NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Angel s'était réveillée bien triste ce matin, c'était aujourd'hui qu'avaient lieu les funérailles de la jeune Arlène. Elle avait eu l'occasion de la croiser rapidement une fois, elle paraissait si adorable, si jeune... Elle regrettait de n'avoir pût la connaitre plus...

Elle arriva à la Cathédrale et y entra regardant partout autour d'elle... Quelques personnes étaient déjà présentes, toutes plus tristes les unes que les autres... Elle s'avança lentement, un noeud à l'estomac, le coeur lourd et les yeux remplis d'émotion...

Elle marcha jusqu'à l'avant de l'église, déposa une rose blanche sur le cerceuil où se trouvait le corps de la jeune femme, saluant au passage l'abbesse..

La procureur partit ensuite en direction des bancs, elle se mit près des habitants qu'elle connaissait. Avant de s'asseoir, elle fît une prière fermant les yeux...

Lomax avait fait le déplacement depuis Paris. Une bien triste nouvelle était venue briser brutalement la vie de tous.

Arlène reposait là, dans sa dernière demeure de bois. Un rayon de soleil parvint directement en son centre, comme si Dieu l'appelait à Lui, afin qu'elle le rejoigne pour la sérénité éternelle.

Lomax avait décidé de se mettre au fond de la cathédrale. La perte de proches, il avait connu, et cela représentait toujours une épreuve difficile. Les gens qui se massaient en nombre seraient certainement une part de réconfort pour la famille d'Arlène.

Avant que la cérémonie ne commence, il alla déposer un simple papier, sur lequel étaient inscrit quelques lignes qu'il avait écrites pour l'occasion :

Arlène,
Tes amis, ta famille, tous te pleurent.
Pour toi, c'est une nouvelle vie.
Point d'inquiétude, point de torpeur,
Tu as trouvé le repos infini.

Les vrais Anges nous quittent toujours trop tôt,
Nous ne sommes jamais prêts à cela,
Et maintenant, où que tu sois, là-haut,
A jamais sur nous, tu veilleras.

Malgré cela, nous serons toujours avec toi,
Comme avec nous, tu resteras présente,
Dans notre coeur, une place de choix,
Car en son sein, à jamais tu seras vivante.

Puis Lomax repartit s'asseoir, voyant la foule affluer désormais en bon nombre. La cérémonie allait débuter, il se recueillit encore un instant.

Ermeline s'était réfugiée dans un coin sombre de la Cathédrale, son chagrin était immense. Elle se rappelait l'arrivée à Reims de la jeune fille, son enthousiasme et sa soif de vivre, l'aide précieuse appportée en toutes circonstances.

Perdue dans ses souvenirs, elle murmurra :

Une étoile s'en est allée rejoindre le firmament,
Sa lumière faite d'espoir brillait comme une flamme,

Pour ces moments de bonheur passés à tes côtés,
Pour ces rires partagés, ces sourires échangés,

Pour ce courage sans faille dont tu as fait preuve
Tout au long de ta vie et malgré les épreuves,

Merci à toi et que, désormais, veillent sur ton âme
Ceux dont tu as, sans relâche, allégé les tourments,

Pour toujours tu resteras dans mon coeur.

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Eléanore c'était levée de bonne heure pour se promener un peu. Elle arriva dans une prairie et se mit a cueillir des fleurs alors ses pensées aller vers Arlène.
Elle ne l'avait pas très bien connu, mais elle se rappelait se son entrain lorsqu'elle avait organisé le jeu de quilles.

Après un moment alors que son bouquet commençait à être bien fournit, elle s'en alla vers la Cathédrale pour rendre un dernier hommage à la jeune fille.

Entrant dans le lieu saint, elle regarda autour d'elle et y remarqua des visages familier alors que d'autre lui étaient totalement inconnus. La cérémonie n'avait pas encore commencé.
Elle marcha d'un pas lent, le visage triste, elle posa son bouquet près du cercueil puis elle partit s'asseoir sur un banc près de gens qu'elle connaissait.

Les yeux fermé, elle joignit ses mains et lui adressa prière...

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

[HRP: désolé normalement je dois être cloué au lit RP mais je me devais de venir /HRP]

Meganilo avait les yeux fermait, la vue du cercueil l'importait et le rendait malheureux. La vie était cruelle... il ne connaissait pas Arlène, il ne l'avait vu qu'une fois... mais sa disparition l'affectait tout de même énormément.

Les yeux toujours fermés, il pria les Dieux d'être clément avec Arlène.

