NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Alors que la jeune procureur se tenait au pas de la porte, observant la scène, le Duc vint lui murmurer à l'oreille...
Il faudrait une robe pour Dame Arlène, pourriez vous m'aider à trouver ce qu'il faut? Je ne sais où je pourrais me fournir. S'il faut réveiller le gérant d'une boutique nous le ferrons...

Angel tourna sa tête regardant le jeune homme...Il paraissait, comme chaque personne ici, complètement abattu...

Nous pourrions peut être trouver cela chez une couturière... Avec un peu de chance a t - elle un robe en réserve qui pourrait convenir...

La jeune femme jeta un dernier regard en direction du lit ou était allongée Arlène, ayant une pensée pour elle, espérant que là - haut on prendrait soin d'elle...

Elle se retourna et quitta la pièce aux côtés Albert...
Elle ne connaissait pas encore tous les recoins du château, elle se laissa alors guider par le jeune Duc pour rejoindre l'endroit où ils pourraient trouver la couturière...

Ils finirent par trouver la couturière... enfin ils finirent par la réveiller surtout... La tête embrumée, elle leur présenta sa collection. Sur les conseils avisés de Dame Angel, ils choisirent une robe dans les tons bleus
Une robe qui ressortait parfaitement avec le teint frais de la demoiselle. Après un petit moment, ils retournèrent à la chambre, pour donner les habits à Ermeline. Albert sortit laissant les jeunes femmes avec la jeune demoiselle.

[HRP]Désolé pour ce message très court, mais je pars en déplacement jusqu'au milieu de la semaine prochaine, donc je ne voulais pas vous bloquer. Vous pouvez faire agir Albert dans la limite du raisonnable, me le tuer pas quoi Razz

Bon jeu à toutes et à tous[/HRP]

Ermeline remercia Dame Mathilde qui proposait son aide. Une servante vint leur amener de l'eau. Le Duc revint peu de temps après avec Dame Angel apporter une roble bleue.

Les trois jeunes femmes retirèrent les vêtements ensanglantés de la jeune Arlène, la lavèrent avec beaucoup de douceur et la revêtirent de cette robe choisie avec beaucoup de tact. Ses cheveux furent démêlés et coiffés.

Ermeline sortit un instant pour envoyer un garde prévenir l'Abesse de Reims et revint avec quatre hommes portant un cercueil où la jeune fille fut déposée avec délicatesse.

Puis ces hommes sortirent emmenant Arlène pour rejoindre Reims et lui offrir les funérailles nécessaires au repos de son âme.

Ermeline salua et remercia Dame Mathilde et Dame Angel, descendit dans la salle de garde se changer et revêtir à nouveau sa robe et se retrouva bientôt dans la cour du Château, le jour se levait, elle salua les personnes qui y étaient encore présentes, monta sur son cheval et s'en retourna à Reims.

Angie et le jeune Duc avaient dû sortir la couturière de son lit.. Il était tard et elle dormait déjà à poing fermé, mais il y avait urgence...
Ils choisirent ensemble une jolie robe bleue qu'ils amenèrent de suite dans la chambre où la demoiselle avait été déposée...

Albert quitta la pièce et les trois jeunes femmes firent la toilette à Arlène, la préparèrent pour ses funérailles...
L'abbesse fût prévenue et le corps de la jeune femme emmené à Reims.

La nuit était déjà passée, on pouvait apercevoir les premiers rayons de soleil au travers des fenêtres...
Angel salua Dame Ermeline et Dame Mathilde...
Et alors que la mairesse retournait à Reims, la jeune procureur se rendit dans ses appartements pour y trouver un peu de repos.. La nuit avait été longue, elle était exténuée...

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

Un rayon de soleil perça l'obscurité de la nuit, et illumina d'une douce lueur d'aube la chambre où reposait Meganilo. Il ouvrit faiblement les yeux, puis avec grand-peine, il se redressa... enfin ces forces lui revenait, mais des douleurs l'empêchaient de se réjouir.

