NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Oui messire pas de soucie je vous ramène un verre d’eau bien fraiche
, alla en cuisine
Voilà messire rapproche vous de nous lui dit en souriant

Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 27/02/2008

Dans la nuit, par la porte de derrière, une dizaine d'hommes armés pénétrèrent dans les cuisines de l'auberge. Très vite, ils repérèrent leur proie. La patience porta leur fruit. Quelques minutes plus tard, la jeune femme, ivre apparemment, s'approcha du comptoir alors qu'un groupe de personne discutait non loin.

Tous étaient occupés à parler entre eux et attendant le moment propice, tel un chat, une ombre se glissa derrière la donzelle, posa rapidement une main sur la bouche de la jeune femme, l'attirant contre lui, la serrant délicatement mais fermement. Il n'oubliait pas ses ordres ! La marchandise se devait d'être intacte ! Il murmura à la jeune femme avant qu'elle n'ose bouger ou pousser un gémissement : Ne faites rien ou votre frère ... Ils reculèrent vers la porte et la cuisine, sans un bruit, sans fracas, serrée fermement entre les bras du ravisseur. Eleanore disparut avec les hommes qui l'enlevèrent, quittant l'auberge aussi discrètement qu'ils étaient entré, leur but atteint.

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Derrière le comptoir, le menton posait dans la pomme de sa main, Eléanore observait le petite groupe installé devant la cheminée. Elle s'était retiré pour avoir un petit moment de tranquillité car tout ce bruit lui faisait tournée la tête.

L’alcool se dissipait peu à peu laissant ainsi la place à une légère fatigue. Elle prit un verre qu’elle remplit d’eau fraîche puis s’accouda au bar pour observa le petit groupe. Tout coup, elle sentit une étrange présence derrière elle... Un fantôme ? Non... Cela n’existe pas...
Elle s’apprêta à se retourner pour en avoir le coeur net lorsqu’elle une main venu de nulle part vint se poser sur sa bouche.

Prise par surprise, elle n'eut pas le temps d'avoir la moindre réaction. Posant ses mains sur celle de l’homme, la jeune femme essaya de lui faire lâcher prise, mais c’était peine perdu. C'est alors qu'elle sentit un autre bras s'enrouler autour de sa taille pour la tenir plus fermement. L'homme s'approcha de son oreille et lui murmura
Ne faites rien où votre frère…

Elle regardait fixement devant elle, alors que des larmes de peur se formèrent au coin de ses yeux azur. Son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine.
"Que comptait-il faire d’elle ?? Où était Albert ?? Allait-il bien ??" tant de questions qui restèrent pour le moment sans réponse.

Resserrant son emprise, il l'emmena dans la cuisine où une dizaine d'homme armés les attendaient.
Tremblant dans les bras de son ravisseur, Eléanore aurait voulu se débattre ou crier aussi fort qu’elle le pouvait, mais il était bien trop fort et sa main posé fermement sur sa bouche étouffait le moindre son que la jeune femme pouvait émettre .

Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 27/02/2008

La jeune fille fut emmenée sans ménagement à l'extérieur de l'auberge. Ils avaient rendez vous avec leur meneur. Un homme froid et sans pitié.
Dans les yeux de la jeune femme, on pouvait lire la peur. Ils la poussèrent lentement vers la porte de derrière. Deux hommes sortirent d'abord pour vérifier le secteur. Ils firent signe aux comparses qui s'engouffrèrent dans la nuit noire, ombres machiavéliques et silencieuses. Elle trainait des pieds mais l'homme plus grand et plus imposant qu'elle, la souleva sans difficulté, l'enveloppant de ses bras musclés.

Dehors, celui ci posa un sac de jute sur sa tête et ficela ses mains, la posant sur son épaule pour l'emmener dans un lieu inconnu.

Après avoir servi à boire au messire, regarda après Eleanore pour voir si elle allait mieux.

Ne la trouvent pas . Demandé à tout le monde s’il ne l’avez pas vue Eleanore

. Bizarre quand même quelle soie pas la, commencer a s’inquiète de pas savoir où elle était je pense quelle me l aurait dit si elle serait parti.

