Vous accueillir ici est un plaisir pour nous Dame. Soyez la bienvenue.

Aprés une érrance de longue date me voila arrivé dans cette charmante ville ou je décide de m'installer .

Aprés beaucoup d'hésitations et surtout aprés avoir connu et pris comme femme dame Missclara je me décide a me présenter.

Voila je me nomme Henriadus , marié a Missclara , nous avons une maison qu'i n'est pas fini d'installer , évidemment ayant pris du retard je suis a la recherche de points .....! a votre bon coeur ...dans l'avenir je vais m'interresser a tout ce qui ce passe ici .Donc a bientot

Après une bonne nuit de sommeil elle sortait pour trouver du travail.

Il fallait se lever de bonne heure pour cela.

Elle allait le nez en l'air quand elle tomba sur un homme qui discourait dans la rue. En entendant son discours elle sourit.

Bonjour messire, ainsi vous être l'époux de mon amie Clara. Soyez le bienvenue dans notre bonne ville. embrassez là pour moi.

Miss qui prenait sa promenade matinal remarqua que beaucoup de nouveau visages étaient apparut dans les rues de paris. Elle passa leur dire un mot de Bienvenue.

Bonjour et Bienvenue a vous tous , en espérant que vous vous plairai autant que moi.

Bise

Bienvenue a tous les nouveau et bonne continuation......

Après de nombreux voyages sur les plus grands navires, le Capitaine de galion Mc Gregor arriva enfin dans la ville dont on lui avait dit tant de bien. Il erra de longues heures avant de s'arrêter sur une place où grouillait une multitude de personnes aux allures aussi variées que colorées.

Il s'approcha doucement et se présenta à un groupe de personne qui le regardait bizarrement.

Bonjour, commença-t-il avec son accent chantant hérité de sa terre d'Écosse, je me nomme Seathiel Mc Gregor. Je suis Capitaine de galion. Je viens d'arriver dans votre belle ville dont on ne m'a dit que du bien.

Il regarda toutes les personnes qui l'entourait. Il avait l'impression d'être une bête de foire. Il est vrai que sa stature pouvait impressionner, mais à ce point, il ne l'avait jamais vu.

Pomme avançait dans les rues de la capitale avec ses chiens, elle ne savait plus où aller, sans Cartouche elle ne savait pas vraiment où aller, et là, elle était perdue.

Elle vit un attroupement. Un spectacle ?

Oui, ça devait être un spectacle, un homme parlait.

Mon dieu qu'il est grand, se dit Pomme. Un géant !

Elle attendit debout que le spectacle commence.

Seathiel surplombait tout le monde d'au moins deux têtes et pouvait voir ce qui se passait au loin. Curieusement, les gens restaient à une certaine distance de lui. La crainte sans doute.

Il vit s'approcher une jeune femme accompagnée de deux chiens. Elle lui rappela les femmes qu'il avait vues lors de son séjour aux Amériques. Il avança alors vers elle et se posta devant elle.

Bonjour gente dame. J'ai comme l'impression de vous connaître, lui dit-il sans préambule.

Il se souvint alors de cette femme d'une tribu près de l'endroit où il vivait. Et cette femme, là devant lui, lui ressemblait étrangement. Seuls les chiens pouvaient faire croire qu'il ne s'agissait pas de la même femme.

Pomme vit tous les regards se diriger vers elle quand le géant la désigna.

Non Messire vous devez faire erreur, je ne vous ai jamais vu.
Comment pourrait-on vous oublier vous êtes tellement grand, dit-elle en riant.

J'ai peut-être une soeur alors, que je n'ai pas connue, j'ai été recueillie par un marin. Mais je ne me souviens de rien en fait, j'étais presque morte noyée.

Leane était sortie du dispensaire quelques minutes afin de respirer l'air frais.Elle vit avec plaisir un petit attroupement sur la place publique.

Bonne nouvelle, il y a encore du monde ici. Pensa t-elle.

