposer les postes restant,
En espérant que ma personne pourra remplir ses tâches, sans vous faire rougir.

Votre serviteur Peredunod

ps (Une erreur de ma part un autre message a été posté à la chapelle des vertus mes excuses)

Meganilo regarda ce nouveau venu qui rentrait dans son bureau, il reconnut peredunod :

Ha, Peredunod, comment allez-vous ?

Meganilo lui sourit puis reprit :

Vous souhaitez donc faire partie du conseil ? Quel poste vous intéresserez ? Je sais que vous êtes un homme de religion mais ne vous inquiétez pas, le conseil vous accueillera avec joie.

Meganilo eut soudain une idée :

Hmm, si je me rappelle bien j'avais dû vous refuser le poste de curé...Père Huon assume cette tâche désormais mais je suis sûr qu'il serait d'accord pour accueillir une aide au niveau de l'Eglise, si cela vous intéresse je pourrais lui en parler.

(hrp : pas grave du tout pour le message de la chapelle, je l'ai supprimé )

Monsieur le maire j'ai bien lu, la proposition pour aide auprès du Père Huon , ceci dit une place à la police ou aux conseillers des embauches me plairai aussi.
la police rentre dans ma devise contre le volet et l'injustice
Et les embauches à découvrir autre chose de la mairie.

Peredunod parties dans les rues de la ville de Vertus, tout en pensant aux propositions de Monsieur le Maire.

Peredunod une fois dans la rue principale, se dit qu'il était peut-être partie un peu vite. D'un seul coup il fit demi-tour et reparti sur ce pas à la mairie.
des fois on entend des voix où on croit entendre des voix, mais on se fie à elle

Monsieur le maire s'est Peredunod , êtes vous encore présents dans votre bureau, j'aurai un grand plaisir à bavarder avec vous.

Monsieur le maire pas deux postes à la fois, c'est peut-être beaucoup .
je préfère en prendre un et remplir ma tâche parfaitement.
le poste des embauches me plaît, j'aimerai savoir en quoi consiste la tâche .
et le poste de police aussi .

Perdunod attendait avec impatience les explications de Monsieur le maire

une fois entendu les explications de Monsieur le Maire,
un moment de silence se fit sentir.


Monsieur le maire le poste des embauches me plaît,
et je veux bien le découvrir , je viendrai demain à votre bureau pour remplir tous les formulaires. la nuit porte conseil .
je vous souhaite une agréable soirée


votre serviteur Peredunod

Peredunod sortit du bureau est parti jusqu'à sa demeure tout en réfléchissant à son futur travail .

Meganilo eût un grand sourire lorsque Falshir accepta sa proposition, décidément il semblait prometteur et sérieux. Meganilo se leva puis dit :

Et bien messire, je vous invite à me suivre, je vais vous montrer la taverne, vous réfléchirez en route d'un nom ? Si vous êtes toujours motivé après l'avoir vue, nous irons au cadastre afin de remplir les formulaires obligatoires.

Meganilo se leva et se dirigea vers la porte, invitant messire Falshir à le suivre.

(hrp : suite ici https://droits-divins.1fr1.net/vertus-f34/auberge-enfin-trouve-t587.htm)

(dans la salle d'attente de la Mairie)

Cétait elle qui avait passé dans le trou de la mine. Elle avait eut un peu de mal, elle s'était écorchés les coudes et les genoux a vouloir pousser pour sortir de là. Mais elle y était parvenue.

Elle qui était a Vertus depuis quelques jours, question de changer d'air. Elle en avait eut pour son rhume. Un écroulement de la mine. Rien de moins.

Toutefois, sa conscience la poussait à penser aux mineurs et non a elle-même. Donc, c'est en entrant dans la mairie qu'elle dit au secrétaire,

Dites a Messire le Maire, que la mine s'est effondrée et que les mineurs sont prient derrière un tas de pierres.