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

La nuit était sombre lorsque les hommes poussèrent Eléanore qui traînait des pieds hors de la taverne.
Tremblante comme une feuille, elle regarda le petit groupe qui se rassembla alors qu’un gars la surveiller pour ne pas qu'elle puisse s'enfuir.

Après leur réunion improvisé, le plus grand d’entre eux s’approcha d’Eléanore. Tel un animal craintif, la jeune femme recula d’un pas puis d’ un second tout en observant les gestes de l’homme qui se trouvait en face d’elle. Butant contre quelqu’un, elle se sentit violemment pousser vers son assaillant, qui avec un sourire machiavélique, la souleva sans trop de difficulté. Son visage était tellement hideux qu’elle en fut écoeurer.

Dans les bras de l’agresseur, Eléanore essaya de le mordre mais sans grand succès.
Les hommes étaient plutôt amusés de la voir se débattre avec tant d’énergie, mais il n’avait pas le temps de s’amuser avec elle.
On lui mit un sac de jute sur sa tête puis on lui attacha ses mains derrière son dos et elle fut porter comme un sac a patate sur l’épaule du géant.
Se sentant impuissante, elle se résigna à rester tranquille alors que des larmes coulèrent sur ses joues encrassées de poussière.

(à suivre...)

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

Meganilo regardait le feu crépitant dans l'âtre, buvant le verre d'eau que lui avait gentiment apporté dame Artésienne. Mais soudain la tavernière posa une question à tout le monde, l'air inquiète.

Meganilo après l'avoir écouté, leva un sourcil et regarda le reste des personnes dans l'auberge. Il ne savait que faire et que dire, n'étant après tout qu'un étranger parmi ces Remois.

Quelques minutes plus tard, il se décida enfin à parler:

Euh vous êtes sûre qu'elle a disparu ? Peut-être est-elle seulement dans la cour extérieur de l'auberge ?

Il réintérrogea du regard les personnes présentes. Il ne connaissait pas l'endroit mais il était probable que quelque chose de curieux se soit déroulé... De plus cette journée avait été si étrange, avec cette brume fantomatique qui l'avait accompagné de Vertus à Reims.

Meganilo frissonna et posa le verre sur une petite table, le regard dans le vide.

Ermeline discutait tranquillement avec les personnes présentes quand elle entendit Artésienne s'inquiéter pour Eléanore. Elle fronça les sourcils et des frissons la parcoururent en songeant aux tragiques évènements qui s'étaient déjà produits.

Elle prit sur elle de visiter les différentes pièces de la taverne. Elle monta à l'étage, pas de trace d'Eléanore ni dans les chambres ni les autres salles servant de rangement. Elle redescendit et passa dans la cuisine, la porte donnant sur l'extérieur était entrebaillée et elle se dit qu'Eléanore avait du avoir besoin de prendre l'air avec tout le chouchenn qu'elle avait englouti. Elle sortit mais il n'y avait toujours pas trace de la jeune fille, par contre sur le sol en terre plusieurs empreintes de pas s'entremêlaient et une marque plus inquiétante laissait présumer que l'on avait traîné quelqu'un.

Elle rentra dans la taverne :

Dans l'arrière-cour il semblerait que l'on ait emmené contre son gré une personne, il faudrait essayer de suivre les traces même si plus loin on risque de les perdre dans les rues pierrées, il faut trouver le Duc pour le mettre au courant, prévenir le poste de police et les gardes.

Ermeline était pâle mais déterminée, elle s'était attachée à cette jeune fille qui faisait partie de son Conseil et serait sans pitié si quelqu'un avait osé s'y attaquer.

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

Meganilo se leva d'un bond et fit les gros yeux, un enlèvement ? Cette fois-ci, il ne s'embarrassa pas de tenir la distance qu'un étranger se devait d'avoir quand il n'était pas chez lui avec les autres. Il dit alors:

Très bien, je vais vous aider si vous le souhaitez, j'ai un cheval, cela permettra peut-être de rattraper les agresseurs.

Puis soudain, il se rappela grâce au paroles de dame Ermeline, que Reims n'était pas Vertus, les rues étaient pavées et retrouver des traces seraient bien difficile, surtout dans la nuit... Meganilo demanda:

Avez-vous des chiens ? Nous pourrions peut-être retrouver la piste grâce à leur flair non ?

