NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Invité

Pommedapi avait vendu tous ses fruits au marché. Elle s'était rendue directement à la cathédrale. Elle attendait sur le parvis. Elle lut les sculptures qui ornaient la voûte d'entrée.

Pourvu que Cartouche n'ait pas oublié de venir, pensa-t-elle.

Nombre de messages : 219 Ville : Reims Date d'inscription : 27/11/2007

Après avoir passé une bonne nuit , je pars rejoindre h'hérauderie , mais toujours personne à part quelques gardes.

Je prend la direction de la ville et flâne dans les rues, observe la vie de la cité, ainsi que les bâtiments. je décide de prendre la direction de la cathédrale Pomme doit surement m'attendre! Au loin je l'aperçois qui domine la ville, une architecture superbe digne des grand bâtisseurs de ce royaume. J'approche et levant les yeux pour admirer le travail.

J'aperçois Pomme qui à l'air de faire les cent pas devant la grande porte. J'espère qu'elle n'ai pas la depuis longtemps, jJ'ai vraiment pris du bon temps aujourd'hui et suis en retard.

- Bonjour Pomme excusez moi de mon retard, mais j'ai un peu trainer sur le chemin visitant cette ville que je ne connais pas!! Comment allez vous?

Invité

Pomme le vit arriver, élégant dans sa démarche calme et posée.

Bonjour Messire Cartouche, je vais très bien, et encore merci pour la chambre.

Où allons nous ? par quoi commençons nous ? dit Pomme avec impatience.

Nombre de messages : 219 Ville : Reims Date d'inscription : 27/11/2007

-Je vous en pris jeune damoiselle Pomme ceci fut un plaisir!!
-Avez vous vu cette belle cathédrale, magnifique, oeuvre d'art n'est ce pas? Par quoi allons nous commencer aucune idée peut être allons nous du coté de la rue des commerces!!

Nous voila partis sur les pavés de paris , en direction des commerces.

-Qu'elle sont vos priorités en choix de maison Pomme, moi avant tous de la place pour un atelier et puis une vitrine que je puisse mettre mes bagues, colliers, et autre orfèvreries que je confectionne.

Je l'a regarde en lui disant cela ne faisant pas attention ou je met les pieds. Par manque de chance , je glissa sur un crottin de cheval et m'étala de ton mon corps sur le pavé et me voici recouvert de boue et autre, mon tabar de héraut n'est que salissure. Mon regard se porte sur Pomme qui je le vois bien se retiens de rire.

-Pff vous pouvez rire Pomme, je vois bien que cela vous tiens à coeur. Je me relève avec un sourire et de nouveau lève les yeux vers Pomme.

Invité

Pomme l'aida à se relever et partit d'un grand fou rire.

Messire Cartouche, vous ne pouvez pas aller acheter une maison dans cet état. Il faut soit aller vous changer soit attendre que le crottin sèche et frotter.

Venez, marchons par là.

Ils avancèrent droit devant eux.
Soudain Pomme s'arrêta, son regard fixait un bâtiment.
Elle lui désigna la bâtisse.

C'est cette maison là qu'il nous faut.

C'était une maison en pierre à un étage, avec des fenêtres arrondies séparées par une petite colonne de pierre.
Il y avait assez de place pour y faire deux échoppes et un appartement en haut.

Nombre de messages : 219 Ville : Reims Date d'inscription : 27/11/2007

Pomme m'aide à me relever non sans mal tellement qu'elle rit !!

-Je ne vais pas attendre que sa sèche pfff vous avez de drôles d'idées , je pense que je vais allé à l hérauderie mes affaires sont la bas.

*je lui parlai quand soudain elle me dit:*

Code:: C'est cette maison là qu'il nous faut.

elle regardai une bâtisse qui avait l'air en bonne état et surtout un étage, chose forte intéressante.

-Oui superbe maison , mais excusez moi je ne peux continuer comme cela, je vous laisse un instant voyez si nous pouvons la visiter, vraiment très belle et pas loin de la cathédrale en plus.

je pris la direction de l hérauderie en laissant Pomme qui était prostrée devant la bâtisse, elle ne me répondit pas, elle devait surement déjà pensé a la futur maison!!

Invité

Pommedapi avança jusqu'à la maison.
Elle approcha mais n'osa pas entrer.
Les échoppes étaient fermées.
Elle resta là à attendre le retour de Cartouche. Elle regardait la maison et la rue.

Sortant du marché il arriva enfin devant la cathédrale il s'arréta éberlué par le majestueux batiment qui ce dressait devant ces yeux , la grandeur , la beauté les scultures , les vitraux tout était d'une grande finesse.

