NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

En ce debut de moi Le Chevalier MArcelus se retrouvait dans les rues de reims. Il y avait longtemps qu'il n'avait pas eu l'occasion de s'y promener.
Il aimait cette ville, ces petites rues pleines de charmes et de caractères.
Il aimait le climat appaisant et la quiétude qui reignait dans l'air.
Au oui en ce jouril était heureux d'etre la.
pour la première fois de sa vie il se sentait chez lui quelque part sur ce monde dont durant un temps certains il n'y voyait que champs de bataille, destructions et malheur.

Les rues étaient tranquille aussi tôt le matin, elle regarda autour d'elle, rare était les passant, ce qui n'était pas pour lui déplaire. Elle contourna une rue, et se retrouva non loin d'une place.
L'endroit était désert, et elle avança espérant tombver sur la cathédrale dont on disait qu'elle était trés belle.
Elle avançait doucement, ne faisant pas vraiment attention, perdu dans ses pensées.
A un moment, un bruit la fit sursauter, elle s'arreta et ne voyant rien, continua sa route.
Alors qu'elle arriva au bout de la rue, un homme se posta devant elle. Il la regardait et son sourire ne lui dit rien qui vaille. Le détaillant un peu plus, elle le reconnut, s'était l'homme de la veille.

Comme on se retrouve ma jolie, il est dangereux de se promener seul dans les rues. Mais puisque tu es ici, je pourrais te tenir compagnie.......

Elle le regarda froidement

Vous n'abandonnez donc jamais, ma réponse depuis hier n'a toujours pas changé, et je n'irais nulle pars avec vous? Allez donc cuver votre vin ailleurs, vous empestez à mille lieux.

L'homme la regarda et son sourire disparut. Il s'approcha un peu d'elle et dit en colère.

D'accord ou pas tu viendras avec moi, ici il n'y a ni aubergiste, ni grand seigneur pour te sauver, il me semble que nous sommes seul et que tu n'as pas d'autre choix...........

Le chevavlier Marcelus était partis tot de l'auberge pour aller se recueiller dans la cathédrale en l'honneur de tout les amis qu'il avait perdus ces dernières années.

Au croisement de deux rues il vit Dame fineasse et l'homme trouble qu'il avait déja corrigé.

Il s'approcha et entendit le fruit de la conversation.
Pour lui ça ne fit ni une ni deux. Il sortit son épée et la tendit en direction de l'homme et dit prestement:

"encore toi, tu n'a pas honte d'etre toujours aussi desobligeant, si tu veux emmener quelqu'un il faudra que ce soit moi et mon épée. Je n'ai qu'une envie c'est de t'embrocher!!!!!!!!!

L'homme partit en courant. Marcelus se retourna et regarda la belle dame et lui demanda:

Bonjours dame Finéasse j'espere que vous allez bien et que cet homme ne vous à guère blessé?

L'homme en voyant messire de Molay était parti précipitamment, elle le regarda s'éloigner laissant s'échapper un léger soupir de soulagement.
Elle regarda ensuite le jeune homme.

Je n'ai rien, je vous remercie de votre intervention, je ne sais ce qu'il se serait passé si vous n'étiez pas passé par hasard.
Je suis heureuse de vous rencontrer de nouveau, même si je suis surprise de vous rencontrer de si bonheur.

Elle laissa échapper un legé sourire, puis repris.

Je ne sais si s'est indiscret, mais puis-je savoir où vous vous rendez si tôt le matin.

Elle le regarda espérant ne pas être trop indiscrète.

Marcelus parut soulagé de la savoir saine et sauve.
Il ne pu s'empecher de sourire quand il vit le sourire de la gente dame.

"votre question ne me derange guère et comme me le disiat mon parrain, les questions ne sont jamais indiscretes seule les réponses le sont.

J'allais me recueillir à la cathédrale. En effet j'ai perdu beaucoup d'amis sur les champs de batailles. J'ai fait coulé beaucoup de sang au nom du royaume. Aujourd'hui j'aime me repentir.
Aller prier , penser à toutes ces personnes qui directement ou indirectement ont disparu par ma faute, m' est une manière de redemption.
Et vous belle demoiselle que faite vous d'aussi bon matin?"

