NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Kut attendit un peu puis le tavernier, le visage marqué par l'usure du temps, apporta une bouteille de vin poussiéreuse. Elle le remercia immitant Agius en donnant 5 écus au tavernier. Celui marmonna un bref merci et s'en alla. Kut se retourna vers Agius et l'écouta poser sa question.

Bien bien. J'ai postulé auprès de notre maire pour le poste de curé bien que j'ai des idées politiques derrière la tête comme devenir maire.

Elle se mit à rigoler doucement, ne croyant pouvvoir faire deux choses en même temps.

Agius émit un faible sourire.

- Et bien ! On peut dire que vous ne manquez pas d'ambition !
Pour le poste de curé, ne vous en faîtes pas, il vous est acquis. Depuis le temps que l'on cherche un bon curé pour la capitale.
Par contre, vous avez bien du courage pour vouloir être maire. Même pour tout l'or du monde, je m'y proposerai pas. C'est juste un poste à ennui. Menfin, vous faîtes ce que vous voulez.

Fatigué par cette harangue, Agius, d'habitude plus taciturne, trempa ses lèvres dans le vin.

Nombre de messages : 74 Ville : Paris Date d'inscription : 10/12/2007

Rosa arriva en souriant dans la taverne . Dja allait pas tarder .
Elle alla s installer pres de la cheminee

Il y avait peu de monde

Elle s installa et attendit son aimé..............

Nombre de messages : 74 Ville : Paris Date d'inscription : 10/12/2007

Voyant qu il n arrivait pas, elle alla se commander une boisson tres chaude et revint s installer a sa table .

Elle se dit qu il avait du etre retarder par de nombreuse personne qui sollicitaient des renseignement ou d el aide

Elle soupira et commença de boire sa tisane qui lui fit du bien .

Elle sorti de sa besace un parchemin et se mit a relire le message qu elle avait reçu

En tout premier lieu, Leane avait été visité l'échoppe d'un tisserand, il y avait bien trop longtemps qu'elle marchait les pieds nus, ce qui n'était pas des plus confortables.
Ensuite c'est tout naturellement qu'elle s'était dirigée vers l'auberge afin d'y louer une chambre, le temps de trouver cette fameuse petite maison abandonnée dont lui avait parler le Comte.
Si elle ne lui servait pas de lieu d'apprentissage, elle pouvait au moins l'abriter.

Une fois dans sa chambre, elle avait soulevé une lame du plancher, qui se situait sous son lit, pour y cacher son petit butin.
Si la vie lui avait appris quelque chose, c'était bien que "prudence était mère de sûreté".

Après avoir profité d'un baquet d'eau pour se rafraichir un peu, la vagabonde regagna la grande salle, commanda un verre de vin qu'elle sirota, tranquillement installée à une table, près de la cheminée, un petit sourire sur les lèvres.

Dja54 venait d'arriver a la taverne de la rose blanche,il était un peu éssoufflé alors il en profita pour s'appuyer contre un mur pour reprendre son souffle .
dja54 ne voulait pas entrer en taverne car si dame leane le voyait il en serait fini de la surprise .
Non il préfera rester de l'autre coté de la ruelle pour attendre agius,posté au coin de la rue il regarda les moindres fait et gestes de qui pouvait entrer et sortir de la taverne .

Un cavalier au coin de la rue.
Agius regardait aux alentours. Tout semblait si calme. Il dirigea son cheval vers la taverne avant de l'atacher à un piquet. Il descendit lestement et sortit un mouchoir de sa poche pour effacer la sueur et les taches sur sa figure. Il vit messire Dja, caché dans l'ombre. Agius prit son mousquet et se dirigea vers lui.

- Pardonnez ma tenue, mais je viens de sortir d'une situation plus que difficile. Mes hommes ont été renvoyé à leurs occupations avant que j'aie reçu votre "nouvelle".
Alors, qu'est-ce que c'est que cette histoire de vol ? Qui vous a volé ?

