NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Leane rendit son sourire à la jeune femme.

Appelez-moi Leane, Madame Le Maire c'est un peu trop pompeux.

La jeune mariée regardait la nouvelle arrivante qui semblait quelque peu gênée. "Là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir" était sa devise. Si cette jeune personne savait qui était Leane à son arrivée, elle se sentirait bien plus à l'aise, c'était certain.

Bien.. J'ai encore du travail avant de rentrer chez moi. N'hésitez pas à aller à la rencontre des gens, ils sont bien sympathiques.
Et si je peux faire quelque chose, n'hésitez pas à me contacter.
A très bientôt Dame.

Leane reprit la direction de son bureau, bien décidée à terminer ce dossier avant de regagner sa maisonnette.

Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 11/06/2008

Bonjour,
Je suis Maellan Shadwick et je viens arriver dans votre belle ville de Paris. Je me sens déjà très bien ici, et j'espère m'y faire beaucoup d'amis.
A bientot

Brian qui passa par la par hasard vit une jeune dame . Une nouvelle arrivante .

Bonjour,
Bienvenu en cette belle ville, normalement ceci est le discour de notre Mairesse, mais bon . J'ai réussi a être le premier . Et biensur que vous vous ferez pleins d'amis !

Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 11/06/2008

merci.. pardon pour l'erreur Embarassed

J'espere que le mod pourra deplacer mon poste...
Miiilllleesss excuuuussesss

Merci, je vous accorderai un point d'estime pour votre gentil accueil (dès que je saurai comment trouver votre fiche hihi)
A bientot
Maellan

Voilà qui est fait!

Je me nome Julie13

pour vous servir belle compagnie

j'espère vous voir tous bientôt

Bienvenue demoiselle dans notre charmante ville de Paris. Wink

merci bien messire

(que me conseiller vous pour faire connaissance avec d'autre personne ?)

Je vous en prie.

(Le forum et faire du Rp est la meilleure chose pour faire connaissance, je vous conseille aussi l'armée et la taverne, et oui il y a parfois des gens Wink

)

Alkior aprés un long voyage, arriva enfin aux portes de Paris.

Paris, ville de tous les espoirs pour un avenir brillant et glorieux.
Lui qui n’avait croisé âme qui vive sur les chemins depuis déjà de nombreux jours, s’arrêta un instant pour assister mi fasciné, mi interrogateur à l’animation ambiante.

Marchands et badauds venus de contrées lointaines, aussi bien que de villages proches, se côtoyaient en franchissant dans un sens ou dans l’autre, l’entrée principale de la ville.
Les charretiers s’invectivant les uns les autres, tout en affublant leurs pauvres mûles de moult sobriquets colorés arrachèrent un sourire à Alkior.
Ajouter à cela le bruit de roues des charrettes sur les pavés, le bruit eut tôt fait d'inciter Alkior à reprendre sa marche à la recherche d'un endroit plus calme.
Il trouva ce lieu en se rendant sur la grande place où les nouveaux venus semblait faire connaissance avec les habitants.

Le Bonjour Messires et Dames, je suis Alkior, nouvel habitant de Paris. Enchanté de faire votre connaissance.

Un salut respectueux fut adressé à tous, puis son regard détailla les alentours.

C'est une ville magnifique..

Se contenta t-il de dire observant chaque détail de ce qui était devenu "sa ville".

Alkior n’osa leur dire qu’il commençait à se murmurer dans les campagnes, que le roi était mort sans laisser d’héritier. Sachant trop bien combien la rumeur déformait parfois les dires, il n’y avait guère prêté attention.
On verrait cela plus tard pour l’heure il suffisait de s’installer et de trouver quelques tâches à effectuer.

(Difficile de faire aussi bien que le Sieur Alkior)

Lambert s'éveille à sa nouvelle vie dans la bonne ville de Paris, capitale du royaume de France où il espère mettre ses compétences d'écrivain au service de tous et les améliorer par la même occasion.

Pour l'heur il se contente de saluer le tout venant en se présentant :

- Bonjour Gentes Dames et Gentils Sires, je me nomme Lambert des Traits et serai ravi de vous connaître !

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 23/08/2008

Nerutabe arriva enfin. Il avait fait un long voyage avant d'arriver dans la capitale qui le fit tant rêver. Il passa les portes de la ville et il salua les quelques villageois qu'il rencontrait sur son chemin. Ne voulant perdre une seule seconde, il ne se présenta pas comme les autres, il continua simplement sa route...

