NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Se rapprochant de dame Anne

si on allait voir eleanore voir comment elle va si elle ne dort pas quand pensé vous.

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Anne repondie simplement...

Je suis veuve depuis trés peu, j'ai perdue mon mari dans de trouble circonstance...
Alors il es vrai que la joies est parti avec lui et celle de l'enfant que je portait...

Mais ma vie n'est point interressante..

Anne vis Arté venir et elle lui sourit...

Veuillez m'ecuser Messire...je vais aller voir la soeur du Duc...elle a peu être un peu faim et il ne faut point la laisser trop seule...

Anne salua d'un sourire le messire encore atablé et suivit arté dans la chambre de Eleanore...

Regarda Anne allons si

montent les escaliers a deux, ouvrier la porte doucement pour voir si eleanore et réveille rentra dans la chambre, s approcha du lit avec Anne regarde eleanore qu'avait repris un peu de couleur mais elle et toujours aussi faible.

Comment sens tus eleanore , me suis occupé de ton chiot il a hâte de te revoir , quand tus ira mieux je l'amènerait ,

ensuite laissa la place à Anne vais m'asseoir là un peu a tés coter eleanore .

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Seule dans sa chambre, Eléanore regardait fixement vers la fenêtre où la lune brillait dans le ciel étoilé.
Elle n'aimait pas resté allongé sur le ventre car cela lui donnait mal à la nuque, mais son dos meurtrie ne lui laissait guère le choix de la position à adopter.

Ne supportant plus de rester couché, elle mit ses mains de chaque coté de son corps et se redressa difficilement. Assise sur son lit, elle puis prit une robe de chambre qu'elle passa autour de ses épaules en faisant bien attention à chaque mouvements. Ermeline l'avait prévenu que ses plaies pouvaient se ré-ouvrir à tout moment si elle ne prenait pas garde.

Marchant d'un pas lent, elle s'avança devant son miroir. L'esprit ailleurs, elle comtempla son reflet durant un moment, lorsque tout à coup, le ululement d'une chouette la lui fit reprendre conscience.
Elle redoutait de voir son dos, mais après une longue respiration, elle fit descendre son vêtement le long de ses bras, puis l'arrêta au niveau de ses coudes et passa ses bras autour de sa poitrine.
Fermant les yeux, elle se retourna lentement tout en ramassant ses long cheveux noir qu'elle mit sur son épaule gauche.

Ouvrant les yeux, elle regarda son reflet et en eut le sang glacé. Les larmes aux yeux, elle mit ses mains devant sa bouche horrifier de voir un tel tatouage gravé sur sa peau. Cet hideux corbeau allait être son compagnon jusqu'à la mort, lui rappelant ainsi cette affreuse nuit.

Elle resta un instant à contempler ce dessin grossièrement dessiné sur sa peaux puis au bout d'un moment, elle réajusta sa chemise de nuit et d'un pas lent, elle marcha vers son lit. S'asseyant, elle regarda le sol avec un regard vide.

C'est alors que la porte s'ouvrit doucement. Surprise, Eléanore essuya rapidement ses larmes d'un revers de manche et sourit aux deux dames qui venaient lui rendre visite
Je me sens un peu mieux garce aux soins de Dame Ermeline. En tout cas je te remercie de t'occuper de mon chien et de la taverne. Ca ne doit pas évident de faire tout toute seule, j'espère vite me rétablir pour pouvoir retravailler.

Ne voulant pas les inquiéter d'avantage, elle fit mine que tout allait bien en leur faisant un agréable sourire, mais en faite elle se cachait derrière un masque de bonne humeur comme pour se protéger. Elle ne voulait pas succomber au flot de tristesse et d'inquiétude qui l'avait envahi quelques minutes plutôt

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Anne remarqua les yeux rougie de Dame Eleanore, mais ne posa aucune question…elle comprenait la douleur et la tristesse qu’elle pouvais endurée…

Dame, vous devriez vous reposer encore un peu et si vous voulez boire quelque chose ou bien manger, dite le nous…
Je suis venue aider Dame Artésienne, Cela me passe le temps…

Dame Ermeline sais très bien soignée…Je sais que certaine blessure peuvent mettre du temps a cicatriser…

Et comme pour elle-même….d’autre qui ne s’efface pas…

Si vous avez besoin …n’oubliez pas que nous sommes là…juste une présence parfois fait du bien…

Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 15/04/2008

Le voici à nouveau seul devant son pichet de vin rosé.

