NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Missive à notre bon maire.

Mon respect, mon salut

Je viens ici vous féliciter en premier lieu, après ses politesses messire le maire voila le sujet de ma visite.

Notre ville grandit et de bien belle manière, à voir ce que je croise ici et la.
Le monde arrive.
Nous devions commencer par le départ, c’est fait vous etes à notre tête, maintenant messire il serait temps de regarder ce que nous pouvons faire pour renforcer les institutions de notre ville cité.

Je vous propose donc, car je sais qu’il excite la création d’une force de police je suis aussi messire très intéressé par les forces armée, mais commençons donc par celle du gué et voila ce que je vous propose.
Création d’une force de police pour aider le pouvoir politique à la bonne gestion de notre grande ville.
Le découpage en est fort simple :

Nous avons déjà les locaux j’aurais préféré qu’il porte le nom ‘ d’hôtel de police ‘ mais poste me va bien.

Le Personnel :

Création et nomination d’un lieutenant de police ou d’un Prévost des maréchaux, il a en charge la gestion et la bonne marche des forces de police ou du gué.

[i]Création et nomination de sergents de police ou chevaliers du guet, ils ont pour but d’aider le lieutenant de police ou le Prévost.

[HRP/(Le choix des noms est à définir des le départ aussi bien IG que RP pour que l’ensemble des villes puissent avoir la même structure pour une bonne compréhension.
Mais je sais que saint admis sera une aide des plus précieuse dans cette aventure )HRP/]

Ils seront sont la responsabilité de la justice et des connectables du conté.

Voila pour le départ messire, mais je reste à votre disposition pour toutes demandes.
Je vous salut donc

Bonjour Monsieur le Maire.

Je viens d'accéder ua niveau 1 et j'ai choisi la voie de la voie politique.
Cependant j'aimerais savoir si vous ne posséderiez pas les statisqtiques de la vie, tel le nombre de champs de tel culture.
Je voudrais faire le choix de ma culture mais je préfère connaitre les besoins de la ville avant Neutral

.

Squad revena après le message du messager du roy. Avant son arrivé, Breizhou l'attendai là, au bureau du maire. Le jeune homme prononça ce qu'il avai a dire et Squad enchaina.

- Désoler.. Nous ne savons pas ces statistiques.. Je suis désoler de ne pas pouvoir vous aider, Breizhou.

Et Squad attendi devant lui sa réponse.

Hum bien, j'ai fait le choix de cultiver des légumes Basketball

.

Ermeline franchit le seuil de son nouveau bureau, elle s'assit et songea aux projets qu'elle avait pour Reims.

Elle souhaitait, avant toutes choses, pourvoir aux différents postes de Conseillers pour soulager un peu ses interminables heures de travail dont elle s'acquittait.

Dans l'attente des candidatures, elle se replongea dans les comptes de la ville.

Une missive fut déposée par un jeune homme sur le bureau de la mairesse de Reims.
L'écriture était raffinée et douce.

Citation :: Bien le bonjour, Dame Ermeline,

Veuillez recevoir toutes mes félicitations pour votre nomination à la mairie de Reims.
Je me permets par la présente de vous contacter afin d'ouvrir des négociations en ce qui concerne un minerai de valeur qu'est le fer et que nous produisons actuellement à Vertus.
Pour cela, Les Itinérants vous accueilleront au sein de leur caste afin de négocier avec nous un éventuel marché.

J'invite donc votre Conseiller Général au commerce à se rendre dans les bureaux des Itinérants afin de s'inscrire dans les registres et de pouvoir discuter affaire.

Je vous remercie d'avance pour votre attention, en espérant que vous donnerez suite à ce courrier.
Recevez dès lors toute ma sympathie,
Ambroisie, conseillère générale au commerce de Vertus la Belle.

Le jeune envoyé attendit auprès de la maire au cas où il y aurait réponse ou congé de sa part.