Dja54 vit mésir agius se dirigé vers lui et lui demanda qui lui avait subtiliser sa bourse !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

ecoute peu avant midi un garde est venu chez moi me signifier que dame leane était en possession d'une bourse pleine d'écus .
d'après les dire de l'aubergiste elle a loué une chambre et demander un repas copieux .
Et justement ce matin en m'habillant j'avais en ma possession une bourse dans ma cape que je ne retrouve plus a présent .
Elle est venu me voler sous mon toit alors que moi et rosa lui avons offert le gite et le couvert .
MAIS Dame leane a fait une grave erreur elle a sorti son argent au nez de l'aubergiste,a qui sa a mis la puce a l'oreille .
Car dame leane est fort mal habiller et toute craseuse .

Dja54 venait d'expliquer alors les mefaits de dame leane,puis il regarda agius et lui fit une tape sur l'épaule et lui disa :

Tu sais agius tu avais raison sur le parvis de l'église on peut pas faire confiance a une gueuse ,sa vous poignarde daéns le dos dès que possible .

- Hé bien ! Il ne nous reste plus qu'une chose à faire. L'arrêter et a condamner. Entrons dans la taverne, espérons qu'elle soit là, sinon nous devrons attendre qu'elle revienne pour rentrer dans sa chambre. Restez-là. Essayons ne pas l'affoler. Je reviendrais avec elle et nous n'aurons plus qu'à la mettre au cachot.

Ausstiôt dit, aussitôt fait. Agius poussa la porte de la taverne et entra. Il scruta l'assemblée réunie. Des gueux, des bandits balaffrés ou non, des buveurs invétérés et autres gens de bonne compagnie. Au fond, près de la cheminée, à une table, il la reconnut facilement, malgré qu'elle ait l'air moins crasseuse. Sans gêne, il s'y installa.

- Vous me semblez avoir meilleure mine. Je vais aller droit au but. Messire Dja vous accuse d'avoir volé sa bourse lors de son séjour chez lui. Je vous conseille donc de m'accompagner sans faire de protestation. Je suis las des gérémiades. D'ailleurs ne vous en faîtes pas, la lumière de la justice enlèvera toutes les ombres sur cette affaire.

Leane sirotait tranquilement son verre, se demandant par où commencer ses recherches, pour la petite maison, quand un homme vint s'assoir à sa table.
La vagabonde leva aussitôt le nez.

Tiens donc! Vous ici Mon Seigneur...

Elle l'écouta sans l'interrompre, son sourire ne quittant pas ses lèvres.

Allons M'Sieur le Juge, les gérémiades... Ce serait là bien mal me connaître.
En toute franchise, je ne m'attendais pas à une visite de courtoisie, en revanche, je suis surprise de vous voir si vite.
Notre cher Maire n'a pas tardé.

Elle se leva.

Je vous suis, toute docile vous voyez.
Où allons nous?

Agius était ravi que l'arrestation femme ne lui pose pas de difficulté. Il se détendit et expira avec un soulagement visible.

- Rapide ? Je n'ai guère eu le choix malheureusement. Cela fait deux jours que je ne dors pas et on m'embête pour une histoire de bourse ! Si messire Dja était moins scrupuleux, il aurait pu vous donner un coup d'épée dans le ventre en toute impunité...

Agius se leva et saisit le bras de la jeune femme. Il émit un faible sourire.

- Voilà qui me rappelle une autre scène. Certes, le cadre y est maintenant plus joyeux. Nous allons voir le maire pour qu'il vous reconnaisse et ensuite je suis dans l'obligation de vous envoyer aux cachots jusqu'à ouverture du procès. Je tâcherais de faire le plus vite possible.

La vagabonde sourit devant l'ironie de la situation.

Vous n'avez pas dormi depuis deux jours.. Moi je pensais pouvoir le faire ce soir.
J'espère que vos cachots sont confortables.
Monsieur le Juge, dîtes vous que ça aurait pu être vous si j'avais accepté l'invitation de votre Dame.

La jeune femme rit un peu.

Une autre scène oui, mais là vous me faites moins mal, et puis je ne suis pas certaine que le maire soit aussi concilliant.

