après avoir été faire un tour a la taverne décida de me baladé dans les rue, voir se qui a de beau

ho quelqu'un vient de passes en vitesse, on dirai qui se cache qui et dont cette personne au allure étrange, le regardé partir au loin, après un arrêt de quelle que minute continua sa route en espérant voir quelqu'un .

Quelque minute plus tard, Anne et Uriel se retrouvèrent dans les rues de Reims.
Il n y avait pas grand monde .

Les rues de Reims sont bien vide je trouve ...
Il me semble qu autrefois c était bien plus vivant ...

Ils marchèrent tout deux paisiblement, proche l' un de l'autre , comme s il ne formaient qu'un ....

Dame Ermeline était arrivée à Reims par une froide soirée d'hiver après un long périple semé d'embûches.

Pourquoi avait-elle choisi cette ville? Peut-être la nostalgie des moments heureux qu'elle y avait passés en compagnie de ses parents chez une amie de sa mère.

Que fuyait-elle, livrera-t-elle un jour tous ses secrets?

Ce matin elle se décida à sortir pour vérifier si cette ville était bien telle qu'en son souvenir.

Un coin de ciel bleu semblait poindre à l'horizon, les nuages semblaient vouloir se dissiper comme un signe avant-coureur du tournant qu'allait prendre sa vie.

Citation :

et puis il faut penser aussi a plus tard...si vous voyer ce que je veut dire...

Uriel se projeta un bref instant dans le futur et s imagina dans cette maison assis prêt du feu, contant une histoire à ses enfants ...

Citation :

Il vous faut quand même un bureau...

Uriel redescendit sur terre ...Oui un bureau ...
Mais ce n est pas le plus important vous savez ....

Uriel sourit , le regard qu il portait sur Anne était remplis d ambition ...
Il avait des idées plein la tete .
Ici à Reims une nouvelle vie commence . Uriel desormais ne sera plus comte mais mari avant tout, et pere pas la suite .....

Uriel fut emporté par Anne à l interieur de la maison

Apres une nuit courte, je repris ma fonction de policier. J'appartais les rues pour voir si rien ne c'etait passé pendant mon repos.
Tout avais l'air tranquil. Les boutiques commençais à ouvrir. Le Barbier me salua de loin je lui répondis. Le ciel semblais clair, nous allons une bonne journée pensais-je.
Passant devant l'église, je me demandais quand notre curé allais revenir s'il allait revenir.
Devant les portes de reims je veillai s'il y avait de nouveaux arrivant , pour l'instand personne.
Tout allait bien, pourvu que cela dur

Albert avait fini le toit de la taverne, les affaires étaient rangées tout du moins les outils, il lui restait encore les débris à nettoyer et à jeter dans un trou à déchets.

Il vagabondait dans la rue, mains dans les poches sifflotant quelques notes de musique. Le jeune homme devait se rendre au tribunal pour voir les affaires en cours, mais l’heure du repas approchait. Il remit alors son passage au tribunal à l’après-midi. Tout en flânant, il repensait à la scène du matin, il était intrigué quelque part des dires du Chevalier. Devait-il y porter une quelconque attention, était-ce la réalité… Cela ne le regardait pourtant pas, Mirwen n’était rien, même s’il ne pouvait cacher un faible pour elle. Albert n’avait probablement aucune chance avec elle mais il n'y pouvait rien, il ne contrôlait pas grand chose face à cette femme... Bref bon passons, nous n’allons pas parler des états d’âme d’Albert pendant des heures !!!

Une rue à droite puis à gauche puis encore à droite, il faisait le tour du quartier, il n’avait pas trop eu le temps depuis son arrivée. Au loin, devant le pallier d’une petite maisonnée, il vit et entendit surtout un homme parler très fort
Grrrrrr,… elle ma salopé les doillettes avec sa bâche![1]

Un instant de calme dans la rue étroite l’homme semblait se frotter les orteils avec un tissu, moment de silence qui fut bien court
Tu n'allo mi m'cuviller bin longtemps ! Ça t’entrucherait de t’excuser ?[2]

Albert ne comprit pas ce que l’homme avait dit, certainement le patois d’ici pensa t’il. Après tout en Normandie, ils avaient bien des mots des façons de parler différentes, même si lui n’étant pas originaire de là bas, il ne connaissait pas grand-chose.