Sans attendre la réponse, il chercha à ses côtés son épée... il ne la trouva pas ! Horrifié, il la chercha partout mais se rappela enfin qu'il l'avait laissé ainsi que la majeure partie de ses affaires sur le dos du cheval. Honteux car on aurait pu le voler facilement et ce n'était pas dans son habitude, il rougit légèrement. Il commençait à perdre la mémoire décidément, mais c'est vrai qu'il n'avait plus ses vingt ans. Il sortit donc au-dehors récupérer rapidement ses affaires.

Enfin, il attendit les réponses du maire.

Ermeline regarda l'homme s'agiter à la recherche... elle ne savait pas de quoi.

Merci Messire c'est fort aimable de votre part. Des chiens, dîtes-vous?, elle réfléchit un peu, il me semble en avoir vu un dans la taverne, dit-elle se tournant vers artésienne d'un air interrogateur.

Ecouté dame ermeline oui ici il y a un chiot celui d eleanore, se demande où il est d ailleurs
Regarde le messire j ai regardé partout et je n'ai pas vu nulle part eleanore et son chien chez pas où il est passé.

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

Meganilo ne pouvait plus attendre, si Eléaonore avait été enlevé alors la situation ne devait pas être des plus confortable dans son cas. Ne pouvant rester dans l'inactivité plus longtemps devant un tel cas, Meganilo prit ses armes et se dirigea vers la porte, la fatigue se faisait de plus en plus forte mais il ne lui accordait aucune importance.

Si quelqu'un veut bien montrer le chemin du poste de police... j'ai un cheval, nous pourrons y aller plus rapidement.

Il ouvrit la porte, toujours nuit noire à l'extérieur et des traces de pas dans la boue... Peut-être qu'avec une lumière assez forte on pourrait retrouver leur piste, même sur les pierres car il n'avait pas plut, et de la boue, ça laisse des traces, de plus il avait une expérience bien qu'amateur de chasseur... Meganilo se retourna et demanda:

Auriez-vous une lanterne ?

Puis il se rendit compte qu'il y avait deux choix... traquer directement les brigands en prenant un risque d'être enseveli sous le nombre ou perdre du temps en aller au poste de police mais être sûr d'avoir assez d'hommes pour pouvoir s'occuper des agresseurs, et encore peut-être la piste serait-elle effacée...

Meganilo savait se battre, toute sa vie il s'était battu mais en était-il de même pour les autres personnes dans cette salle et de toute façon, ils n'étaient pas des surhommes, s'ils se retrouvaient à cinq contre vingt...

Il les regarda, espérant qu'ils aient compris les deux options qu'il y avait, chacune ayant ses risques...

Ermeline pensa que c'était un homme d'action sur lequel on pouvait compter et fut soulagée de l'avoir à ses côtés en ces moments difficiles.

Je vais vous montrer le chemin du poste, il n'est pas très loin d'ici, c'est à mon avis la meilleure solution, d'après les traces ils étaient nombreux et même si nous avons quelques expériences de combat, dit-elle sortant une dague d'une de ses manches, nous succomberions vite sous le nombre.

Pourriez-vous préparer quelques lanternes et veillez à ce que personne ne brouille les traces, dit-elle à artésienne nous serons vite de retour avec des renforts.

Oui dame ermeline pas de soucie je vais veiller a que personne ne passe la .pour garder toute trace, je vais vous chercher des lanternes

Regarda dans les armoires a en voilà plusieurs, je vais regarder si elle marche, a oui c'est bon je vais les mettre là .en attendent le messire et dame ermeline.

J espère qui vont retrouvait eleanore .

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

Meganilo hocha la tête pour approuver les dires de dame Ermelline, il sourit à dame Artésienne, il fallait faire vite. Il sortit au-dehors et invita silencieusement dame le maire à le suivre, il ne savait pas si elle avait un cheval, mais de toute façon le sien pouvait bien supporter deux poids.