Leane se laissa entrainer dehors, la tête haute, tentant de rester digne.

Dja54 qui était rester au coin de la rue voya mésir agius sortir en compagnie de dame leane .
Dja54 traversa la rue a grande enjambé et alla vers dame leane pis il la regarda et lui disa :

pourquoi vous nous avez fait sa a nous ?

on vous a acceuilli convenablement,comme si vous étiez de notre famille a moi et rosa ?

pourquoi?

Dja54 la regarda d'un air méprisable !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

vous me faite pitier,vous n'etes guère plus qu'une voleuse qui veut se donner bonne figure .

Voyant le maire arriver à vive allure et lui parler de la sorte, la vagabonde ne peut maitriser un rire.

Et bien mon Cher, vous donnez vous même la réponse à votre question.
La pitié, mon ami, vous en faites preuve depuis notre première rencontre.
Je hais la pitié, elle ne nous apporte rien.
Je peux inspirer de l'amour ou de la haine, de l'estime ou de la répugnance, ou encore toutes sortes de sentiments.
Mais je ne supporte pas de lire la pitié dans le regard des gens, elle est la compagne des lâches, qui préfèrent fermer les yeux sur le monde qui les entoure.

Elle s'approcha tout près de lui, fixant son regard dans le sien.

Je préfère passer ma vie dans un cachot, qu'une seule nuit de plus dans votre parfaite petite chaumière, je suis certaine que la vie y est bien plus interessante.

La misérable retourna son attention sur Agius.

Nous pouvons y aller M'sieur le Juge.

Agius sortit en compagnie de la jeune femme et resta sans voix devant l'échange de paroles des deux protagonistes... Toujours la même haine entre deux classes de cette foutue société. Le combat finit entre Leane et Dja, Agius se tourna vers la gueuse.

- Bien, allons-y.

Agius entraina Leane dans les méandres parisiens. Il finit par lui dire.

- Vous y êtes allée un peu fort avec le maire. Je comprends ce que vous ressentez... Bah ! Peut-être est-ce mieux que se soit sorti.

Un bâtiment à l'allure miteuse apparut devant leurs yeux. La prison... Le garde à l'entrée regarda avec dédain la petite compagnie.

- Vous désirez ?

- Cette jeune femme vient de commettre un vol. Trouvez-lui une cellule, avant l'ouverture du procès.

Puis, il s'approcha de Leane et lui dit à voix basse.

- Je ferais le plus vite possible. Je ne tiens pas à vous laisser ici pour longtemps.

Leane suivait Agius jusqu'à ce qui serait sa nouvelle demeure pour un temps. Elle ne chercha pas à s'enfuir, ayant pour habitude de prendre ses responsabilités.

Un peu fort... J'ai pourtant mesuré mes paroles.
Et puis vous savez que je dis toujours ce que je pense, peu importe ce que cela doit me couter.

Ils arrivèrent devant la prison, la vagabonde n'aima pas le regard du garde, elle lui en envoya un aussi sombre que possible.

Merci M'sieur le Juge, je sais qe vous ferez votre possible.

Le garde lui prit le bras et l'entraina violemment dans de sombres couloirs.

Dja54 avait suivi mésir agius et dame leane jusque devant les portes de la prison .
dame leane allait s'engouffrer dans les couloirs alors Dja54 cria une phrase

La ou vous aller vous aurais tout le temps de compter les ecus !!!!!!!!

hahahahahaha

Dja54 s'eclaffa de rire et quitta le peron de la prison idifférent a l'égard de la protagoniste .