Meganilo rassembla et mit en ordre dans son esprit toutes ses pensées, non sans difficulté, tant d'évènements s'étaient passés ces dernières 24 heures, mais tant de chose restaient encore incertaines et floues, notamment la situation de la Reyne, et de Squad... Mais où était-il ? D'une voix faible il appela:

Il y a quelqu'un ?

Puis au prix d'un grand effort, il augmenta le ton de sa voix:

Y a-t-il quelqu'un ?

Il se mit en position assise, et attendit, inquiet l'arrivée d'une personne.

Nombre de messages : 214 Royaume : Champagne Date d'inscription : 09/03/2008

Mathilde s'était réveillé à l'aube. La nuit avait été dure et son sommeil avait été troublé par des pensées noires et tristes. Cela devait être du à la mort d'Arlène. Elle était allé en cuisine où on lui avait donné de quoi se rassasier. Puis elle se promena dans le chateau, laissant son espri divaguer. Elle pensait tellement qu'elle en vint à se cogner contre un serviteur. Celui ci paraissait tous penaud pensant que c'était de sa faute. Cela la fit sourire et le serviteur s'en alla.

Le soleil était d'un rouge flamboyant ce matin. Etait ce un signe? Puis , un bruit la ramena à la raison.

Y a-t-il quelqu'un ?

On appelait, et cela venait d'une chambre plus loin. Elle s'empressa de se diriger vers la pièce et l'ouvrit délicatement après avoir toqué. Elle fut surprise de savoir que c'était la chambre de Sieur Meganilo. Il paraissait perdu...

Bonjour messire! Comment allez vous ?

La nuit avait été courte pour Matteo,mais réparatrice,il se reveilla avec la lumière du soleil.

Oh,j'ai une de ces faims moi!je vais aller voir à la cuisine pour déjeuner.

Matteo se leva du lit et pri la direction de la cuisine.Il vit Mathilde se heurter à un serviteur puis accourir à une chambre.Intrigué,il la suivit et vit à l'intérieur Méganilo.

Après mathilde,Matteo dit:

Bonjour monsieur le Maire!Comment allez-vous ce matin?bien dormi?

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

La situation parût tout d'abord étrange à Meganilo: il était apparemment dans un château qu'il ne connaissait pas, assez désert dû à l'heure, et les premières personnes qu'il voyait, étaient deux Vertusiens. Sur le coup, un petit rire nerveux s'échappa de sa gorge, bon signe, il recouvrait ses forces. Il examina dame Mathilde, la juge Champenoise, puis messire Matteo, l'homme loyal qui avait amené les villageois jusqu'à Reims... À ce moment, Meganilo se rappela des derniers évènements, l'arrivée à Reims, sa chute... Et il devait être dans le château qui dominait la capitale Champenoise.

Bonjour à vous, Meganilo eut un petit sourire, oui je ne me suis jamais aussi bien sentie de ma vie. Mais vous, comment allez-vous ? Où sommes-nous ? Bien à Reims non ? Que s'est-il passé cette nuit ?

Il s'efforça de retenir les multiples autres questions qui se pressaient dans son esprit, Les deux Vertusiens avait l'air d'avoir passé une nuit assez éprouvante eux-aussi, ils n'avaient peut-être pas envie de se lancer dans un récit complet...

Méganilo esquissa un petit sourire lorsqu'il vit Mathilde et Matteo à la porte de sa chambre.Matte répondit à Messire Meganilo:

Tant mieux si vous allez bien.Boh...vous savez c'était une nuit très éprouvante pour nous aussi...d'abord vous presque mort,ensuite Arlène...Je vais vous laisser mon ventre crie famine,mathilde va vous expliquer tout en détail.Oui nous sommes bien à Reims dans le chateau de Messire Albert.Allez je vous laisse avec dame Mathilde,à tout à l'heure!

Puis il sourit à Meganilo et Mathilde et sortit de la chambre,pour se rendre à la cuisine prendre un petit déjeuner...

enfin rassuré...

le chevalier marcelus qui était venu dans le chateau du duc pour partir a la recherche de la reyne. Mais qui depuis de nombreux jours ne bougeait pas de cette propriété en était las.
Aussi il decida qu'il était temps de s'eclipser pour aller reprendre ses affaires courantes qui ne pouvaient plus attendre.