Après quelques confidences rapides, Anne a rejoint dame Artésienne, et toutes deux sont grimpées à l’étage pour s’enquérir de la santé d’une personne alitée, la sœur d’un duc, semble t’il.

La pauvre Anne est passée par de bien tristes épreuves. Elle semble abattue, inconsolable pour l’instant. La perte de son mari et de son enfant sont certainement très récentes, et le temps qui passe ne peut effacer un tel chagrin d’un coup de baguette magique.

Rodrigue se remet à rêver. Toutes ces semaines à la barre d’un trois-mâts ne s’oublient pas d’un seul coup. Il vogue de nouveau au large d'îles lointaines, sous un soleil de plomb. Des mouettes gourmandes volent au-dessus du bateau en piaillant.

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Tout en écoutant Anne, Eléanore froissait machinalement la ceinture de sa chemise de nuit du bout de ses doigts. Le tortillant dans tous les sens, elle répondit
Je vous en merci. Pour le moment je n'ai pas spécialement faim ni soif, mais si j'ai envie de quelque chose, je vous le ferez savoir.

Elle s'arrêta un bref instant puis reprit
C'est gentil de votre part de venir nous aider à la taverne. Depuis que je suis arrivée a Reims, nous nous sommes croisés bon nombre de fois sans réellement prendre le temps de bavarder. Je suis contente que vous soyez ici et sachez que vous serez toujours la bienvenue dans ces lieux.

Retenant un bâillement, la fatigue commença à envahir son corps. D'une voix un peu faible, elle termina
La journée fut longue et très... Elle ne finit pas ses mots regardant tristement le sol. Se ressaisissant, elle redressa la tête et leur fit un sourire Loin de moi l'idée de vous chasser, mais je me sens un eu épuiser.

Écoute eleanore elle était fatigue, on va te laisser te reposer si ta besoin on n'est pas loin.

Se dirigent vert la porte avec Anne est sorti de la chambre descendit les escaliers, est retourné vert le comptoir . dit Anne voulait boire quelque chose avec moi.

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Oui, je prendrais bien un verre de vin , si cela ne vous dérange pas... et puis aprés ,j'irais faire un tour dans les rues...Histoire de penser a autres choses...

Il est vrai que Dame Eleanore doit se reposer...en plus son frere ne vient même pas la voir...

Anne sourti as Arté...et s'installa au bar...
Elle parcourait des yeux la salle...l'homme était toujours là...elle lui adressa un sourire...

Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 27/02/2008

Par la fenêtre il se glissa dans la chambre de la demoiselle. S'avançant d'un pas feutré jusqu'au lit où, épuisée, elle s'était laissée emporter dans ses songes, Sephren écarta une mèche de cheveux de la jeune femme.
Elle dormait sur son ventre, laissant ainsi reposer son dos blessé.

D'un geste délicat, il écarta la robe de nuit et observa à la lueur de la lune, le tatouage qu'il lui avait ainsi gravé. Se rendait elle compte que la marque du corbeau la rendait unique à ses yeux ? Sans doute en était elle horrifié plus que fière. Le sourire en coin, il déposa un collier avec une plume de corbeau sur son coussin, prit le temps de lui couper une mèche de cheveux et de déposer un baiser sur son épaule dénudée.

Il se releva et tout aussi subitement qu'il était apparu, il disparut dans la nuit.
Peut-être que finalement ...

Spoiler:

Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 15/04/2008

Anne est réapparue soudain, et elle s’est installée au comptoir avec dame Artésienne.

La mignonne promène son regard mélancolique dans la salle. Ses yeux se posent sur lui, et elle lui offre un merveilleux sourire.