Ermeline était en train d'examiner les demandes de candidature aux postes de conseillers quand un jeune émissaire fit son apparition, il semblait fort aimable.

Elle se saisit de la missive posée sur son bureau et pria le jeune homme de s'assoir pendant qu'elle en prenait connaissance.

Elle prit sa plume pour lui répondre :

Citation :: Bonjour Dame Ambroisie

Tout d'abord je vous remercie de vos félicitations, recevez les miennes pour votre place au sein du Conseil de Vertus.

Votre proposition retient toute mon attention, dès que ce poste sera pourvu il me semble judicieux en effet que mon Conseiller réponde à cette invitation.

Recevez mes sincères salutations

Ermeline, maire de Reims

Elle cacheta sa missive et la tendit en souriant à l'émissaire qui venait de se lever. Ce dernier prit congé et sortit remplir cette nouvelle mission.

Ermeline se remit au travail.

Ermeline leva la tête de ses dossiers et vit le soleil briller au dehors. Elle songea qu'il y avait bien longtemps qu'elle n'était point rentrée chez elle et n'avait fait de promenade en forêt, un endroit qu'elle aimait particulièrement.

Elle se décida à faire une pause et appela un garde pour lui laisser ses consignes.

Ceci fait elle se drapa dans sa cape et sortit.

Voilà de nombreux jours que le maire de Reims était parti lâchement. Depuis, aucune nouvelle de sa remplaçante. Que faisait le conseil municipal? Que devenait Reims?

Pas un mot, pas une annonce, rien. Ainsi on traitait vraiment les électeurs comme des vaches à lait.

Mirwen guettait chaque jour un signe, une nouvelle mais chaque jour la décevait un peu plus.

Ermeline arriva de bonne heure à l'Hôtel de ville. Un sourire amusé lui vint, qu'elle s'empressa de cacher, en reconnaissant la visiteuse qui marchait de long en large. Elle se souvenait de ses éclats, de sa rage. Le visage impassible, elle la salua :

Bonjour Dame Mirwen

D'un pas alerte elle se dirigea vers son bureau où une pile impressionnante de missives menaçaient de s'effondrer.
Elle s'assit et commença à prendre connaissance de son courrier.

Croisant la mairesse par intérim, Mirwen s'arrêta. Elle salua la dame en retour.

Bonjour Madame la maire.

Est ce qu...

Mais celle ci était déjà repartie. Ainsi les secrets de Reims appartenaient à ceux qui s'accrochaient à leur petit pouvoir. Elle partit donc en haussant les épaules.

Ermeline continuait de regarder son courrier, la plupart étaient des demandes d'habitants, quelques unes officielles, d'autres de journalistes.

Elle prit sa plume pour répondre, cela lui prendrait bien plusieurs heures.

Elle entendit une porte claquer, leva la tête, sourit puis se replongea bien vite dans son travail.

Un couple âgé et vêtu de ses plus beaux atours avaient franchi le seuil de l'Hôtel de Ville.

Ils semblaient hésitants, un peu perdus et regardaient autour d'eux. La femme s'approcha d'un mur où s'affichait un parchemin. Son mari la suivit.

Ils déchiffèrent péniblement, lecture et écriture n'étaient point faciles pour eux, par contre ils étaient imbattables quand il s'agissait de compter, leur trésor bien caché en était la preuve.

Vous trouverez les Bureaux du Maire et de ses Conseillers au premier étage.
Maire : Ermeline
Conseiller des Ventes et des Embauches : hå kan
Inspecteur Général des Impöts : Jacques Cartouche
Banquier : Albert
Conseillère à l'Accueil : Kyann
Conseillère des Festivités : Eléanore
Conseiller honoraire : Limose de Montesquiou

Après avoir lu, ils se regardèrent, la femme semblait vouloir repartir, ils commençèrent à se disputer:

C'était bien la peine de nous avoir fait mettre nos beaux habits si tu ne veux plus maintenant voir le Maire, fulmina l'homme

Je ne sais plus, je me suis peut-être trompée, je ne voudrais pas, je n'ose pas ..., rétorqua la femme sans finir sa phrase.