Ce message, dit avec si peu d'émotion par la jeune femme qui lui débitait tout cela, le secrétaire lui, affolé, accouru dans le bureau du Maire et cria presque..

Messire le maire, messire le maire, mine...effondré...

Il en perdait, le pauvre sa diction si parfaite. Que devant le maire celuî-ci éberlué, le regarda sans avoir bien saissi qu'il lui intima de répété.

Une jeune femme est là, ....et..... il prit le temps de respirer a fond et poursuivit, dit que la mine s'est effondrée.

Meganilo qui revenait de chez lui, après s'être équipé, avait vu un coursier pénétrer dans la mairie. Intrigué, il attacha Amra, et fit signe à un garde de surveiller ses affaires, puis il rentra à son tour à l'intérieur du bâtiment. Le messager discutait avec l'assistant du maire. Il lui demandait, haletant, s'il pouvait voir le maire de Vertus. L'assistant lui répondait que celui-ci était déjà partit. Mais Meganilo toussa discrètement afin d'attirer l'attention des deux hommes.

Bonjour messire, dit-il en regardant le coursier, que m'apportez-vous ?

L'homme lui tendit une lettre, Meganilo tressaillit, le sceau du comte... Albert de Laffite, pair de France, soudain il comprit qui était ce jeune homme qui portait sa sœur à Reims. Il n'avait même pas reconnu un confrère. Il décacheta la lettre et la lut avec attention.

Citation :

Meganilo, Pair de France,

Vous n'êtes pas s'en savoir que j'attendais sa Majesté en milieu de matinée ce jour. Or il s'avère qu'à l'heure où je vous écris - il est presque midi - le cortège royal n'est toujours pas arrivé.

J'ai fait envoyer des hommes pour qu'ils parcourent environ quatre lieues en direction de Paris, mais ils sont revenus bredouille.

C'est pourquoi nous avons décidé avec l'armée de Champagne de partir au plus vite pour Paris. Nous avons en connaissance qu'un brigand rode en Champagne, mais nous n'arrivons pas à le coincer. Cet homme visiblement très dangereux aurait pu s'en prendre au cortège royal. J'espère seulement que c'est moi qui brasse du noir et que tout cela n'est pas arrivé, qu'ils ont juste eut un problème de carrosse.

Messire, si vous voulez nous rejoindre pour l'opération, faites vite nous partirons je l'espère un peu avant la tombée de la nuit.

Puisse le très haut nous protéger.

Albert de Lafitte

La Reyne, n'était pas... à Reims... Les pensées les plus horribles submergèrent Meganilo.
Vite, il fit un signe de tête aux deux hommes, les remerciant, fourra maladroitement la lettre dans sa poche et sortit en courant au-dehors.

Le Baron entra dans la pièce, en suivant le maire tout en regardant l'intérieur, attentif à ce qu'il voyait. Le maire s'assit sur son fauteuil et invita d'un geste Michel à s'assoir. Celui-ci ne s'asseya pas, marchant, dos à Méganilo en regardant les différents murs de la pièce, semblant pensif.

Et bien, il semblerait que votre déception vous fasse faire bien des erreurs, messire. Envoyez ces pauvres paysans à Reims, délaissant les récoltes et les élevages sous prétexte que notre jeune Duc soit un peu stressé ... Il est vrai qu'il a vécu des aventures terribles ... Mais voyez vous, notre Duc est un traitre à la couronne. Vous lui envoyez des gens pour mener à bien son entreprise ... Je ne pouvais me permettre de dire cela en publique, vous le comprendrez aisément ...

Il déplia la lettre et la donna à Méganilo. J'ai intercepté ceci il y a peu ...

Citation :

Moi, Albert de Lafitte, Duc de Champagne et Pair de France, demande l'abdication du Roy en mon âme et conscience, lui retirant ainsi tout pouvoir qui lui a été conféré.

Ci fait le 30 Avril de l'An 1561.

Albert de Lafitte