Rodrigue la rejoindrait volontiers, mais n’est-ce pas montrer trop d’empressement envers cette jolie personne qui vient de rencontrer tant de malheurs dans sa courte existence ?

Il hésite, et lui rend son sourire. De loin.

Puis il se creuse un instant la cervelle. Allez, Rodrigue, décide-toi. Si jamais elle s’en va, tu ne sais même pas où la retrouver !

Il se lève et se dirige également vers le bar. Un petit renseignement, ça n’engage à rien. Il s’adresse à la fois à Anne et à dame Artésienne.

Veuillez m’excuser, je vous prie, belles dames. Mon épaisse tignasse et mes joues auraient bien besoin d’un coiffeur et d’un barbier. Pouvez vous me dire s’il en existe dans le quartier ?

Il sourit, gentiment taquin.

Enfin, pour le barbier, vous l’ignorez sans doute. Vous ne devez pas vous y rendre régulièrement, je pense …

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Anne était perdue dans ses pensé... quand Rodrigue se leva et leurs adressa la parole...

Oui ...il y as quelqu 'un qui coupe les cheveux, je supose qu'il doit aussi faire la barbe de ces messieurs...
Je pourrait vous l'indiquer, je ne vais pas tarder a rentrer chez moi...
Si vous n'avez pas peur de sortir la nuit...Par contre , je doute qu'il soi encore ouvert a cette heures ci, mais vous pourriez y retourner demain...

Anne pris son verre et le bu doucement...

Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 15/04/2008

Rodrigue écoute les explications d’Anne, sans en perdre un seul mot, observant le lent mouvement de ses lèvres, admirant aussi le grain de sa peau, d’une extrême finesse. Quelques pas dehors en sa compagnie, pourquoi pas ?

Je serais ravi de vous raccompagner jusqu’à votre domicile, ma chère Anne. Si vous le voulez bien, vous m’indiquerez le salon du barbier, s’il est sur notre route. Vous permettez un instant ? Je vais déposer mon sac dans ma chambre.

Le marin empoigne son lourd baluchon, et va le déposer sur son lit. Il rangera toutes ses affaires plus tard.

Il redescend quatre à quatre l’escalier, et rejoint la jeune femme.

Voilà, je suis à vous, Anne. Me voici donc votre escorte personnelle.

Il lui sourit, et lui murmure tout bas.

J’ai exercé des métiers bien plus désagréables …

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Alors ,nous passerons en premier par le barbier...Ensuite je vais rentrer chez moi, je pense que l'on a pas besoin de moi ici..

Je suppose que vous retrouver votre chemin jusqu'ici..

Dame Artésienne...je vais vous laisser...J'espere vous revoir un jour...
Anne vida son verre et pris sa cape, l'as passant sur ses épaules...

Elle se dirigeas vers la sortie...

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Seule dans sa chambre, Eléanore s'installa confortablement sur son lit.
Allongée sur le ventre, elle posa sa tête sur son oreiller alors que ses bras se glissèrent sous celui-ci.
La couverture remontée jusqu'aux reins, elle fixa la lune qui brillait de tout son éclat à travers la fenêtre. La fatigue la gagna peut à peut alors que ses pensées vagabondèrent. Ses yeux se fermèrent doucement laissant la place aux rêves.......

Le rêve a écrit:: Elle était assise dans un champ de fleurs qui s’étendait à perte de vue. Retrouvant ses cinq ans, elle était assise en face d’un petit garçon guère plus âgée qu’elle qui était en train de confectionner un gros bouquet de fleurs. Tournant la tête, elle vit deux adultes qui veillaient sur eux avec un regard remplit d’amour.

Pour s’amuser, le petit blondinet taquina sa jeune sœur en lui racontant que les poissons savaient voler dans le ciel. Il s’avait s’y prendre pour la mettre en rogne, ce qui l’amusait énormément. La petite fille lui démontra que c’était totalement faux puis se mit a agiter ses bras devant toute rouge de colère. Albert regarda sa sœur avec un grand sourire et se mit a rire aux éclats. Celle ci vexée, partit se réfugier dans les bras protecteur de sa mère. Voulant se faire pardonner, le petit Albert vint déposer une marguerite dans les cheveux de sa sœur qui se sentit aussi belle qu’une princesse.