Mon Dieu, que les femmes sont compliquées, je te préviens si nous partons maintenant et que par la suite tu changes d'avis, c'est seule que tu reviendras.

Je préfère oui, il faut que je sois sûre, lui répondit-elle en essayant de pousser son époux dehors.

Un des gardes chargé de la sécurité s'approcha pour voir ce qui se passait mais n'eut pas le temps d'intervenir, le couple s'était empressé de quitter les lieux. Intrigué il les suivit discrètement.

S3ifer de Merdum arriva discrètement en face de la mairie à bord d’une brouette car les économies des Merdum étaient au plus bas depuis quelque temps car madame le procureur Babyangel85 aime les bijoux qui ont de la valeur et cédant à tous ses caprices, telle sa beauté étaient grande, ils allaient finir par être obliger de quitter leur merveilleux domaine mais cela n’empêcha pas qu’un écuyer poussait la brouette du noble S3ifer.

Il essayait de paraître le plus noble possible mais les gens ne fessaient attention qu’a cette brouette. Le problème est que la brouette ne possédait pas de portes donc il dut faire un petit sot et il avait réussi par on ne sait quel malchance à se prendre les pieds dans sa cape. Comme tout bon écuyer, le sien se jeta par terre pour que S3ifer ne se salisse point.

Il s’étaient mit dans la tête qu’il le ferai aujourd’hui même mais voyant tous ces regards il faillit faire marche arrière mais c’était trop tard, il était déjà en face de la mairie, il pris son courage à deux mains et entra. Il monta les escaliers bien décidé à se présenter à madame le maire mais loupa la 4eme marche et alla se taper la tête droit sur les marches, par il ne sait quel miracle une souris passait par la, ce qui amortit sa tête par contre la souris… Paix à son âme.

Son but aurai pu paraître tout simple pour n’importe qui mais pas pour lui, il avait enfin décidé de vaincre sa grande timidité et d’arrêter de vivre dans sa demeure caché aux yeux de tous. Il fallait qu’il se présente au maire, c’est ce qu’il fit à la minute.

Rougissant et ne trouvant pas trop bien ses mots il commença enfin.

Bon.. Bonjour à vous madame le maire, je me présente je suis S3ifer de Merdum belle époux (^^) du procureur de la ville. Je me présente aussi comme maire de Reims donc je me suis dit qu’il serai normal que je vous salue madame. Je vous souhaite bon courage et je m’efforcerai de ne point abusé des pots de vin.

[hrp]Dsl pour mes fautes mais j’avais envie de poster au moins quelque chose sur le forum Very Happy

[/hrp]

Déplacé du sujet : Accueil des villageois - Portes de Reims
Albert

Ermeline fut distraite de ses dossiers par un bruit venant de la rue, on aurait dit le grincement d'une roue. Elle s'approcha de la fenêtre et vit un drôle d'équipage... elle n'en croyait pas ses yeux et pourtant elle en avait vu des choses bizarres. Un homme descendait, enfin descendait était un bien grand mot, d'une ... mais oui d'une brouette et se dirigeait vers la porte de l'Hôtel de Ville.

Des bruits de pas... enfin de chutes dans l'escalier et soudain apparut dans l'huis un homme dont le visage avait pris une teinte écarlate. Elle l'écouta se présenter, puis lui répondit :

Bonjour Messire, enchantée de faire votre connaissance.

J'ai en effet appris la nomination de votre épouse au poste de procureur, veuillez lui transmettre mes félicitations pour sa nomination.

Je vous remercie d'être passé me voir, c'est une délicate attention. Je vous souhaite bonne chance pour votre quête de la Mairie, quand aux p... de v... décidemment ces mots n'arrivaient pas à sortir de sa bouche il vaut mieux les oublier, les lois sont très strictes et je n'aimerais pas devoir vous rendre visite en prison.