Elle s'avança et regarda l'homme un long moment, nullement impressionnée par sa taille. Elle avait croisé tellement de personnes très différentes ,durant ses années d'errance, qu'elle n'y portait plus vraient attention.
En revanche, le mot "capitaine" l'impressionna. L'océan lui faisait peur tellement il pouvait entrer dans de profondes colères.

Soyez le bienvenue à Paris Capitaine. J'espère que vous trouverez ici de quoi vous donner envie de rester le plus longtemps possible. Notre ville a grand besoin de se repeupler.

Elle esquissa un faible sourire avant de s'en retourner vers le dispensaire.

Le Capitaine regardait cette femme aux chiens. Et plus il la regardait, plus il se rappelait son séjour aux Amériques. Elle lui certifia qu'elle ne l'avait jamais vu, ce dont il ne douta pas. Mais pour sûr qu'elle n'était point originaire d'ici.

Et bien, madame, pardonnez ma confusion.

Il s'inclina devant la dame et s'apprêtait à lui demander quelque chose quand une autre jeune femme lui souhaita la bienvenue. Seathiel se redressa et sourit à la jeune femme. Il n'eut pas le temps de lui répondre qu'elle était déjà repartie.

Il la regarda s'éloigner puis remit son attention sur la femmes aux chiens. Il s'accroupit et présenta sa main à l'un de ses chiens. Puis, faisant cela, il reprit en direction de sa maîtresse.

Dites-moi, vous ne connaîtriez pas une bonne taverne pour boire un bon coup? Si vous le permettez, vous serez mon invitée.

Il regardait le chien qui s'approchait doucement, méfiant devant l'inconnu. Finalement, le contact se fit et le marin caressa chaleureusement le poil soyeux de l'animal, attendant la réponse de la jeune femme.

Pommedapi réfléchit.

Oui Messire, je connais une taverne qui s'appelle La Rose Blanche, mais je suis perdue. J'étais dans une rue près de la cathédrale avec un ami pour chercher une maison quand il a dû partir. Il est tombé dans la boue et ses vêtements étaient sales.
Je l'ai attendu mais il n'est pas revenu, il a dû avoir à faire entre temps. Il fabrique des sceaux pour les nobles.
J'ai ensuite marché, marché, mais je ne retrouve pas mon chemin.

Elle regarda son chien se laisser caresser par l'étranger.

Messire vous avez de la chance, le chien en général se méfie des inconnus. L'autre est pire, dit-elle en désignant la chienne restée à ses pieds.
Je peux donc vous faire confiance.

Elle demanda le chemin de la taverne de la Rose Blanche à une marchande. La femme pointa une direction.

Allons par là, dit-elle à l'étranger.

Seathiel caressait le chien quand la jeune femme lui répondit. Elle lui fit remarquer qu'il avait de la chance que son chien se laisse caresser ainsi mais que se faisant, elle pouvait donc lui faire confiance.

Elle se renseigna sur une taverne portant le nom "La Rose Blanche" auprès d'une marchande. Quand celle-ci l'eut renseignée, la jeune femme lui indiqua la direction.

D'accord. Alors en route.

Il se redressa et se plaça non loin de la jeune. Celle ci était entourée par ses deux gardes du corps canins. Seathiel pensa soudain à son chat qu'il avait laissé se promener tranquillement. Il se demandait s'il allait le retrouver.

Seathiel marchait tranquillement aux côtés de la jeune femme dont il ne connaissait toujours pas le nom quand un de ses chiens se retourna et partit en courant vers un énorme chat.

Aussitôt, le Capitaine se retourna à son tour, en entendant la jeune femme crier après son compagnon. Il vit son chat - enfin, c'est ainsi qu'il le nommait - s'approcher tout en soufflant après les chiens de la jeune femme.



Il rejoignit la jeune femme et ses chiens et cria à l'attention de son compagnon.

Cheyenne, suffit! Coucher!