Son sourire la troubla légèrement, mais elle n'en laissa rien paraître. Elle fut étonné de sa réponse, comment un homme pouvait être responsable de la mort d'autres personnes, s'il n'avait fait que son devoir. Elle ne put s'empêcher de lui répondre.

Je ne crois pas que vous soyez responsable de toutes ses morts, la guerre est une chose affreuse, où beaucoup de monde y perde la vie hélas, mais chaque homme est responsable de ses choix, et ses hommes avaient fait les leurs. Vous ne pouvez vous rendre coupable d'un tel acte.

Elle s'arrêta un instant, puis reprit.

Mais pour répondre à votre question, je me rendais également à la cathédrale, on dit que s'est un monument magnifique et je voulais voir ça par moi-même.
Mais je connais trés peu cette ville et je crois que je me suis perdu........

Elle sourit un peu confuse d'avouer sa maladresse, devant cet homme qu'elle connaissait si peu.

Marcelus entendit son discours et le comprenait bien. Seulement il ne pouvait pas s'enlever de l'esprit tout ce qu'il avait pu vivire et aussi les ordres qu'il avait pu donner.

"vous êtes perdus, cela arrive quand on ne connait guère les rues. Si vous voulez nous pouvons faire le chemin ensemble, enfin si ma compagnie ne vous derange guère?"

Devant sa proposition elle sourit un peu plus. L'idée de continuer seul ne l'enchantait guère, surtout avec ce qui venait d'arriver.

Votre compagnie ne me dérange nullement, et n'étant pas trop sur de mon chemin, je suis ravie de votre proposition.

Elle le regarda un instant, puis commença à marcher lentement.

Mais vous me parliez de guerre et de combats, faites-vous parti de l'armée royale, où d'un quelconque ordre?

Elle regardait droit devant elle évitant de croiser son regard

Ils marchaient côte à côte. Le climat était doux, il aimait particulièrement le matin. Marcelus aimait bien le regard de la belle, mais Fineasse regardait droit devant et posa une question.

Marcelus l'écouta et y répondit:

"Il est vrai que comme tout ancien de la garde royale , je suis reserviste dans l'armée royale et donc inscrit sur les registre.
J'ai été adoubit par la reyne Catherine et j'ai combattu pour un roy bon et juste à partir de mes 17ans, Le roy Henri II. Par la suite apres de longues campagnes militaires j'ai eu besoin de faire un long voyage et de reprendre les traces de mon père et de ses croisés. Je me suis rendu en terre sainte, où souvent ma quiétude fut entaché par de durs combats sanglants.
En revenant En France J'ai fait le serment d'allégeance aux deux fils du roy Henri qui aujourd'hui se sont succédé sur le trône et qui aujourd'hui ne sont plus.
Voila un peu mon histoire. Maintenand je ne désir qu'une chose vivre serrainement, paisiblement. C'est pour cela d'ailleur que je suis vnu m'installer sur reims. Et vous, racontez vous un peu. pourquoi êtes vous venu sur reims?"

Il avait beaucoup parlé, et déja apparaissait au bout de la rue la belle facade de la cathédrale.

Elle l'avait écouté attentivement, évitant de le regarder. Au loin elle vit la cathédrale et à sa vue elle sourit, elle était aussi belle que se qu'on lui avait raconté.
Alors qu'ils étaient tout proche, il lui demanda de parler d'elle. Elle s'arreta et se tourna afin de le regarder.
Pouvait elle lui faire confiance, elle ne savait pas, et aprés un instant d'hésitation se décida enfin à lui répondre.

Je viens du sud, et ma famille a été décimé pendant une révolution. Mon frère n'était pas présent à ce moment là, il était au service du roy et était partie pour une de ses croisades, dont peut de personne revienne.
J'ai du fuir ma demeure et je suis arrivée à Paris, afin d'avoir des nouvelles de mon frère, je voulais croire qu'il était encore vivant, mais j'ai appris qu'il n'était pas revenu.
J'ai donc continué ma route, et me voici à Reims, visitant cette magnifique ville.