Elle nageait en plein bonheur et désirait que ce moment dure pour toujours. Se détachant des bras maternelle, elle partit chercher son bouquet de fleur pour l’offrir a son père, mais lorsqu’elle se retourna, il n’y avait plus personne. Elle avait beau les appeler, personnes ne lui répondaient.

Tout à coup, elle entendit un bruit étrange. Se retournant, Eléanore qui avait retrouver son age normal, scrutait l’horizon avec attention pour savoir d’où pouvait venir ce son. A nouveau le bruit se refit entendre
Ccrrroooaaaaaaaa
Levant les yeux, elle vit un corbeau qui tournée autour de sa tête haut dans le ciel.

Effrayée, elle se mit a courir, mais au lieu de ça, elle avait l’impression de s’embourber dans la terre devenu boueuse. L’animal en profita pour foncé sur elle. Voulant le chasser, elle laissa glisser son châle le long de ses bras puis l’agita dans le ciel devenu gris, mais l’oiseau n’avait pas l’intention de se laisser chasser aussi facilement.
Perdant l’équilibre, elle s’affala sur le sol. Devant une occasion pareil, le corbeau vint se poser a coté d’elle et lui picora son épaule. La douleur fut vive et intense. Satisfait de lui même, l’animal reprit son envol et disparut dans le ciel nuageux.

Portant sa mains sur son épaule, elle examina sa blessure qui avait totalement disparu comme si rien ne s’était passer.
Relevant la tête, elle ne s’attendait pas à voir son frère devant elle. Elle lui sourit, mais celui ci ne réagit pas. Perplexe, elle avança vers lui mais au lieu de s’approchait, il s’éloignait à chacun de ses pas. Elle le regardait le cœur serrer alors qu’il la dévisageait.
Accélérant le pas, elle voulu le rejoindre mais elle trébucha et tomba a genoux. Levant sa main vers lui, elle cria son nom......

ALBERT !!!!!!!!!!

Elle se réveilla en sursaut tout en prononçant le nom de son frère. La sueur au front, elle regarda le mur en face d’elle. Se rêve était si intense et si réelle, qu’elle en eut des frissons. Frissonnant, elle passa ses bras autour de sa poitrine, elle remarqua que sa chemise de nuit était défaite alors qu’elle avait veiller de bien l’attacher avant de dormir.

Une brise d’air lui fit tournée la tête et vit les rideaux danser au grès du vent alors que les fenêtres étaient grandes ouvertes. Bizarre, elles était persuadé de les avoir bien fermé… Passant sa main dans ses cheveux pour les remettre en arrière, elle remarqua que quelque mèches lui restèrent dans sa main… De plus en plus étrange. C’est alors qu’en cherchant une explication à tout ceci qu’elle remarqua un drôle de collier poser sur son oreiller.
Mais qu’est ce que … ?? dit –elle a mis mot

Perplexe, elle le prit dans sa main se demandant comment il avait pu arriver là. L’examinant minutieusement, elle frémit lorsqu’elle reconnu une plume de corbeau. Le tint blanc, elle regarda le collier puis la fenêtre ouverte.
Est-ce que... Non... Comment est-ce possible... ? se demandait-elle

Elle voulait nier l’évidence mais il était bel est bien venue la voir alors qu’elle dormait profondément. Gardant le collier dans sa main, elle se dirigea vers la fenêtre qu’elle ferma à double tour puis regardant à travers les carreaux, scrutant un moment la rue vide puis tira les rideaux.

Ne pouvant trouver le sommeil, elle tourna en rond dans sa chambre alors que l’heure défila. La chambre lui paraissait devenir de plus en plus petit ce qui lui donna un sentiment d’oppression.