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 04/09/2008

Elle était de retour à Paris, la ville de son enfance, et se demandait si après autant de voyages, elle s'y plairait encore.
Enfant, elle aimait s'y promener avec ses frères et soeurs, même si elle n'habitait pas les beaux quartiers, même si l'on y croisait des rats farfouillant les déchets, c'était chez elle, c'était sa ville, la seule qu'elle avait connue.
Mais depuis, ayant suivi sa mère dans moults voyages, la pauvre femme ne tenant pas en place plus de six mois, elle avait un autre regard sur Paris.
Elle avait encore dans les yeux les paysages des magnifiques de contrées éloignées, et la grande cité lui parût alors bien terne.
Le temps qu'il faisait le jour de son arrivée n'arrangeait pas les choses, il faisait très nuageux, le ciel était menaçant, l'on devinait que l'automne allait bientôt pointer son nez.
Elle soupira, en regardant les nuages défiler derrière les toits des maisons.
La ville était peut-être terne, mais elle ne manquait pas d'animation.
La Grand-Place grouillait de monde, les maraîchers s’égosillaient pour vendre leurs marchandises, les étals s’allongeaient jusqu’au parvis de l’église.
« Ils sont bons mes beignets, mes beignets tout chauds » chantait une grosse dame derrière son échoppe, tandis qu’une autre s’acharnait sur les plumes d’un poulet qu’elle venait d’ébouillanter et qu’un vieillard peinait à charger sur sa carriole, les sacs de maïs qu’il venait d’acheter.
Elle déambulait dans les allées, son balluchon sur le dos, ne sachant où aller.

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 10/09/2008

En fin de journée du mois de ce qu'il pensait être le mois d'octobre, un homme d'une vingtaine d'année arriva aux abords de la ville de Lutèce. Il n'avait pas bonne allure, le visage balafré, de longs cheveux blonds sales et certainement puants pour quiconque aurait osé s'approcher trop près. Le reste de son corps était aussi infecte, des vêtements poisseux en haillon. Il ne ressemblait à rien, avait il ressemblé un jour à quelque chose ? Qui pourrait bien éluder cette question ? Ses grandes bottes noires couvertes de boue étaient dans un piteux état. L'homme avait les pieds continuellement mouillé, percées par ces interminables courses pour échapper à la sentence d'un voleur à l'étalage. Il n'avait guère le choix, il était déjà bien difficile de trouver un toit pour passer une nuit aussi courte soit elle puisqu'il fallait partir avant la levée du jour pour éviter d'être surpris par le propriétaire du dit lieu.

L'individu était réduit à vivre tel un pauvre mendiant. Depuis combien de temps ? Il était difficile à dire, c'était comme si le temps c'était arrêté puis brusquement accéléré pour reprendre un rythme normal. Le vagabond se posta contra un arbre attendant que l'astre lunaire chasse petit à petit le soleil. Il observait discrètement les allers et venus des soldats de cette ville jusqu'alors inconnue. Il espérait au plus profond de lui même pouvoir se hisser à l'intérieur afin de passer la nuit sous un pont peut être. Il attendit ainsi pendant des heures sous une pluie fine qui tombait depuis une bonne heure. Vient le moment où la ronde se termina laissant un battement entre le remplacement. L'homme fit un signe de croix une pensée pour le Très Haut et s'élança, courant du plus vite qu'il pouvait espérant que le Seigneur l'épargne de l'interrogatoire auquel il aurait le droit s'il se faisait prendre par les gardes.

Nombre de messages : 2 Ville : Paris Date d'inscription : 10/05/2009

La lourde route, à la poussière collée par les pluies printanières, lui donnait enfin la grande cité que ses moults tours et détours lui avait tantôt fait paraître proche, tantôt presque inatteignable. D'un long reniflement, Velvet réintégra un peu de morve dans sa narine droite, puis repoussa son gallurin sur l'arrière de son crane, laissant paraître sa tignasse rousse.

Devant lui, paresseusement allongée sur les bords de Seine se révélait Paris, sa ville désormais, ou de peu s'en fallait. Le soleil rasant de la fin de journée colorait la plaine d'un bel orange. Paris... Il allait y perdre ses jeunes années à étudier, ainsi qu'en rêvait son vieux père, artisan resté en Guyenne à s'échiner pour subvenir à l'ascension sociale de son fils.

Après être resté songeur suffisamment longtemps pour sacrifier aux clichés sur le romantisme de la jeunesse, Velvet se gratta vigoureusement l'aisselle gauche et entreprit de parcourir les dernières lieues restantes...

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