Aussitôt, le lynx se coucha sans perdre des yeux les deux chiens. Seathiel regarda la jeune femme et lui sourit en disant.

Je vous présente Cheyenne, mon chat.

Il jetait un oeil sur le félin qui ne bougeait pas mais qui fixait toujours les deux chiens.

Le Capitaine s'approcha pour caresser son compagnon tout en écoutant la jeune femme. Il se redressa alors et vint se placer devant elle pour lui dire.

Si vos chiens restent calmes, Cheyenne ne bougera pas. Elle est assez calme d'ordinaire. Je crois qu'elle a été plus surprise qu'autre chose.

Il regarda son lynx puis les chiens. Le face à face ne manquait pas de pittoresque. Il reposa son regard sur la jeune femme qui ne cessait de lui rappeler cette indienne qu'il avait connue aux Amériques.

Allons à cette taverne ma Dame, j'ai grand soif. Et je m'occupe de contrôler Cheyenne. Elle ne fera rien, je vous l'assure.

Seathiel se remit alors dans le sens de la marche et se mit à avancer, claquant des doigts. À ce signe, le lynx vint se placer à ses côtés et marcha tranquillement, ignorant presque les chiens de la jeune femmes.

Valère palabrait toujours avec le garde, lorsque ce-dernier détourna son attention par la présence d'une jeune femme qui venait d'arriver. Il la salua, avant de vouloir reprendre la conversation avec l'étranger.
Entre-temps, Valère avait jeté un regard furtif à la nouvelle arrivante, souriant à l'idée qu'il était normal que le garde fut attiré par tant de beauté. Soudain, il fronça les sourcils, donnant l'impression de chercher au plus profond de lui-même, ce visage s'affichait devant ses yeux. Ces traits, ce sourire... Certes, cela faisait maintenant cinq longues années qu'il ne l'avait pas vu.
Une voix vint à le saluer, Valère se tourna de nouveau vers la damoiselle, sûr maintenant de savoir qui se trouvait en face de lui

"Am... Ambroisie??? l'étonnenment pouvait se lire sur son visage. Mais... Je.... Heu... Toi??? Ici???"

L'émotion le gagna, et ses yeux s'emplirent de larmes. Il resta immobile, encore sous l'émoi de cette rencontre.

Elle ne détachait pas les yeux de l'homme qui se tenait devant elle. Quand il avait quitté la maison familiale, il avait 17 ans tout au plus et elle, à peine 13 ans. Lassé des conflits avec leur père, il avait fui un matin d'automne. Jamais elle ne l'avait revu, ni eu des nouvelles. Il lui avait promis de venir la rechercher, de la sortir de là quand il serait plus riche, suffisamment pour les faire vivre tous les deux.
A partir de ce jour là, leur père avait rejeté la faute sur elle, encore une fois.

Il n'avait pas vraiment changé. Ses traits étaient plus fermes, il était devenu un très bel homme, plus mûr, chargé de son vécu. Voyant ses larmes, elle se précipita dans ses bras et le serre à l'en étouffer, laissant juste un simple mot sortir dans un murmure ... Valère ....

Valère étreignit sa soeur qui venait de se jeter dans ses bras. Les larmes coulaient sur ses joues. Il était submergé par le bonheur que lui procurait cette rencontre, aussi fortuite fut-elle. Reprenant peu à peu ses esprits, il prit les mains d'Ambroisie et observa ce visage qui lui avait tant manqué. Puis souriant et sur un ton qui se voulait protecteur

"J'ai quitté une fillette de 13 ans, et voilà que je me retrouve nez-à-nez avec une belle jeune femme de... voyons... et oui, dix-huit ans maintenant. Ambroisie souriait. C'est bien par ce sourire que je t'ai reconnu. Tu... tu as tellement changé. Mais comment se fait-il que je te retrouve ici, à Paris? Que s'est-il passé? Qu'est-il arrivé à notre famille? Q..."

Une nuée de questions sortait à présent de sa bouche.