L’homme au loin, jeta le tissu à l’intérieur de la maisonnette, peut être à la figure de celle qu’Albert présumait être sa femme… Les vapeurs du vin, lui avait certainement emburelucoquer les parties du cerveau. L’homme partit tanguant légèrement de droite à gauche. Albert reprit alors sa marche sans siffler cette fois, silencieux même. Passant devant la maison, il vit une petite fille peut être âgée d'une dizaine d'année, qui s’apprêtait à vider le lourd seau d’eau dans le caniveau. Le garçon s’arrêta, posant sa main sur la hanse du seau. La petite fille semblait apeurée par ce geste
N’ais pas peur, je vais juste t’aider à vider le seau c’est lourd pour toi.

Albert parlait d’une voix douce et calme en s'adressant à l’enfant. Vérifiant à sa droite que le père de famille ne le voit pas en train d’aider la jeune fille, il pourrait s’attirer des ennuis et surtout à la demoiselle.
Comment t’appelles tu jeune demoiselle ?

Timidement, en regardant le bout de ses pieds, elle répondit d’une voix très fine
Margaux

Albert rajouta de suite
Enchanté Margaux moi c’est Albert. De sa main droite il releva le visage de la petite fille qui ne cessait de regarder le bout de ses pieds. Et tu as quel âge Margaux pour faire toutes ces taches ?

De ses grands et beaux yeux bleus, elle regarda Albert
J’avo houit ans, M’sieur

Albert fut amusé par son accent, très prononcé.
C’était ton papa, qui criait comme ça ? La petite fillette acquiesça d’un signe de tête sans ajouter un mot de plus. Albert s’apprêtait à lui poser question concernant sa mère... Petite réflexion (oui oui il réfléchit souvent avant de parler Albert...) : si c’était elle qui faisait les tâches ménagères peut être y avait il une explication, sa mère était soit souffrante, soit pire elle était montée aux cieux. Dans tous les cas, sa question n’était peut être pas la plus judicieuse. Il vida le seau doucement, puis avec un grand sourire dit à la fillette
Tenez mademoiselle, votre seau. Tu sais j’habite à la taverne du quartier pour le moment, si tu veux tu peux venir me voir.

Sa petite main sur la hanse elle fit oui de la tête, puis de sa petite voix elle rajouta
J’dôis y'aller. Merci Le temps de dire ça et elle disparut à l’intérieur de la maison.

Albert resta devant la bâtisse, la jeune fille n’avait pas une enfance joyeuse visiblement, il savait ce que c’était. Et pourtant il n’y pouvait rien, aller voir son père et puis quoi ? que ferait il ? il risquerait plus de se prendre un bon crochet du droit plutôt que d’arriver à raisonner cet individu…
Le garçon reprit son chemin, il avait la faim au ventre à cette heure-ci, son estomac le trahit en gargouillant. C’était l’heure de retourner à la taverne pour s’y restaurer… Finissant son tour du quartier, il rentra tranquillement à l’auberge, trempant les mains dans un gros tonneau en chêne qu’il frotta et essuya sur l’arrière de ses braies avant de pénétrer dans la bâtisse.

[1]Elle m'a sali les orteils avec sa serpillère
[2]Tu ne vas pas m'agacer bien longtemps ! Ça t'étoufferait de demander pardon ?

[Edit correction fautes orthographe, rajout traduction du patois Champenois]

il faisait froid, il était tard, Marcelus revenait de la forêt, où il avait chassé longtemps seul. Il se serai bien arrèté à la taverne, mais il était en froid avec la tenancière. L'ombre rouge?? cette idée ne lui plaisait guère. Quand il était en garnison il avait fréquenté ce genre lieu et il n'avait jamais vraiment aimé l'atmosphère.
Marcelus en y repensant avait la nostalgie de ces années en croisade et ressentait un piquotement au coeur.
...
Tout en marchand, en passant devant la maisopn de Anne de pluarn , ses idées changèrent. il esperait que le sir uriel avait pu bénéficier d'une sépulture à son rang. Il ne voulu pas y aller aujourd'hui, il trouvait que sa présence aurait pu géner. Mais, il se promis d'y passer demain.