Elle lui sourit et le regardat, il ne savait plus trop où se mettre. Bafouillant quelques mots, tirant sur ces manches, cette démarche avait du lui coûter, elle n'en était que plus honorable. Il la salua et sortit. Elle écouta mais fut rassurée, pas de bruit de chutes, le retour se passait mieux que l'aller.

Cet intermède lui avait fait du bien, elle se replongea dans ses dossiers.

Après avoir mis à jour tous les dossiers, Ermeline put s'entretenir avec les personnes ayant répondu à son appel. Sa préoccupation était grande, il fallait assurer à tout prix la sécurité de Reims. Le choix n'avait guère été aisé mais elle avait fini par trouver l'homme qu'il fallait à ce poste.

Elle appela un garde qu'elle chargea d'afficher la nouvelle au portes de l'Hôtel de Ville :

Citation :: En ce jour du 14 mars de l'an de grâce 1561, Messire Rollon est nommé Responsable de la Sécurité de Reims

Ermeline, Maire de Reims

Un passage s'ouvrit dans le mur, Ermeline ne sursauta pas, elle s'attendait à cette visite.

Une ombre s'approcha et lui fit son rapport. Elle sourit, beaucoup de secrets venaient de lui être révélés.

Certains se croyaient à l'abri pour commettre leurs forfaits. Mais ce qu'ils ne savaient pas, c'était la force et la loyauté de ses hommes, beaucoup l'avait suivie en des contrées lointaines.

La phase d'infiltration des organisations criminelles était un succès.

L'ombre s'éclipsa plus vite encore qu'elle n'était apparue.

Ermeline se leva, donna ses instructions au garde de service puis sortit .

Albert avait couru dans les rues depuis son départ de la taverne. Il se dirigeait rapidement vers la mairie. Il en oubliait même de saluer les gens sur son passage. Il n'aurait jamais pensé que la mairie était aussi loin de la taverne... Il gravit les marches de la mairie 4 à 4. Albert reprit légèrement son souffle, et rentrant dans la bâtisse. Le bureau du maire... ah oui à gauche... c'était ça. Il s'y dirigea rapidement.

Devant la porte il frappa un coup et attendit qu'on lui réponde. Dans le couloir, il posa ses mains sur ses genoux, tête dans les bras, il essayait de reprendre sa respiration. En l'absence de réponse, Albert décida de refrapper à la porte, peut être avait il été trop discret

Dame Ermeline... vous êtes... là ? Dit il toujours autant essoufflé.

Ermeline avait pris le chemin de la Mairie, son pas était rapide. Elle croisa plusieurs personnes de connaissance avec lesquelles elle prit le temps de discuter. Beaucoup s'inquiétait de choses plus ou moins graves.

Elle arriva enfin devant l'Hôtel de Ville, salua les deux gardes postés à l'entrée et se dirigea vers son bureau au premier étage.

Quelle ne fut sa surprise d'y trouver à sa porte, très essoufflé, Albert de Laffite, Banquier de Reims et Duc de Champagne.

Bonjour Messire, vous me semblez à bout de souffle, que se passe-t-il? Quelle urgence vous a conduit jusqu'ici de façon fort précipitée?

Je vous en prie, veuillez entrer et vous asseoir, continua-t-elle en ouvrant la porte et lui indiquant un fauteuil.

Albert regarda le maire, il n'y avait pas dans ces yeux l'habituelle petite flamme. Cette chose qui faisait qu'il aimait tant la vie, tant se divertir, tant apprendre... L'attente n'avait pourtant pas été longue, Ermeline était arrivée rapidement, mais Albert avait l'impression dans ce couloir, qui pour une fois était étouffant, que le temps c'était arrêté.

Bonjour Dame Ermeline, je vous attendais Dit il comme si personne n'aurait remarqué, qu'il attendait quelqu'un dans le couloir devant la porte d'un bureau fermé.