Elle n'avait jamais parlé de ça à quiconque. Elle regardait à présent devant elle perdu dans ses pensées.........

Il l'avait écouté attentivement. Il avait été touché par son histoire. Jusqu'au moment où il arrivère devant la cathédrale.

" Je voix que pour vous aussi la vie ne fut pas facile. Je doix vous avouez que cela m'a fait plaisir de faire ce petit bout de chemin ensemble. Nous voici arrivé sur le parvis de la cathédrale;
Je vais vous laisser maintenand, je vais aller me receuillir et durant ce moment j'aime etre seul j'espère que vous le comprenez.
Je vous souhaite une agréable journée et je vous dis à plus tard à l'auberge."

Marcelus salua Dame finéasse et entra dans le lieu de culte.

Le chevalier traversa et sortit de sortit de la ville au grand galop.
Il ne devait pas trainer il avait beaucoup de routes qui l'attendait.

La nouvelle s'était répandue comme une trainée de poudre, le crieur parcourait les rues de la ville, il passait près des maisons et l'annoncait de vive voix à tous.

Oyé Oyé!!! Le Roy de France Louis 1er est mort!! Il sera enterré d'ici quelques jours. Un nouveau Roy sera bientôt proclamé.

Sa tache accomplie, il continua sa route.

Nombre de messages : 62 Date d'inscription : 08/08/2008

Un souffle d'alcool tuait les maris, détraquait les veuves, empoisonnait l'enfant dans l'œuf et faisait, à l'instant, chanceler les hommes. Toujours les mêmes, remarquez ... Et aussi ces mêmes longues pattes, bien en chaleur sous les braies de lin, qui s'activent, cette fois-ci sans plus vraiment savoir le où et le comment, alors de temps en temps le quadragénaire endeuillé est en proie à cette inéluctable attraction de la terre et sa barbe soigneusement taillée, tel est le crédo d'un noble baron, effleure le sol quand il tombe.

Une femme, une charmante épouse qui portait en son sein un enfant mort avec sa mère, sans même etre né - est-ce vraiment une mort alors ? Peu importe, la douleur est la même ...
Ce jour, il, le Baron de Rougemont, revêtait son sévère habit de veuf bourgeois et irait supporter les caresses anguleuses et le flot de larmes d'une belle-mère reimoise encore à consoler.

Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Sur les routes depuis trois semaines, Eléanore rentrait de son voyage à la Rochelle où elle a pu se recueillir sur la tombe de ses parents.

Alors que la jument marchait d’un pas lent en faisant ainsi voler une fine couche de poussière de la route de terre, Eléanore était perdu dans ses pensées. Bien qu’à l’époque elle ne fut qu’une enfant, elle se remémorait les rares moment passaient avec ses parents.
Elle aurait aimé vivre éternellement avec eux mais le destin en fut autrement. Une épidémie décima la moitié de son village emportant avec elle son père et sa mère la laissant seule avec son frère aîné. N’ayant nulle part où aller, ils trouvèrent refuge chez leur tante caractériel et leur oncle alcoolique. Les années passèrent difficilement sous les coups et les brimades quotidiennes.

Une larme se forma au coin de son œil lorsqu’elle se rappela le jour où il décidèrent de partir de cette maudite prison. Ce ne fut pas facile, mais ils y étaient parvenu, marchant toujours plus au nord laissant ainsi derrière des années de chagrin pour se tourner vers une avenir plus radieux.

Tout ces événement était devenu des souvenir alors qu’Eléanore faisait route vers sa ville d’adoption. Au détour du chemin, elle vit apparaître Reims à l’horizon alors qu’un sourire se dessina sur son visage.
Faisant une halte, elle regarda la ville heureuse d’être enfin arrivée à destination. Elle talonna vigoureusement sa monture qui partit au galop à travers la campagne champenoise.

Alors que le soleil se couchait timidement derrière les collines, Eléanore arriva enfin sur la place de la mairie. Elle éprouva une certaine nostalgie ainsi qu’une grande envie de voir tout les changements qu’il s’y était passé depuis son départ. Mais pour le moment, elle était fatiguée et avait hâte de rentrer chez elle.

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[RP] Dans les rues de Reims