....
Il marchait, il marchait. un moment il fut stupéfait de se retrouver devant la demeure d'ermeline. Il se rappela soudain que la Dame voulais s'entretenir avec lui. Mais il n'était guère de bonne manière que de se présenter aussi tardivement. Il se promis alors d'y passer très prochainement.
Cela faisait beaucoup de promesse, mais il les tiendrait. Comme il les a toujours tenues.
...
il continua sa route, continauant à revasser, il rentrait chez lui. Il était tard. Il était seul, comme si souvent il l'avait déja été.

Elle avait quitté sa chambre sordide à l'aube. Ne mangeant qu'un pain et avait reprit la suite de sa route.

Helenia ne fut pas longue a découvrir la ville de Reims.

Loin d'être Paris, elle en fut pas moins ravit de la découvrir.

Seulement, elle désirait trouver un lieu où elle pourrait prendre un bon bain parfumé, se prélasser un peu et pourquoi pas se faire plaisir charnellement.

Elle déambulait de ci de là, lorsque surgit une étrange maison qui lui rappela celle qu'elle avait connue voici quelques années déjà. Non qu'elle était venue a Reims, Helenia voyait cette ville pour la premiere fois.

Attirée, elle s'en approcha....Une musique se faisait entendre, des voix féminines aussi, criardes, douces, rieuses. Comme pour attirer.

Surement ce que je penses, se murmura-t-elle en souriant doucement.Le Repos du Guerrier lut-elle sur la petite affiche sur la porte.

Aujourd'hui était bien calme pensa Adélaïde.

Peu de gens dans les rues. Voire les tavernes meme.

A imaginer que Reims était sur ses gardes.

Elle croisait des gens et rare était ceux qui la saluait, ce, meme par politesse.

Vous ne pouvez pas faire attention!!???? s'écria une voix furieuse au moment où elle se retrouva sur son siend et sans un geste de l'autre, une femme en colère d'avoir été percuté sans autre façon que par un face à face aussi brutal et qui la regardait tout simplement les mains sur les hanches.

Se relevant, Adélaïde remarqua que la femme était si belle qu'elle rayonnait comme le soleil. Ses yeux étaient lumineux, surement par la colère pensa Adélaïde, surtout que les joues de celle-ci étaient toutes rouges.

Pardon Dame mais il n'y a pas que moi de responsable, sinon VOUS m'auriez évité tout simplement.

HO! La femme fulmina encore plus. À croire qu'elle venait de dire plus qu'une bétisse.

VOUS OSEZ m'insulter ainsi, MOI!?

Adélaïde vit à ces paroles une cravache sortir de la robe de la femme, d'un bleu ciel d'été aux dentelles blanches, et venir la frapper.

De Justesse Adélaïde l'évita et lui cria en s'en allant en courant,,

Vous êtes une folle!

Jasmine, il faut que tu cesse ces comportements qui n'ont aucune mise ici. Tu n'es pas en Orient ma chérie, put entendre Adélaïde d'une voix d'un homme qui parlait doucement à cette femme.

Albert faisait chemin retour pour retourner à la taverne... La nuit commençait à tomber. Après cette nomination, il avait préféré prendre un peu le large. Demain serait un jour bien chargé. Dans les rues, il déambula, dans les rues, il rencontra une demoiselle.

Bonsoir Demoiselle,

Enchanté, je me prénomme Albert. Vous savez les rues, ne sont pas toujours certaines surtout à la tombée de la nuit, vous feriez mieux de rentrer vous abritez.

Le jeune homme regarda, la demoiselle elle semblait fatiguée et un peu perdue.

Savez vous où vous pouvez trouver un endroit pour dormir ? Albert sourit à la jeune femme

Le jeune homme regarda la demoiselle en souriant.

Si je vais vous offrir une nuit à la taverne avec un bon repas pour que vous puissiez vous remplir l'estomac.

Si vous voulez bien me suivre je vais vous y guider.

Albert regarda de nouveau la demoiselle, il posa les mains sur ces hanches avec un large sourire cette fois

Vous n'avez pas le droit de refuser !!! Albert rigola

Demain nous pourrions voir avec le maire de la ville si elle aurait un logement à vous proposer. Qu'en dites vous ?