Prenant une chemise de couleur foncé qu’elle enfila rapidement puis enfila une jupe assortit puis sans s’en rendre compte, elle y glissa le collier dans sa poche. Descendant les escaliers à pas de loups, elle fit bien attention de faire le moins de bruit possible.
Allant dans la cuisine sans qu’on puisse la voir, elle se prépara un petit encas puis prit place sur une chaise pour y déguster sans appétit son petit repas.

Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 15/04/2008

Rêveur, il suit d’un regard admiratif la jolie silhouette d’Anne, qui se dirige vers la sortie. Puis, pressant le pas, il la rejoint, lui ouvre tout grand la porte, et s’efface pour la laisser passer.

Il a eu raison de l’aborder près du comptoir, Anne ne semble pas être une habituée de la taverne, il ne l’aurait sans doute pas revue. A moins qu’elle n’en eut décidé autrement … Qui sait ? Les femmes sont vraiment un mystère insondable.

En route alors, ma chère Anne. Nous allons dans quelle direction ?

Il lui sourit. Une vieille ruse mille fois utilisée lui vient à l’esprit.

Je vous donne mon bras, Anne ? Les pavés me semblent bien mauvais dans cette ruelle, vous risqueriez de vous tordre une cheville …

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Je vous remercie Messire, mais je n’est point besoin de votre bras…Les pavés j’y fait attention depuis toujours…

Anne sortie de l’auberge et se retrouve dans les rues de Reims…

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

la matinée était bien avancé lorsque la jeune fille se réveilla. Elle avait finir par s'endormir dans la cuisine la tête à moitié posé sur une tartine.

Levant sa tête, elle regarda avec des petits yeux encore endormit l'espace qui l'entourait tout en se grattant la tête.
Se rendant compte qu'il y avait quelque chose collé sur sa joue, elle décolla la tartine qu'elle posa en face d'elle. Se levant, elle s'avança vers la fenêtre pour pourvoir regarder le cadran solaire qui était dans la cours.
Mince... Il est deja si tard. Je dois me dépêcher

Elle fut nerveuse lorsqu'elle dut retourner dans sa chambre. S'arrêtant devant sa porte qu'elle ouvrit doucement, elle passa la tête dans la pièce pour voir si tout était tel qu'elle l'avait laissé la veille. La fenêtre fut toujours fermée, signe que personne n'était rentré depuis la veille. Soulagée, elle entra et partit se préparer.

Après avoir fait un brin de toilette, elle redescendit dans la taverne et laissa un mot pour artésienne.

Spoiler:

Elle laissa le parchemin en évidence sur le comptoir, puis sortit de la taverne

Anne était sorti avec le messire il allait surement la raccompagné chez elle. Il y a un mot sur le comptoir a c'est eleanore elle est sorti suis content qu'elle aille mieux.

Par conte plus de nouvelle du duc j espère qui va bien.

Je vais ranger un peu la taverne, commença tout ramassé et nettoyer la taverne, avant qu'eleanore rentre, moi aussi j irait bien prendre l aire ça fait un moment je ne suis pas sorti je vais attendre qu'eleanore rentre

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Eléanore arriva enfin à la taverne. Après avoir fermé la porte, elle partit d'installer à une table. Quelques gouttes de sueur parlaient sur son front alors qu'elle posa sa tête entre ses bras.

Le souffle court, elle mit un certain temps avant de retrouver sa respiration. Au bout d'un petit moment, elle décida de se faire une tisane pour l'aider a évacuer toute sa nervosité. Passant derrière le comptoir, elle prépara de l'eau qu'elle posa sur le feu ardent puis chercha la boite de feuilles de menthes.
La posant sur le bar, son regard fut comme hypnotisé par cet objet lorsque tout a coup, elle revient quand l'eau bouillante déborda de la bouilloire. Prenant un linge, elle prit garde de ne pas se brûler avant de verser l'eau chaud dans la tasse qui contenait des feuilles de menthes.

Alors que le liquide s'infusait tranquillement, elle prit un parchemin ainsi qu'une plume et prit place au comptoir. Ouvrant l'encrier, elle y trempa le bout de sa plume puis laissa son coeur conduire sa main sur le parchemin. Après un petit moment, elle termina sa lettre en signant de sa plus belle écriture. Il n'y avait plus qu'a demander à un coursier de pouvoir la livrer, mais ce n'était pas pressé pour le moment.