Il salua les convives leur dit que s'ilo avait besoin de lui il reprennait ses appartement à l'auberge de la sérénité.

Il monta sur son cheval et pris le chemin de la sortie.
Il passa les jardins et pris la direction de reims.

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

Ils étaient donc bien à Reims, dans le château... Meganilo sourit à dame Mathilde, puis se sentant de plus en plus fort, se mit debout. Il était encore tout habillé, aussi se dirigea-t-il d'un pas chancelant vers la porte. Il s'arrêta et prit appuis sur une chaise.

Dame Mathilde, pourriez-vous appeler messire Albert s'il-vous-plait ?

L'effort de se maintenir debout était difficile, mais Meganilo ne voulait pas se rallonger...

Nombre de messages : 214 Royaume : Champagne Date d'inscription : 09/03/2008

Le maire s'était levé. Il paraissait exténué mais avait entreprit de se lever. Son corps ne suivait pas sa pensée, et il failli tomber. Il s'appuya alors sur une chaise. Mathilde plaignait le pauvre homme.

Dame Mathilde, pourriez-vous appeler messire Albert s'il-vous-plait ?

Biensûr monsieur le maire, j'y vais de ce pas. Et puis ne vous fatiquez pas trop...

Mathilde sortit de la chambre. Elle essayait de sourire mais en vain. Il ne s'esquissait qu'un léger mouvement. La nuit avait été trop courte et trop éprouvante. Elle parcoura donc les couloirs à la recherche du duc, ne sachant trop où aller. Elle trouva une servante, qui n'avait pas du se reposer fort longtemps. Elle lui demanda si elle avait aperçu le duc. La pauvre femme n'en avait guère l'idée. Elle essaya de l'appeler. Au début, sa voix semblait inexistante.Puis, un son clair sorti enfin de sa bouche :

Monsieur le DUC où êtes vous ?

Le jeune Albert avait passé une quasiment blanche, sombrant parfois dans un état de somnolence avant d'en ressortir brusquement pour une quelconque raison. Allongé sur la banquette dans son bureau, il avait passé la nuit icelieux seul, à contempler longuement la lueur de la bougie, jusqu'à ce que celle-ci rende à son tour l'âme, plongeant la pièce dans une obscurité pesante. Al n'avait pas trouvé le courage d'aller rechercher une autre bougie, peut être pas un mal, il tombait parfois dans les bras de Morphée...

Les rayons de soleil qui avait imprégné la pièce ne le firent pas bouger de sa banquette, c'est seulement lorsqu'il entendit qu'on l'appelait dans le couloir qu'il se leva. Il prit le soin de remettre correctement sa chemise complètement froissée dans son pantalon... De sa main il remit tant bien que mal ces cheveux, mais un épi rebelle ne voulait s'aplatir se mettre correctement...

Au loin il vit la Juge de Champagne, le chercher du regard, continuant à l'appeler...

Je suis là que se passe t-il ? Dit - il en précipitant le pas en direction de Dame Mathilde, craignant qu'une nouvelle catastrophe ait frappé le château.

Nombre de messages : 214 Royaume : Champagne Date d'inscription : 09/03/2008

Mathilde appelait alors le duc quand celui ci l'appela à son tour derrière elle.

Je suis là que se passe t-il ?

Elle en fut surprise tout d'abord, puis se rappelant de son but premier elle parla au duc :

Bonjour messire, le Sieur Meganilo vient de se réveiller et souhaiterait vous voir.

Le duc avait lui aussi l'air fatigué et avait désormais de grandes cernes autour des yeux. La nuit n'avait été facile pour personne. Elle entreprit d'accompagner le duc jusqu'au maire.

Si vous voulez bien messire, le Maire de Vertus se trouve dans la chambre au fond du couloir...

Le duc écouta la jeune femme se retenant de bailler

Bien, je vous suis alors si le maire désire me voir...

Al' emboita le pas aux côtés du juge, visiblement bien fatiguée...

Vous devriez vous reposer madame, vous semblez exténuée...

Ils s'arrêtèrent devant la porte d'une chambre au fond du couloir, où le Pair de France avait été conduit la veille... Le Duc mit la main, sur la poignée et ouvrit la porte. Il pénétra dans la pièce d'un pas vif, se dirigeant vers la chaise où l'homme avait pris appui.