Sentir l'air frais lui fouetter le visage après tous ces jours passés enfermée dans son cachot, il n'y avait pas meilleure remède.
A bout de souffle à force de courir, elle finit par atteindre l'auberge.
Elle frotta les plis de ses jupons afin d'oter le maximum de poussière, ses mains étaient noires, ses cheveux gras, la gueuse était bien pouilleuse.
La tête haute, le regard fier, elle entra dans la taverne et toisa l'aubergiste en réclamant sa clé. Il lui pairait le fait de l'avoir dénoncée mais pour l'heure, elle n'aspirait qu'à se décrasser.
En chemin, elle s'était appropriée une robe qui semblait à sa taille.
Elle monta jusqu'à sa chambre, ota ses vêtements et commença à frotter son corps. Elle lava ensuite ses longs cheveux bouclés et finit par s'habiller.
Enfin elle ressemblait à une femme, ce qui ne lui était pas arrivée depuis des jours.
Avant de redescendre, elle poussa le lit, souleva la lame de plancher. A la vue de la bourse, son sourire s'élargit, elle était toujours là.
Elle prit quelques écus et rejoignit la salle à manger.
Elle commanda un copieux repas, ce qui la changerait des misérables soupes qu'elle mangeait en prison, dans lesquelles le garde ne manquait pas de cracher quelques fois.
Le garde??? L'avait-elle tué?
Elle chassa cette idée de son esprit, il serait temps d'y penser en cas voulu, si nécessaire.
La vagabonde s'attabla et commença à manger, ici, elle pourrait peut-être enfin parler à quelqu'un de plus interessant que ses compagnons de cellule, de simples rats...

Suivie du jeune homme, la vagabonde prit la direction de la taverne. L'aubergiste l'acueillit avec une grimace et posa sur celui qui l'accompagnait un regard compatissant.
D'un regard, la gueuse lui fit comprendre qu'il vallait mieux qu'il ne dise rien.

Apportez-nous de quoi boire plutôt.

Les deux jeunes gens allèrent s'asseoir au fond de la salle.

Si nous commencions par les présentations dit-elle dans un sourire.
Je m'appelle Leane. Je suis chargée ici d'accueillir les nouveaux arrivants et de les aider dans leur installation.
Il faut croire qu'ici, certains sont assez fous pour me faire confiance.

Leane regarda le jeune homme avec un petit sourire amusé.

Qu'est-ce qui vous amène ici?

Akron entra dans la taverne à la suite de la damoiselle. Le tavernier lui jeta un regard en coin, compatissant. Plutôt avenant les gens dans le coin.

"Si nous commencions par les présentations
Je m'appelle Leane. Je suis chargée ici d'accueillir les nouveaux arrivants et de les aider dans leur installation."

Il allait prendre la parole à son tour quand le tavernier apporta les deux verres. Comme promis ce fut lui qui le règla.

"Et bien je me nomme Akron. Chargé pour l'instant de rien du tout. J'arrive tout droit du Dauphinée dont mes parents, et leurs parents avant eux étaient issus. Un de mes aïeuls s'y était installé il y a quelques générations. Avant ça ma famille était d'origine germaine."

Il but une gorgée

"Ce qui m'amène ici. Et bien je me suis retrouvé orphelin avec juste de quoi survivre laisser par mon père. Je n'avais pas envi d'embraser son destin de paysan alors mes pas m'ont guidé vers la capitale. Maintenant....adviennes que pourra"

Il marqua un temps de pause

"Dites moi, que voulez vous dire par "certains sont assez fous pour me faire confiance." Et pourquoi tout le monde nous jette des regards en coin ? Ils n'aiment pas les nouvelles têtes dans le coin ?"

Sans même un regard pour l'aubergite, Leane prit son verre, le leva et but une gorgée.

A votre venue ici Akron.

Elle l'écouta avec attention essayant d'analyser chacune de ses paroles.

Humm il n'y a pas de honte à être paysan mais c'est sans aucun doute un travail difficile, je peux comprendre que vous ayez d'autres aspirations.J'espère quand même que le travail ne vous fait pas peur sans quoi vous seriez obligé d'utiliser tout autre stratagème pour survivre dans cette ville.

Leane but une petite gorgée et manqua de s'étrangler quand elle entendit la question du jeune homme. Elle parlait bien trop vite quelques fois, de toute façon, elle était ce qu'elle était et n'avait aucune honte.