Les lieux étaient plutôt calme en ce moment... Prenant la tisane dans ses mains, la tavernière se leva et partit récupérer un roman. S'installant confortablement dans un fauteuil, elle but quelque gorgée de la boisson puis se plongea dans sa lecture.

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 14/04/2008

Yomi entra dans la taverne .. Le jeune homme regarda tout autour de lui quand il aperçu une jeune femme en pleine lecture assise sur un fauteuil .. .

Il avait légérement faim... mais decida d'aller s'assoire à une table pour ne pas deranger la jeune demoiselle

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Le coude posé sur l'accoudoir et la tête enfuit dans sa main, elle lisait son roman. Bien que ses yeux regardaient les pages du livre qui se tournaient l'une après l'autre, son esprit était ailleurs. Elle pensait à des choses et d'autres. Soupirant, elle ferma son bouquin puis prit la tasse de tisane devenu froide et en but quelque gorgée. Une grimace se dessina sur son visage alors qu'elle entendit la porte de la taverne s'ouvrir.

Un frisson lui parcourra le long du dos. N'osant regarder qui c'était, elle posa sa main sur sa cuisse se préparant au pire. Elle tourna lentement la tête et remarqua un homme qui était entré en toute discrétion. Après avoir regarder un peu partout, il partit s'installer a une table.

Soulagée, Eléanore se leva posant au passage son livre sur le comptoir puis alla voir le client
Bonjour et bienvenue messire. Puis-je vous servir une boisson ou un repas ?

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 14/04/2008

Yomi leva la tête et regarda la jeune femme qui s'approchait de lui

Bonjour et bienvenue messire. Puis-je vous servir une boisson ou un repas ?

Bonjour Madame ! Je prendrais bien un verre de vins et en repas je ne sais pas trop je gouterais bien votre specialité .

Le jeune homme fixait la demoiselle qui avait l'aire toujours dans ces pensées

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Souriant à l'inconnu, elle lui répondit simplement
Hé bien... Je n'ai que du ragoût à vous proposer dit-elle honteuse de pouvoir lui proposer un autre plats
Je vais vous remplir une écuelle et vous apporter du vin.

Elle partit dans la cuisine pour préparer la commande et au bout d'un petit moment, elle réapparut dans la taverne avec un plateau dans ses bras.

D'un pas lent, elle avança faisant bien attention de ne rien renverser puis posa la bouteille de vin, un verre ainsi que l'écuelle de ragout devant l'homme accoudé a la table.
Voila pour vous messire. Bon appétit

Elle fit un pas pour le laisser seul lorsqu'elle se retourna timidement
Excusez moi mais.... Puis je vous tenir compagnie durant votre repas ? En faite je n'ai pas encore diner et manger seule ne m'enchante guère...
Elle n'osa le regarder alors que ses joues prirent une tinte rosé

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 14/04/2008

Yomi ecoutant attentivement les paroles de la jeune femme lui repondit

Un ragoût!! cela sera parfait

le jeune homme ne la quittait pas du regard

Merci beacoup Madame

Il attrapa sa fourchette pour commencer à manger lorsqu'il vit la demoiselle ce retourner vers lui

Bien sur que vous pouvez manger avec moi ... Bien au contraire il serait dommage de manger chacun de notre coté autant en profiter pour faire un peut plus connaissance !

Je vous en prie asseyez-vous

Il se leva pour tirer la chaise et invita la dame a venir s'asseoir

Yomi vit que la jeune femme etait un peut genée et qu'elle n'avais pas l'air davoir trop le morale .
Alors il decida t'entammer la conversation pour essayer de la détendre

Je me présente je suis Yomi . Je suis arrivé dans votre merveilleuse ville de Reims il y à de cela trois jours . Cette ville est tres accuillante et les gens sont tres aimables.
Et vous a qui ai-je l'honneure ?

Yomi n'avait toujours pas toucher son ecuelle il avais les yeux fixés sur la jeune femme...

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