En entrant a l'intérieur le batiment imposait le respect et le receuillement il s'avança doucement jusqu'a l'autel et s'assoit sur un siége ou la il commence a prier pour tout les malheureux , pour ceux qui créve de faim ou n'on pas de toit , ces priéres vont aussi pour sa famille , une pensée pour son épouse qui a des soucis en ce moment .
Il resta un long moment dans sa méditation le batiment est tellement imposant que aucun bruit ne ce fait entendre un silence religieux les seuls bruits que l'on peut entendre ce sont les fidéles qui entre pour prier

Ayant terminer ces priéres il ressorti pour continuer sa visite .

Nombre de messages : 49 Date d'inscription : 19/02/2008

Apres sa visite au dispensaire elle passa devant cette majestueuse église et y gravit le parvis. Elle poussa la grande porte de bois et pénétra a l intérieur.Depuis qu elle était enfant, ses parents l avait toujours amener avec eux dans ces lieux sacrés et elle y passa régulièrement pour s y recueillir.

Elle avait été élevée dans le plus grand respect de la religion et continuait de s y adonner avec une très grande ferveur.

A toute les fois elle pouvait ressentir une grande sérénité et un bien-etre certain . Elle se signa en faisant une genou-flexion et traversa la grande allée jus qu au premier banc.

Elle fouilla dans son sac et y sortit son livre de prière , laisser par sa mère a son décès. Elle se mit a genou , les mains jointes , le livre sur le bord et commenca a réciter quelques prières de son choix.

Elle demande a Dieu de les protéger et de toujours les garder sur la bonne voie .

Morgane se dirigea vers la cathédrale.

Elle était arrivée à Paris depuis quelques semaines déjà et n’avait pas trouvé le temps de venir
visiter cette belle bâtisse dont le clocher se dressait fièrement au dessus des toits des habitations.

Elle traversa le parvis, monta les quelques marches et poussa la lourde porte de bois dans un léger grincement.

La fraicheur de ce lieu la saisie et elle frissonna en serrant son châle autour de ses épaules.

Elle s’approcha du bénitier, y trempa ses doigts et après s'être signée se dirigea vers l’allée centrale.
En arrivant près de l’autel, elle fit une génuflexion et s’installa sur un banc.

Elle s’agenouilla et demanda a dieu la force de garder la foi sans jamais fléchir.

Elle pria pour les pauvres, les malheureux, pour toutes les âmes de ce village, et aussi pour les nouveaux venus qui se laissent mourir le jour de leur arrivée.
Elle pria du plus profond de son cœur en demandant à Dieu de réunir ceux qui s'aiment, d'alléger les souffrances et de nous préserver dans la foi et l'espoir d'une vie meilleure.

Elle pria longtemps et quand elle releva la tête il faisait presque nuit.

Elle se précipita vers la lourde porte et se retrouva à l’extérieur.

Les rues de Paris étaient désertes, et elle pressa le pas pour regagner sa chaumière avant la nuit.

Invité

Ne voyant pas revenir Cartouche, Pomme se dit qu'il avait eu beaucoup mieux à faire et elle continua son chemin en avançant dans le dédale des rues accompagnées de ses deux chiens.

Les rues de Paris étaient désertes, et elle pressa le pas pour regagner sa chaumière avant la nuit.

Elle n’était pas rassurée, les brigands sévissaient particulièrement dès la tombée du jour et il n’était pas rare
de voir les villageois se faire détrousser par ces manants.

Sa bicoque se trouvait encore bien loin quand tout à coup elle entendit comme un grognement, suivi de bruits de pas qui résonnaient sur le pavé.
Elle s’appuya contre un mur et trembla de tous ses membres.

Mon dieu ! pensa t-elle ! des maraudeurs, des voleurs.

Que faire ? prendre ses jambes à son cou, fuir, au risque de se faire repérer ? Se cacher ?

Les bruits de pas approchaient, son cœur s’accélérait, elle se sentait défaillir.

Elle avisa l’échoppe du tisserand qui se trouvait en face d’elle. Elle était fermée mais l’entrée, en retrait, offrait une cachette.
Elle se ressaisit et sans hésiter elle s’y engouffra, se tapit dans le fond et retint son souffle.

C’est alors qu’elle vit passer une très belle jeune femme accompagnée de deux beaux chiens.

Suis-je bête, pensa t-elle !

Un peu gênée, elle attendit qu’ils aient disparus au coin de l’échoppe et sortit de sa cachette.

Elle reprit son chemin dans les rues de Paris, accélérant l’allure, l’oreille tendue, ne perçevant que le bruit de ses pas
qui résonnaient sur le pavé dans le silence de cette fin de journée.

