NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Dans l'enceinte de Paris, s'élevait une grosse bâtisse montée de mûr lourd. En ce lieu se rassemblait les soldats et la vie de la caserne. A l'entrée des gardes contrôlaient les entrées. C'est ici que l'on venait s'engager, signer les contrats d'engagements en tant que réserviste ou en tant que soldat engagé.

On entendait à l'intérieur des murs toute l'effervescence de la vie d'armée. Les entrainements en étaient la plus grande part de vie.

Le crieur allait régulièrement appeler à l'enrôlement sur la grand place de Paris, ce qui conduisait les gens à venir se renseigner.

Une compensation en louis d'or sonnant et trébuchant était assuré pour aider ces hommes et ces femmes dans leur vie parisienne, compensant ainsi les risques pris, afin que la vie de leur famille soit plus aisée.

Nombre de messages : 33 Date d'inscription : 07/05/2008

je veut etre soldat pour defendre la belle comte de paris je suis fidele et courageux je m excuse pour l horthographe je vous remercie d avance

Le comte attendait à la caserne messire mattew qui lui avait promis son engagement dans la prestigieuse armée de Paris. Lorsqu'il le vit, il le salua et lui répondit :

- Je vous remercie. Vous êtes désormais une recrue de l'armée de Paris. Vous aurez quelques entraînements avant de devenir vous même soldat. Votre courage et votre fidélité nous serons bien utile, quant à l'orthographe, nous ne vous demandons pas d'écrire des lettres.
Je vais vous montrer vos nouveaux quartiers dans un instant.

Nombre de messages : 33 Date d'inscription : 07/05/2008

je vous remerci messir agius j attend ses entrainement avec impassience

Bienvenue jeune recrue !

Après avoir longuement congité Judoka décida de rentrer dans l'Armée.

- Ça y est j’ai enfin pris une grande décision mûrement réfléchie.
Je m’engage dans l’armée de la ville de Paris.
Car étant complètement tombé amoureux de votre ville en arrivant dans votre pays, j’ai donc décidé de m’impliquer encore plus dans la vie parisienne en me dévouant à la défense de ma ville. J’y ferai mes classes durant 42 jours et j’espère en ressortir gradé. Afin de devenir par la suite Général de l’Armée Française et de mettre en application tout mon savoir militaire appris durant ma jeunesse au Japon.

Le comte s'approcha et afficha un parchemin devant la caserne de Paris :

Citation :: Nous, comte de Paris, rendons public notre volonté de voir la recrue Judoka du Japon quitter l'armée de gré ou de force. Nous le jugeons coupable de trahison envers le comté de Paris de par sa tentative de vouloir prendre le pouvoir en caserne, de sa mauvaise influence sur ses camarades et sur certains messages dont nous eûmes connaissance. La jeune recrue peut s'estimer heueuse de ne pas avoir à répondre à ses actes devant un tribunal militaire et d'être passé aux armes.

Fait à Paris le 15 du mois de mai de l'an de grâce 1561.

Ambroisie arriva devant le parchemin et le lut attentivement.
Elle l'arracha et l'emporta avec elle, furieuse.
Comment cela se faisait il que le Comte Agius ne l'avait pas personnellement informée de cette décision !

Le jeune Judoka avait certes bien des choses à apprendre mais de là à le virer ?
Elle espérait que le jeune homme n'avait vu cette annonce.

Malheureusement le jeune homme avait lu l'annonce officielle de son exclusion de l'armée.
Il ne comprenait pas! Qu'avait-il fait aussi grave pour mériter une telle sanction?
Abasourdi par cette décision, il se dirigea de nouveau vers l'intérieur de l'enceinte de la Caserne afin d'avoir plus d’explication

Nombre de messages : 20 Date d'inscription : 12/01/2008

Le lieutenant Fbgimli, l'ex lieutenant Fbgimli déposa son paquetage au bureau de la caserne et quitta la caserne sans se retourner.
Il ne lui resta plus qu'à passer sa dernière nuit à Paris avant de quitter cette ville qu'il aimait tant.

pourquoi caserne pourquoi avoir une armée qu'il n'y ait pas de royaume contre qui se défendre Rolling Eyes

Parce que nous sommes au bord de la guerre civile peut-être ?

je suis au courant j'ai lu vos messages concernant se soulever contre le roi est conquérir certain ville est déclarer l'indépendance est aussi créer des nouveaux comptés et des villes Laughing

Ambroisie était présente lorsque le lieutenant FbGimli33 passa la porte de la caserne. Elle le rattrapa par le bras délicatement.