L'aubergiste est lâche et hypocrite, il fait partie de ces gens peu srupuleux.
J'ai une vie peu ordinaire, la misère et les bas fonds sont mon lot quotidien et je reconnais que l'honnêteté n'est pas toujours de mon ressort.
Le tavernier l'a su et il m'a denoncée, je suppose qu'il pensait se faire quelques écus ainsi. En résumé je lui dois d'avoir passé quelques jours... à l'abri.
Ma présence ici doit le déranger.
Donc rassurez-vous, les nouveaux sont bien accueillis.
A moins que...

La vagabonde hésita un instant...

A moins qu'être vu en ma compagnie vous classe immédiatement dans le clan des misérables.

Lomax entra dans cette petite auberge, il venait d'avoir une dure journée de labeur. Aussi commanda-t-il un bon remontant...

Ce que vous avez de plus fort, mon brave, lui lança-t-il.

Il sirotait doucement son verre dans son coin, perdu dans ses pensées, quand il aperçut une tête connue. Il n'en fut qu'agréablement surpris.

Damoiselle Leane ! Comment vous portez-vous ? Excusez mon aspect quelque peu négligé, mais le travail, vous savez... enfin bref ! Je suis content de vous voir ici !

Serait-il cavalier de ma part que de vous offrir quelque chose à boire ?

"Et bien j'ai toujours été classé dans la catégorie des misérables de toutes façon...je ne fuierais donc pas en votre présence"

Il reposa son verre sur la table pendant que Leane continuait de parler. Sans en donner l'air, il portait grande attention à ses paroles. Ainsi il y avait d'autres chemins que le dur labeur pour parvenir à la félicité. La capitale était vraiment une ville fort interessante !
Il jeta un coup d'oeuil furtif alentour, personnne ne semblait s'interresser à la conversation. Il s'apprêtais à ouvrir la bouche quand une nouvelle personne fit son entrée

"Damoiselle Leane ! Comment vous portez-vous ? Excusez mon aspect quelque peu négligé, mais le travail, vous savez... enfin bref ! Je suis content de vous voir ici !
Serait-il cavalier de ma part que de vous offrir quelque chose à boire ?"

Grmmmbl. Au mauvais moment. Il devrait attendre un autre moment pour discutailler des divers moyens de gagner sa vie. Il reconnaissait là une personne qu'il avait croisé à la porte de Paris, sans doute un nouveau comme lui. Et bien ce gaillard là avait l'air fort avenant. Directement au but, sans un regard pour lui. Etait-il à ce point là transparent ?

Ce n'est pas un clan négligeable, bien au contraire. Lui dit-elle avec un petit clin d'oeil.
A part une ou deux personnes, les gens semblent m'apprécier malgré cela. Peut-être parce que je leur dis ce que je pense...

Akron allait ajouter quelque chose quand il s'interrompit à l'arrivée du jeune homme que Leane avait rencontré la veille à la taverne comtale.

Elle l'accueillit d'un large sourire.

Bonjour, c'est un réel plaisir de vous revoir.
Installez-vous donc avec nous.

La vagabonde en profita pour faire les présentations.

Akron, voici Lomax, tout comme vous, il vient d'arriver sur Paris.
Lomax, Akron nous arrive du Dauphiné.

Leane pensa qu'elle était là en fort bonne compagnie, tout en levant son verre à leur santé, elle laissa son esprit vagabonder puis trempa ses lèvres dans le doux brevage.

Lomax fut accueilli par un grand sourire. Leane lui présenta Akron, fraîchement débarqué du Dauphiné.

Oh, je vous prie d'excuser mon impolitesse Messire Akron. Je manque vraiment à tous mes principes.

Il lui serra la main, puis se pencha vers lui pour lui murmurer :

Je dois avouer que cette femme qui se veut vagabonde, ne me laisse pas indifférent. J'espère que vous me comprenez.

Lomax, rougissant un peu, prit son verre et but à la santé de tous.

» Taverne
» Le Plan de Vertus et son cadastre
» [RP] Auberge des oiseaux de passage

NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

[RP] Taverne de la rose blanche