Il avait eu un petit sourire après avoir vu la dame sortir une petite lame de sa manche. Il ne sous estimait pas les femmes, bien au contraire, mais cela faisait bien longtemps qu'il n'en avait pas vu une qui savait manier les armes. Le comportement d'Ermeline démentait bien des rumeurs qu'il avait entendu maintes fois concernant la couardise des femmes et le fait qu'elles ne savent que manier le couteau de cuisine, Meganilo aurait bien voulut voir la tête de ces personnes.

Revenant à la réalité, il se rendit compte qu'il était juste devant son cheval, il demanda alors:

Avez-vous un cheval ? Si non, je pense que le mien, bien que ce ne soit pas un cheval très robuste pourra nous porter.

Il vérifia cette fois-ci qu'il avait bien toutes ces armes, et attendit la dame.

Après avoir remis la dague dans sa manche, Ermeline le suivit jusqu'à son cheval :

Je n'ai pas encore eu l'occasion d'en acquérir un à Reims, il va falloir nous contenter du vôtre.

Avant même qu'il ait eu le temps de réagir elle se retrouva sur le dos du cheval, sa longue robe n'avait pas semblé la gêner pour ce faire. Elle songea que son ancien périple au delà des mers l'avait bien préparé à affronter les réalités de la vie.

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

Meganilo avait regardait une dernière fois les traces au sol et lorsqu'il se releva, il vit que dame Ermeline était déjà montée, c'est ce qu'il fit à son tour, et en faisant attention de ne pas la gêner, il donna un petit coup sec de talons dans les côtes du cheval. Celui-ci partit au galop. Son maître écoutant les indications du maire pour parvenir jusqu'au poste de police.

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

Le groupe de cavaliers s'arrêtèrent juste à côté de la taverne, Meganilo avait crié, énervé car des empreintes avaient déjà été effacées. Heureusement, elles continuaient un peu plus loin, mais à tout moment, il pouvait pleuvoir, et là, il serait impossible de retrouver les agresseurs...

Meganilo descendit de son cheval, et en prenant soin de ne pas marcher sur les traces rentra dans l'arrière cour de l'auberge, les autres cavaliers devaient se demander pourquoi on s'arrêtaient ici, mais ce n'était pas grave.

Pour éviter le massacre des empreintes, Meganilo récupéra lui-même les lampes et les distribua à tout le monde, certains n'en eurent pas mais ils suivraient les autres. Il en donna une à dame Arlène, au passage il lui demanda si ses hommes étaient vraiment de bons combattants. Il ne doutait pas de la police Reimoise, mais il préférait savoir sur qui compter.

Pendant que dame Arlène lui répondait, il essayait de fixer un crochet au morse de son cheval afin d'accrocher sa lanterne, cela lui permettrait de se concentrer pleinement sur les traces au sol. Enfin, il remonta sur le dos de son cheval.

Une halte s'était faite à la taverne.

La plupart des hommes avaient été équipé d'une lantene. Arlène prit celle que lui tendit le cavalier en lui répondant que la plupart d'entre eux avaient été soldats avant de se charger de la sécurité de Reims, elle-même n'avait peut-être pas leur expérience mais savait combattre.

Elle se pencha pour voir les traces qu'il y avait au sol et se dit que la tâche risquait de se compliquer quand ils atteindraient la rue pavée.

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

Meganilo se remit devant le groupe, et se pencha dangereusement en avant, scrutant le sol avec attention, cette fois-ci les choses difficiles commençaient. Ils n'avaient pas droit à l'erreur...

Ce soir - là la jeune procureur rentrait chez elle un peu plu tôt que d'habitude. Elle marchait dans les rues de Reims lorsqu'elle arriva devant la taverne. Généralement surchargée de travail elle n'avait pas encore eu l'occasion d'y entrer. Sa curiosité l'avait certainement emporté car même si elle était un peu fatiguée, elle décida de découvrir ce nouvel endroit.
Elle en poussa la lourde porte et s'avança dans les locaux, la lumière était allumée mais il n'y avait pas l'air d'avoir beaucoup de monde ! "Quelle aubaine" se disait - elle ! Elle regarda un peu autour d'elle découvrant chaque recoin de la pièce ...

Bonsoir, il y a quelqu'un ?

Cela l'étonnait un peu de voir l'endroit si vide, elle en avait tant entendu parler, la taverne était toujours remplie de monde habituellement .. Même lorsqu'elle passait devant le soir en général en rentrant du bureau, la jeune femme pouvait bien le voir par les grandes fenêtres de la bâtisse ... Elle s'approcha du bar ...