Ne partez pas, lieutenant. Nous avons tous besoin de vous, moi la première ...

Son regard triste se plongea dans le sien, espérant le faire changer d'avis.

Nombre de messages : 20 Date d'inscription : 12/01/2008

En entendant et en voyant le regard de son Capitaine, il se dit qu'il ferait mieux de rester pour garder un oeil sur son capitaine, ne voulant pas qu'il lui arrive malheur.

Madame ou plutot capitaine, je reste.
Je suis trés ému de ce que vous venez de me dire.
Mais il y a deux raisons qui me font rester :
Premièrement, comment résister quand vous me regardez ainsi et je ne veux pas vous laisser sans surveillance.
Deuxièmement, je ne crois pas avoir le choix car si je pars je serai traqué toute ma vie pour désertion ou je vais me faire arréter avant de passer les portes de la ville et je risque ma vie.
Je verrai aprés mon délai légal de service si je veux partir de cette ville.

Il retourna dans la caserne, vers ses quartiers, la tête remplit de sentiments différents, de la rage contre cet homme et de l'émotion aprés les paroles de son capitaine et tout le soutien de ses hommes.

Brian passa et vit Fbgimli revenir . Il ne put s'empecher de lui sourire . Il était rare de voir des hommes aussi bon, et un tel guerrir est rare . Laissant ensuite son regard s posait sur la triste capitaine . L'armée allait bien du soucis a se faire, et le duché aussi .

Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 05/06/2008

Guylian ayant reçu l'ordre de mobilisation, et surtout la menace des 200 louis d'amende, alla s'inscrire à la caserne.
Un soldat à l'air sévère l'accueillit.

- M'sieur, c'est où qu'on s'engage ? il paraît que c'est obligatoire.
- Obligatoire ? mais tu devrais dire que c'est un honneur !!
- Oui, c'est ce que je voulais dire. On va où ?
- 3ème porte à droite.

Guylian compta sur ses doigts... 3, c'est après combien ? et la droite c'est laquelle ?

- Tu sais pas compter ?
- Si, bien sûr... c'est laquelle encore ?
- La verte là-bas

Ben voila, avec des informations claires, on y arrive tout de suite

Citation :: Vous faites déjà partie de l'armée !

Vous ne pouvez pas encore vous désengagez, il faudra encore attendre !

Bienvenue Soldat !
Je suis Ambroisie, votre capitaine.

Suivez moi ...

Théodore Takhisis est revenu du néant et des oubliettes..., pour un crime qu'il n'a pas commis..., et dont il ne sait même rien...!

Il n'a jamais compris ce qui lui était arrivé..., toujours est-il qu'il était "quelqu'un d'important"..., qu'il a été arrêté depuis un certain nombre d'années..., qu'il a vieilli..., qu'il est méconnaissable..., et qu'un jour, il réussit à s'enfuir de sa geôle, suite à un tremblement de terre qui a détruit le mur de sa prison...

Il est revenu à Paris..., des années après..., incognito..., mais en gardant la seule chose qui lui restait de dignité..., son nom...

Il a décidé d'être mineur dans les mines du Sud pour survivre..., et il vient d'apprendre que chaque homme devait faire son service militaire..., sous peine d'une forte amende...

Il n'osait y croire..., il se dit : "j'y vais, sinon je vais encore me faire avoir..."

Arrivant à l'entrée de la caserne, Takhisis salua le garde et demanda :

"Bonjour Monsieur, je suis un mineur et j'aimerais savoir où je dois m'adresser pour effectuer mon service militaire"...

Le garde ne bougeant pas d'une moustache, Takhisis se dit que c'était comme en Grande-Bretagne, et que les soldats d'apparats ne devaient pas broncher, quoi qu'il se passe..., alors Takhisis s'introduit dans la caserne..., et il vit une porte ouverte avec un écriteau "Bureau de recrutement"... Takhisis entra, vit du beau monde, et dit :

"Bonjour Messieurs, je suis un mineur et j'aimerais savoir où je dois m'adresser pour effectuer mon service militaire"...

Bonjour messire,
Je suis Ambroisie, Capitaine de l'armée de Paris !

Hum ... vous n'avez pas bien regardé en me disant Monsieur .... Elle le regarda en faisant un sourire en coin.

Suivez moi je vous prie ...

Elle le conduisit à l'intérieur de la caserne.

Euh...., oui..., euh..., oh...

Excusez-moi..., euh..., Madame..., euh....

En uniforme..., et euh..., de dos..., euh...

J'ai fait une méprise..., euh..., excusez-moi..., euh..., Madame...

Je vous suis..., Madame..., euh... Capitaine..., euh.