De près, il la suivit dans le bureau, pourtant il préféra rester debout plutôt que de s'asseoir sur un des ces confortables fauteuils. Albert se mit à faire les cent pas dans la pièce, réfléchissant à la façon dont il allait annoncer cette tragique nouvelle

Dame Ermeline la mort a frappé aux portes de Reims. La faucheuse a préféré reprendre la vie de Dame Mirwen je ne sais pour quelle raison.

Albert fit une pause dans son récit mais continua de tourner en rond comme un aigle faisant de grands cercles avant d'attaquer sa proie.

Je me demandais si vous pouviez m'aider à préparer un enterrement pour cette demoiselle. Et euh... rejoindre Dame Anne qui est euh... en train de lui refaire une beauté si je peux dire ainsi

Le jeune Duc finit par se laisser tomber sur un fauteuil, las probablement de tourner en rond, fatigué de devoir colporter cette funeste nouvelle, affecté sans aucun doute par cette disparition.

Ermeline regardait le jeune Duc marcher de long en large dans son bureau, il n'avait pas souhaité s'asseoir. Elle retint légèrement sa respiration en entendant la nouvelle qu'il venait de lui dire.

Un de ses hommes, infiltré dans les bas-fonds de Reims, l'avait déjà informée qu'un malheur était arrivé à Dame Mirwen et que certains de ces gredins avaient essayé de cacher le corps, en vain apparemment.

C'est une bien triste nouvelle que vous apportez, Messire, puis-je savoir les circonstances de son décès?

Il va falloir contacter notre Curé pour qu'il puisse lui donner les derniers sacrements et la porter en terre afin qu'elle puisse reposer désormais en toute sérénité.

Albert regarda la jeune femme, il revoyait le visage de Mirwen inerte

Elle a été étranglée Dit il avec une expression de dégoût, comment pouvait on, ôter la vie d'une jeune femme ainsi. Le jeune Albert continua avec une chair de poule visible sur ces avants bras

Je me rendais au Château, ce chemin que j'emprunte chaque matin... mais là j'ai trouvé le corps de la jeune femme sans vie, encore en chemise de nuit, la tête dans les pavés de la ville...

Albert serra l'accoudoir du fauteuil, il avait du mal à contenir sa colère sa haine... pourtant il essayait mais ça lui pesait sur le coeur

En effet, il faudrait que notre Curé se manifeste, pour qu'elle puisse partir en paix dans l'au-delà

Ermeline regardait le jeune homme qui avait du mal à se contenir.

Quel mort atroce, j'espère qu'une enquête policière est en cours, il ne faudrait pas que le responsable s'en sorte.

Ermeline pensait que cela faisait beaucoup de morts en peu de temps, il serait temps que l'hécatombe s'arrête. Un mal diffus semblait ronger Reims déjà bien avant son arrivée et de nombreux évènements s'étaient déroulés sans que ses habitants s'en rendent même compte.

Albert se leva de son confortable fauteuil

Je m'en retourne à la taverne, vous pouvez m'accompagner je vous prie ? Dame Anne ayant été frappée par la mort également, je ne peux pas la laisser seule, même si elle est avec Artésienne.

Albert fit un léger sourire à Dame Ermeline

Ermeline se leva à son tour et sourit :

Je vous accompagne Messire, mais vous n'avez pas répondu à ma question, nous verrons cela en chemin.

Ils sortirent tout deux du bureau, descendirent l'escalier et sur le pas de la porte croisèrent un messager qui tendit une missive à Ermeline. Celle-ci pâlit en en prenant connaissance. Elle se tourna vers le jeune duc :

Je suis désolée, Messire, mais un drame familial de la plus haute importance me contraint à m'absenter de Reims pour quelques jours. Puis-je compter sur vous pour veiller, en mon absence, sur notre belle ville et faire le nécessaire pour Dame Mirwen?

Ermeline s'était reprise et rien ne semblait transparaître de ses émotions. Après avoir salué le jeune Duc, elle se dirigea vers les portes de la ville.

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