Messire, vous désiriez me voir ?

Comment vous sentez vous ? Vous m'avez l'air bien fatigué, vous feriez mieux de vous remettre au lit.

C'est d'un air inquiet que le jeune Duc regarda l'individu, se demandant si les jambes de l'homme n'allait pas flancher d'un moment ou un autre... Le visage du Duc était complètement fermé, aucune expression lisible si ce n'était que la fatigue qui avait cerné ces yeux...

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

Meganilo observait par la fenêtre le jour naissant lorsqu'une voix se fit entendre, il tourna la tête dans sa direction et découvrit dame Mathilde accompagnée du duc.

Ha bonjour messire Albert, comment allez-vous ? Pour ma part, je crois que je ne me suis jamais aussi bien sentie. Ho non non, je préfère rester debout, je ne souhaite pas rester inactif cloué à un lit.

Meganilo observa un instant l'expression impassible du duc de Champagne puis reprit :

Oui je souhaiterais savoir... Que s'est-il passé cette nuit après mon... accident ? Le groupe expéditionnaire est-il bien partit à Paris ? Avez-vous reçu des nouvelles de la Reyne et de Squad ?

Meganilo s'interrompit, et attendit calmement les réponses de l'homme. Il décolla lentement la main du dossier de la chaise sur laquelle il s'appuyait et fit quelques pas maladroit. Il sourit, son état s'améliorait...

Le duc regarda l'homme comment il allait ??? Ma foi bien si ce n'est qu'il n'avait pas beaucoup dormi et qu'il avait mal un peu partout... le sofa n'étant pas si confortable que cela au final...

Bien bien, continuons, pourquoi voulez vous me voir ? A peine eut il dit ses quelques mots, passant rapidement sur la question concernant son état, que Méganilo continuait. Ah voilà on y était, le maire voulait savoir ce qu'il s'était passé, alors Albert répondit sur un ton grave

Non, je n'ai pas de nouvelles de Squad, ni même de la Reine, ni du coursier que j'ai envoyé. Mais là rien d'étonnant, il ne vole pas encore comme les pigeons...

Personne n'est parti, et personne ne partira. Demoiselle Arlène est morte, tout le monde est fatigué, alors je crois que c'est la meilleure solution. En espérant que le temps des funérailles d'Arlène nous ayons des nouvelles de la Reine, sans quoi nous aviserons à ce moment.

Le Duc croisa les bras et regarda en direction de la fenêtre, une pensée pour la Reine, inquiet tout de même de son sort et ce qu'il se tramait...

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

Meganilo réfléchit un instant, et regarda aussi par la fenêtre.

Je suis désolé alors, mais les vertusiens ne peuvent se permettre de rester plus longtemps inactif ici. Nous allons devoir rentrer...

La situation était tout de même étrange, aucune nouvelle de la Reyne et de Squad, mais surtout... aucune nouvelle de Paris, comme si un mur s'était dressé entre Champagne et Paris. Et tout ces évènements tragique empêchaient d'en savoir plus là-dessus.
Oui le capitaine Vertusien et la reyne avaient disparu, mais il fallait retourner à Vertus.

Oui, nous rentrons, où se trouvent messire Matteo et le reste des villageois ?

Albert reposa son regard sur le maire de Vertus

Je comprends tout à fait, qu'ils retournent dans leur foyer. Nous sommes reconnaissant du dévouement dont ils ont fait part.

Le jeune homme fit quelques pas dans la pièce les bras croisés avec son allure grave, qu'il n'avait pas l'habitude de prendre, mais en ces temps sombres, il devait absolument cacher ce qu'il pensait, ne pas se laisser envahir par les émotions. Quelle lourde tâche que la tâche de Duc pour un homme si jeune... sa jeunesse lui aura appris au moins à se débrouiller seul et à surmonter chaque épreuves qu'il rencontrait, peut importe le temps qu'il mettait... il y arrivait...

Sire Matteo, je ne l'ai pas vu ce matin, mais une chambre avait été mise à sa disposition. Tout comme pour les villageois de Vertus qui ont pu dormir à l'abris et se nourrir correctement.