Madame le Capitaine..., euh...

Excusez-moi, je suis confus..., euh...

Je ne sais comment dire..., euh.

Et puis les grades..., euh..., et comment les reconnaître..., euh...

Je ne suis pas habitué..., euh..., je devrais apprendre...

Mais, je vous suis...

Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 07/05/2008

Après une longue discussion avec Agius, la jeune fille avait finalement décidé de s’engager dans l’armée. Elle commençait à douter un peu de son choix, mais la curiosité eut raison d’elle.

Ambre se dirigea donc vers la caserne de Paris. A l’entrée, elle prit le temps de regarder l ‘immense bâtisse, inspira profondément et entra. Après moult détours, elle trouva enfin le bureau du recrutement…

Bonjour ! Il paraît que vous recrutez… alors me voici !

Petit sourire… Mais qu’est ce qu’elle faisait là…

Laissant le soldat à sa confusion et le menant au bon soin du Lieutenant instructeur Brian, Ambroisie de retour vers son bureau, vit une jeune femme se présenter.
Elle reconnut la soeur du Comte. Un peu surprise de la voir vouloir entrer dans l'armée, elle se dirigea vers elle.

Bonjour dame Ambre. Comment allez vous ?

Je ne sais si vous vous souvenez de moi, nous nous sommes rencontrée qu'une seule fois. Je suis Ambroisie, Capitaine de l'armée Parisienne.

Vous voulez rejoindre l'armée ? Et bien, suivez moi ...

Elle lui ouvrit la porte de la caserne et lui demande de la suivre dans la cour.

Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 07/05/2008

Ambre attendait qu’on daigne lui dire où elle devait se manifester lorsqu’elle vue entrer la capitaine. Voyant son regard légèrement surpris de la voir ici, la jeune fille se contenta d’un petit sourire, la laissant parler, avant de la saluer.

Bonjour dame Ambre. Comment allez vous ?

Je ne sais si vous vous souvenez de moi, nous nous sommes rencontrée qu'une seule fois. Je suis Ambroisie, Capitaine de l'armée Parisienne.

Vous voulez rejoindre l'armée ? Et bien, suivez moi ...

Bonjour dame Ambroisie.
Bien entendu que je me souviens de vous… la promise de mon cher frère, comment pourrais je l’oublier ?

Elle esquissa à nouveau un sourire avant de suivre la Capitaine…

Après avoir longtemps marché dans les rues de Paris, Alkior fit halte et jeta son dévolu sur une taverne qui lui parue plutôt accueillante.
Il en poussa la porte et salua les gens qui s’y trouvaient déja, avant d’aller s’asseoir à une table en leur compagnie .
Alkior pu se restaurer, et déguster une chope tout en devisant tranquillement avec les personnes présentes, liant de ce fait connaissance et apprenant les dernières nouvelles de la capitale
Après quelques discussions des plus intéressantes, Il sortit de sa besace un plan pour chercher sur celui-ci la caserne de paris, désireux d’intégrer l’armée sans plus tarder pour effectuer son service
Une dernière chope trinquée, un salut amical à tous, et Alkior prit congé, sachant exactement en sortant de l’auberge le chemin à suivre.
Tandis qu’il s’en éloignait, il se promit de revenir dés que possible dans cette auberge des plus sympathique. Il était toujours appréciable de connaitre un endroit où la bière était servie fraîche.

Un peu plus tard Alkior, parvint enfin à l’ endroit souhaité.
Il scruta du regard les hauts murs de la caserne, impressionnante bâtisse ou il allait apprendre le maniement des armes et sans doute bien d’autres choses
Alkior s'approcha des gardes en faction et se présenta...

Bonjour! je m'appelle Alkior et je viens m’enrôler

Un instant de flottement... les gardes l’examinérent d'un air suspicieux,échangérent un regard, puis l'un d'eux lui désigna enfin de l’index un endroit au loin en lui disant...

Lorsque tu auras traversé la cour, là-bas à droite tu trouveras une porte. Sers-toi du heurtoir, et on te dira comment être incorporé

Alkior les remercia, avant de prendre la direction désigné

Merci pour le renseignement soldats

Un fois la cour traversée, il trouva effectivement la porte à laquelle un lourd heurtoir était fixé.
Il s’empara de celui-ci, hesita une seconde avant de se décider à le laisser retomber plusieurs fois sur la porte en chêne, occasionnant un bruit suffisament conséquent...

BAM! BAM! BAM!...

Il attendit qu'on lui signifie d'entrer, se demandant tout de même s'il quelqu'un se trouvait de l'autre côté de la porte...

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