Leane était partie de Paris assez tard, retenue par les affaires municipales. En arrivant devant la Cathédrale, elle se réjouit de voir que la ceremonie avait à peine commencé.

Elle avait peu connu Arlène, seulement à son arrivée à Paris. Leane se souvint avoir essayé de la convaincre de rester mais la jeune fille lui avait fait comprendre son désir de s'installer en Champagne.

Bien qu'un peu déçue de cette décision, Leane comprenait aujourd'hui qu'Arlène avait fait le bon choix, car elle avait rencontré ici des personnes d'exception qui avaient su lui apporter chaleur et réconfort.
Cette idée réchauffa un peu le coeur serré de Leane, Arlène avait été entourée jusqu'au dernier jour.

La jeune femme entra dans la Cathédrale, apperçut Lomax et alla s'asseoir à ses côtés. Sans un mot, elle glissa simplement sa main dans la sienne...

Toutes ses pensées allaient vers cette jeune fille, partie beaucoup top tôt.
Aujourd'hui, tu es une étoile dans l'obscurité, un ange dans le ciel, qui saura guider chacun d'entre nous...

Au revoir Arlène, repose en paix Camille.

Morgane traversa le parvis de la Cathédrale de Reims. Elle a fait le chemin depuis très tôt le matin pour venir se recueillir et assister aux obsèques d'Arlène.
Elle ne la connaissait pas mais elle eut envie d' assister à la messe de funérailles.

C'est avec une immense peine qu'elle s'approcha du cercueil, se recueillit quelques instants puis s'installa sur un banc en attendant la cérémonie.

[HRP : J'ai prié Dieu pour l'âme de Camille en l'église de Notre Dame d'Abet]

Blancos avait galoper tout le matin pour pouvoir assister aux funérailles.

C'est juste en début d'après midi qu'il arriva enfin aux pieds de la cathédrale.
Il attacha son cheval sur une barrière et franchit le seuil de la cathédrale.

Il enleva son chapeau et fit un signe de croix avant de se mettre sur un banc et de prier de toutes ses forces pour Arlène.

Elle était entrée discrètement dans la cathédrale, ne connaissant personnes, elle se mit dans un coin pour suivre la cérémonie et prier pour la jeune femme..........

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Anne était venue pour dire un dernier au revoir as une grande Dame...
Elle resta en retrait...
Restant silencieuse , elle se mis a prié a vois basse...

Les cloches sonnes se dirigea vers la cathédral entra et se mis sur le coté et prié

Nombre de messages : 76 Date d'inscription : 17/02/2008

Hal, qui bien que n'ayant jamais discuté avec Arlène, était touché de la disparition de la jeune femme à un point qu'il n'aurait pu imaginer. Il avait préféré se perdre dans son travail, suer ce chagrin qui l'envahissait. L'abrutissement causé par l'effort ne lui permit pourtant pas d'effacer l'image de cette jeune, trop jeune femme, partie vite, trop vite. Hal passa à la rivière se laver, puis rentra chez lui passer des habits blancs.

Il avait remarqué en chemin quelques coquelicots, il se dirigea vers un petit massif de fleurs, et s'assit dans l'herbe. Il se dit que ces fleurs, si fragiles, si belles dans leur simplicité, étaient une représentation parfaite de la vie. Arlène, jeune femme enjouée, avait été fauchée alors qu'il lui restait tant à découvrir. Comme ces bourgeons qu'il avait sous les yeux, qui ne demandaient qu'à éclore. Hal, en silence, regarda le parterre de fleurs. Il se disait que ces fleurs si délicates, ce soir même, n'auraient plus de pétales. Sans doute était il préférable de laisser fleurs vivre, et toujours se souvenir de cet instant, comme il faudrait se souvenir de la jeune femme pleine de vie.

Hal se leva, puis se dirigea vers la cathédrale. Devant le seuil, il vit de nombreuses personnes soit se recueillant, soit attendant la cérémonie. Hal marcha lentement vers le cercueil, inclina sa tête et observa quelques instants de silence. Puis, il fit demi tour et sortit de l'édifice. Ce n'est pas cette image qu'il garderait d'elle. Il préféra retourner vers ce sanctuaire de vie, se disant que la jeune femme aurait aimé ce lieu.

Matteo était très atristé par cette terrible nouvelle,lui qui ne l'avait que très peu connu,juste aperçu dans le chateau d'Albert.Il s'était vêtu tout de noir,ses cheveux masquaient son visage endolori par la découverte macabre qu'il avait faite.Tout en marchant,il revoyait le visage d'Arlène,sa silhouette,sa joie de vivre lorsqu'il l'avait aperçue.Il aurait beaucoup aimé la connaitre un peu plus.Mais le destin en a fait autrement.Il se retrouva devant le cercueil,une belle Rose fraichement cueillie à la main,embrassa la fleur et la posa sur le cercueil d'Arlène.Il se recula,se mis non loin de l'autel,s'agenouilla et pria pour Arlène...