Al s'approcha du maire, et posa sa main sur son épaule et lui dit d'une voix plus basse

Messire, ce retard ne me dit rien qui vaille... j'espère que nous aurons des nouvelles rapidement.

Le gentilhomme reprit d'une voix plus haute en faisant quelques pas en direction de la sortie de la pièce

Pensez à vous nourrir avant de repartir messire. Je vous tiendrais au courant si j'ai des nouvelles, faites en de même.

Al' avait dit ça sur un ton convaincu que d'ici la fin de la journée au pire demain il finirait par avoir des nouvelles. Mais ces pensées étaient tout autre. Avant de sortir définitivement de la pièce une dernière fois il s'en retourna vers le maire

Merci pour votre soutien messire. Puisse le très haut vous protéger.

Le jeune duc sortit de la chambre, reprenant les chemins de ses bureaux.

Matteo s'était bien rempli la panse.Il avait fait presser des pommes,avait mangé beaucoup de pain.Il sortit de la cuisine et prit la direction de la chambre de Meganilo pour prendre de ses nouvelles.A l'angle d'un couloir il croisa le Duc Albert.

Bonjour messire Albert!Comment allez-vous ce matin?Vous avez eu des nouvelles du maire?Je l'ai vu il y a quelques minutes il venait de se reveiller.Partons-nous pour paris?

Puis il regarda le duc,attendant une réponse...

Stoppé dans sa marche par Mattéo Al' releva la tête doucement

Bonjour,

Monsieur le maire, ma foi, il est debout et pense déjà à repartir pour Vertus...

Le jeune homme se gratta la tête avec sa main droite et rajouta sur un ton monotone

Non non nous ne partirons pas... par respect pour Dame Arlène. Et puis nous ne savons ce qui nous attends réellement à Paris, attendons demain pour voir ce qu'il en est, le coursier sera peut être revenu avec une bonne nouvelle...

Le Duc croisa ses mains dans son dos, puis conclua

Vous pouvez repartir sur Vertus auprès des votre. Si vous permettez, je m'en retourne dans mes bureaux, vous pourrez m'y trouver si besoin !!!

Le jeune homme regarda une dernière fois Matteo, et continua sa route pour rejoindre son bureau

Matteo regarda Albert qui semblait troublé.Il le laissa partir puis lui dit au loin

Merci beaucoup messire pour votre hospitalité.Je rentre avec les vertusiens.Au revoir.

Il se dirigea vers la chambre de Meganilo pour lui annoncer son départ et lui demander s'il rentrerait avec eux.

Messire,les villageois et moi repartons pour Vertus.Serez-nous des notres?

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

Meganilo réfléchit aux paroles d'Albert pendant de longues minutes, mais la voix d'un jeune homme le tira de ses réflexions. Il releva la tête et vit Matteo.

Oui je suis des vôtres, comment allez-vous ?

Le maire se dirigea sur le pas de la porte et se retrouva à côté des deux vertusiens, lui qui essayait auparavant de garder une allure fière malgré sa vieillesse, avait l'air d'un vieillard décrépi comparé à ces deux jeunes... il sourit et demanda :

Allons-y, où est mon cheval ?

Matteo regardait Meganilo qui semblait être dans ses pensées.Il le vit relever la tête.

Oui je suis des vôtres, comment allez-vous ?

Je vais bien merci.

Il regarda le Maire se diriger vers la porte.

Allons-y, où est mon cheval ?

Sire,vous ne voulez pas manger un petit peu avant de repartir?Je vais m'occcuper de prévenir les vertusiens et de mettre les cheveaux hors de l'étable.

Matteo resta aux côtés de Meganilo en attendant une quelconque réponse.

Nombre de messages : 929 Royaume : France Date d'inscription : 02/02/2008

Meganilo se sentit faible soudain, eut une grosse nausée. Et... s'effondra... mort...

[HRP] Oui je sais c'est débile comme mort, mais c'est histoire d'en finir, occupez-vous vite fait de moi, histoire que je n'encombre pas trop le RP Smile

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[RP]Réception de la Future Reyne