Et tant dehors attendit la porte. Rentré voir qui c'était,

bonjour madame excusé moi mes ne vous et pas entendu rentrer, mes pensées étaient ailleurs, je m’inquiet pour dame eleanore elle a disparu.

Et je ne trouve pas son chiot.

Des hommes son parti à la recherche de dame eleanore et vous qui êtes vous il me semble que je ne vous et jamais vue.

Vous voulais boire quelque chose assied vous.

Une jeune femme l'acceuillit, elle avait l'air d'être seule dans les lieux et paraissait plutôt pensive ...

Ah bonsoir, je suis heureuse de trouver quelqu'un !

Elle sourit à la demoiselle puis reprit ...

Excusez - moi je me présente ... Je suis Babyangel, Procureur de Champagne ! Je veux bien un verre de vin, merci !

Babyangel prit place sur une chaise au bar. Tant de questions lui passaient par la tête à cet instant ...
Elle ne connaissait pas beaucoup Eléanore mais le Duc lui avait déjà dit tellement de bien d'elle, elle l'appréciait déjà. Albert devait se faire un sang d'encre, si toutefois il était au courant ...
La jeune femme étant constamment à son bureau n'avait pu suivre cette affaire, elle cherchait à en savoir plus ! Elle regarda Dame Artésienne d'un air très inquiet et ajouta ..

Vous disiez ... Dame Eléanore a disparu ... mais a - t - on une piste ?
Messire de Lafitte en a - t - il été informé ?

Elle n'aurait jamais cru en arrivant ici apprendre une telle nouvelle, elle avait passé une si bonne journée, la soirée s'annonçait bien plus mouvementée ! Elle ne pouvait pas rentrer chez elle à attendre ...

Après avoir servi Dame Babyangel la regarda

oui eleanore n a pas re donner de ses nouvelles depuis un moment, une personne qui était ici messire meganilo et Dame ermeline ils ont été au poste de police puis son revenu chercher des lampes et là ils ont tous parti à la recherche eleanore , mais je c est pas si messire laffite était avec eut .je ne connais pas se messire il y a pas longtemps que je suis à reins je ne connais pas tous le mondes ,

Voila et la je cherche le chiot d' eleanore il doit êtres cacher dans un coin si vous le voyez dite le moi

La demoiselle but une gorgée du vin que Dame Artésienne venait de lui apporter, il était délicieux, elle avait toujours adoré le vin de Champagne.
Elle restait très agacée par cette nouvelle, elle aurait tant voulu faire qqchose pour aider ...

Messire de Lafitte est le Duc de Champagne, il est aussi le grand frère à Dame Eléanore.

Babyangel avait passé une grosse partie de sa journée avec Albert au bureau, ils avaient pas mal de dossier à traiter ensemble. Alors qu'il s'étaient arrêtés un moment de travailler pour se détendre en buvant un verre, il lui avait fait bcp d'éloges sur sa magnifique petite soeur, elle avait l'air si gentille, si adorable ...
La jeune procureur reprit une gorgée de vin puis en regardant la jeune femme en face d'elle, lui dit ...

Je vais vous aider à trouver le petit chiot de Dame Eleanore, à son retour elle sera certainement heureuse de le voir !

Elle espérait qu' Eléanore serait retrouvée rapidement, elle voulait rester positive. Avant de se mettre à chercher le chien, elle ajouta ...

Pardon, je ne vous ai pas demandé, quel est votre nom ?

Elle se leva de son siège et oberva un peu autour d'elle, ce petit chiot ne pouvait pas être allé bien loin, il devait certainement être complètement appeuré ... Elle scrutait toute la pièce du regard, tant de choses lui venaient à l'esprit en même temps ..

Je devrais peut - être prévenir le Duc ... se dit -elle tout bas

Ce n'était pas en restant près du bar qu'elle allait pouvoir retrouver l'animal, elle regarda à nouveau Dame Artésienne et lui dit...

Cherchons le petit chien ! Comment s'appelle - t - il ?

Elle sourit et but une nouvelle fois dans son verre.

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