Adieu Arlène...

Au fond de la sacristie dans la pièce prévue à cet effet, la jeune femme se changeait, les chuchotis et les grincements des vieux bancs parvenaient à ses oreilles. Il était temps pour elle de commencer cet office religieux même si le cœur n'y était pas, il le fallait ... Elle réajusta sa tenue et se dirigea vers l'autel. Quelques visages lui étaient déjà familiers, elle salua discrètement d'un signe de tête et prit place.

Ouvrant ses bras vers les habitants qui étaient venus rendre un dernier hommage à Dame Arlene, elle leur fit signe de se lever, séclaricit la voix et commença à parler.

Chers habitants, parents et amis, nous sommes réunis en ce jour de deuil afin de rendre un dernier hommage à Dame Arlene ... Elle dirigea son regard vers le cercueil de bois qui trônait dans l'allée centrale et poursuivit ... qui nous a quitté pour rejoindre d'autres cieux. Rendons lui un dernier hommage.

Elle baissa sa tête en signe de recueillement invitant les participants à en faire de même.

Nombre de messages : 187 Date d'inscription : 06/03/2008

Kyann vit arriver Kheysa et se leva. Regardant le cercueil, elle sentit son coeur se serrer. Elle baissa la tête et pria pour le repos d'Arlène.

Dieu ait ton âme Arlène.. qu'il veille sur ta famille et leur apporte la force de supporter cette épreuve.. sois sûre que personne ne t'oubliera ici..

Un hirondelle passa prestement au dessus de la foule qui s'amassait dans la cathédrale pour les funérailles de la jeune fille au doux visage. L'oiseau peu farouche, virevolta et se posa près du cercueil, sur le rebord en bois encore relevé. Un ruban se détacha de sa patte ainsi qu'un petit miroir.

Sur le ruban, on trouvait quelque mot :

Dors Arlène (Camille), dors sans soucis. La vie est maintenant pour toi ailleurs ... Que ce miroir qui reflète la vie, te montre encore une fois qu'elle existe ! Tu la chérissais plus que nous tous ... Aujourd'hui, nous avons compris ... Ambroisie (Laurence)

Invité

En hommage à une petite étoile qui a quitté ce bas monde, chrisetan de caulaincourt a tenu a faire le voyage jusqu'à Reims. En entrant dans la Cathédrale, il vit que beaucoup de personnes s'étaient rassemblées pour lui rendre un dernier hommage. Fermant les yeux, il se recueillit un instant.

La minute de recueillement écoulée, Kheysa reprit la parole invita les convives à s'assoir.

Le Très haut à rappeler à lui Dame Arlène mais rien n'est finit pour elle bien au contraire. Elle appuya sur ses derniers mots et commença à lire le texte qu'elle avait choisi qui démontrait ce qu'elle voulait dire.

Citation :: Au bout de la route

Au bout de la route, il n'y a pas la route

mais le terme du pèlerinage.

Au bout de l'ascension, il n'y a pas l'ascension

mais le sommet.

Au bout de la nuit, il n'y a pas la nuit

mais l’aurore.

Au bout de l'hiver il n'y a pas l'hiver

mais le printemps.

Au bout de la mort, il n'y a pas la mort

mais la Vie.

Au bout du désespoir, il n'y a pas le désespoir

mais l'espérance.

Au bout de l'humanité, il n'y a pas l'homme

mais l'homme-Dieu,

mais la Résurrection.

Joseph Follet

Certains acquiesçaient de la tête d'autres n'éprouvaient aucune réaction, la jeune femme continua avec une pointe d'émotion dans la voix.

Citation :: J'aimerais être assez conscient pour redire la parole du Sauveur :

" Père, entre tes mains, je remets ma vie ".

Ma vie a eu ses peines et ses joies, ses échecs et ses succès, ses ombres et ses lumières,

ses fautes, ses erreurs et ses insuffisances,

et aussi ses enthousiasmes, ses élans et ses espérances.

J'ai terminé ma course.

Que je m'endorme dans ta paix et dans ton pardon !

Sois mon refuge et ma lumière.

Je m'abandonne à toi. Je vais entrer dans la terre.

Mais que mon ultime pensée soit celle de la confiance.

Puis-je alors me rappeler le verset cité par Saint Paul :

" Éveille-toi, Ô toi qui dors, lève-toi d'entre les morts

et le Christ t'illuminera! "

Sûr de ta parole, Seigneur, je crois que je revivrai avec tous les miens et avec la multitude de ceux pour qui tu as donné ta vie. Alors, la terre sera rénovée et réhabilitée

et il n'y aura plus ni mort, ni peur, ni larme.

Elle referma le parchemin sur lesquels étaient griffonnés les textes, donnant un moment aux convives de méditer sur ses quelques phrases avant d'entamer le chant.

le Chevalier MArcelus se devait d'assister aux funérailles.
Mais les enterements n'était guère une cérémonie dont il se sentait à l'aise.
Aussi il se mit dans un coin sombre du Batiment baissa la tête et se recueillit.

La lecture des textes terminée, les chœurs entamèrent le chant qui précédait la bénédiction de la dépouille.

Citation :: 1. Mon Dieu, plus près de toi,
Plus près de toi!
C'est le cri de ma foi
Plus près de toi!
Dans les jours où l'épreuve
Déborde comme un fleuve,
Tiens-moi plus près de toi,
Plus près de toi!

2. Plus près de toi, Seigneur
Plus près de toi!
Tiens-moi dans ma douleur
Tout près de toi!
Alors que la souffrance
Fait son œuvre en silence,
Toujours plus près de toi,
Seigneur, tiens-moi!

L'abbesse commença elle aussi à fredonner ses quelques couplets le cœur serré.

Nombre de messages : 58 Date d'inscription : 22/05/2008

En arrivant sur la grande place de la ville, Mazarel aperçu ce grand édifice. La cathèdrale était imposante de par sa beautée architectural, une bien belle oeuvre de l'Eglise, à l'image de sa grandeur.
Il s'avança vers les quelques marches tout en regardant vers le haut pour observer les clochers et les vitraux qui laisser apparaitre des dessins. Sans prendre garde , il continuer à avançer et faillit trébucher en arrivant sur la première marche.
Il s'arrêta et regarda pendant quelques temps la grande portes en chêne. Elle semblait fermer.

Aprés avoir salué le chevalier, elle resta un moment sur le parvis à contempler la bâtisse.
Elle hésita un instant, puis se décida à entrer à son tour. Ses pas raisonnaient et elle fut un peu gênée de briser le silence du lieu. Elle avança et se rapprocha des cierges, là elle en alluma un et se mit à prier.
Relevant la tête, elle regarda autour d'elle et vit plusieurs personnes en train de prier, un peu plus loin elle remarqua le chevalier, elle sourit en repensant à leur promenade, puis s'approchant d'un banc, elle s'assit afin de se recueillir un peu.

Le chevalier apres avoir salué dame finéasse était entré dans la batisse.
Il connaissait bien l'niterieur, il alla en direction de la sainte vierge où il avait l'habitude de prier.

Il s'installa et commenca sa pénitence.
Il entendit une personne entrer. Au son des pas il devina que c'était Finéasse. Il avait apprécieé la promenad et ne pu s'empecher de sourire malgré le lieu solannel.

Julie de son pays avait entendu parler de la cathédrale de Reims elle venait dit arriver le matin même et complantent l'édifice et ce dit que ce n'étais pas la plus grande quelle eu vut mais que celle si étais tout de même pas mal elle ce décida a entrée

dans un cliquetis continue que produisait sont armure et c'est arme sous ses pas elle enleva son heaume et détacha ses cheveux en signe de respect sortit son chapelet mit un genou a terre devant la plus grande fenêtre du bâtiment et ce mis a priée dans sa langue natal une religion encore inconnue en France :

Oh César ich dir bitte noch einmal für die Sünden, die ich begangen César weiß, dass meine Seele und mein Schwert sein Ihr nie weiß, dass ich nicht weiß, dass Sie décevrais Ihre Herrschaft ist die lange und prosperierenden du bist alles für alle leisten leisten

Un son lui fit relevé la tête, elle regarda derrière elle et vit une personne s'installer plus loin.
Elle se releva et se demanda depuis combien de temps elle était ici, elle n'aurait sut le dire.
Elle se dirigea vers l'allée centrale, et prit la direction de la porte.
Le soleil l'éblouit et elle se protégea un instant les yeux.
Elle jeta un dernier coup d'oeil à la cathédrale, avant de descendre les marches du parvis.
Ne sachant trop par où passer, elle opta par la rue qui lui semblait la moins sombre.
De là elle retrouverait bien le chemin de l'auberge pensa t'elle.

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[RP] La cathédrale de Reims