Henriadus qui c'était lever trés tard ce matin , voulant rester le plus lontemps possible avec sa bien aimée ,ce dirigeait vers la cathédrale pour si recueillir et voir s'il y avait une messe a cette heure si .

Tout en avançant vers l'édifice il croisa quelques mendiants et pauvres gens il s'avançat vers eux et leus donna un quigon de pain qu'il avait dans ces poches pui continua sa route , le temps était mauvais , sombre la pluie menaçait de tomber , il pressa le pas à ce moment la le vent ce leva et une trombe d'eau s'abattit sur lui
il prencha la téte mis ses mains contre son ventre comme s'il en souvrait.
Pressant le pas pour arriver le plus vite possible il arriva enfin a la cathédrale si engouffra soulagé d'étre a l'abri et arriver a son but .
Il ce secua pour faire tomber toute l'eau sur lui et pénétra dans l'édifice qui semblait silencieux ne voyant personne il s'installa sur un prie dieux et attendit qu'un préte ce manifeste pour dire une messe .

Nombre de messages : 49 Date d'inscription : 19/02/2008

Miss arriva un peu plus tard que son époux à la cathédrale. Elle poussa le grande porte de bois et pénétra à l`intérieur. Sous cette pluie battante elle avait les cheveux déjà trempé. Elle se secoua un peu avant de se signer et d`aller rejoindre silencieusement son mari . Elle se mit a genou , se recueillit et s`assis près de lui en lui souriant et en déposa sa main sur la sienne.

Une nouvelle journée commençait, Lomax et Leane étaient bien décidés à préparer leur mariage et à en faire un jour magique.
Bien que très occupée, la jeune femme tenait à participer au maximum aux préparatifs.
Ensemble, les jeunes fiancés pénétrèrent dans la Cathédrale, espérant y rencontrer un prêtre afin de les guider dans leur tâche.

Leane serra la main de Lomax, elle n'était pas des plus à l'aise en cet endroit, plus habituée qu'elle avait été à se trouver assise sur le parvis les jours de messe.

Et bien voilà, nous y sommes...

La jeune femme repensa alors à leur première rencontre en taverne, elle n'avait pas été des plus agréables, plutôt sur ses gardes, il faut croire que cela n'avait pas déplu à Lomax... Cette pensée la fit sourire, ce soir là, elle n'aurait pas pensé un instant que quelques mois plus tard, ils se retrouveraient là, tous les deux.

Un an après son arrivée à Paris, Judoka du Japon décida de demander le baptême.

J’ai été baptisé lors de la veillée pascale d’Avril de l’an 1561, à la Cathédrale de Notre-Dame de Paris.
La cérémonie fut magnifique, chargé d’émotion, elle restera gravée en moi pour toujours ! Je me doute que ce désir de demander à recevoir le baptême à l’âge adulte peut paraître étrange aux yeux de certains. Mais j’ai ressenti ce besoin au fond de moi.
En vous narrant ceci, je suis encore tout bouleversé par ce que j’ai vécu tellement l’atmosphère qui régnait dans l’église était forte et intense.
C’est le début d’une nouvelle vie pour moi puisque je n’ai jamais eu d’éducation religieuse. Ayant un père shintoïste et une mère bouddhiste, aucun des deux ne m’a jamais voulu imposer sa religion. Pourtant malgré ce manque j’ai toujours eu la foi en Dieu.
Après que mon père fut chassé du trône de Kyôto, je suis passé par une période noire, triste, sans but, sans rien…J’étais dans une telle détresse que je me suis senti abandonné de tous et en particulier de Dieu. J’ai cru que c’était une punition et je n’ai pas compris pourquoi. Je Lui en ai voulu et je me suis donc détourné de Lui.
Un jour lorsque je passai devant cette Cathédrale, j’ai ressenti comme un appel. Après une longue hésitation, j’y suis entré ! C’était la première fois et je me suis senti bien, apaisé. Je n’étais plus tourmenté. J’étais dans la maison de Dieu, Il me tendait la main et me disait « Tu n’es plus seul ». J’étais un mouton égaré et j’ai retrouvé mon berger.

Une nouvelle vie s’ouvre alors pour moi ! Une vie où je suis sûr de l’existence de Dieu et où je sens sa présence à mes côtés au quotidien. J’ai pris conscience qu’Il ne m’avait jamais abandonné comme je l’avais pensé. Mais maintenant c’est devenu une évidence. Tout ce que je sais c’est que désormais j’ai une joie et un bonheur immense dans le coeur.
Dieu me couvre de lumière et d’amour et j’essaie tous les jours de faire rejaillir cette lumière et cet amour sur les autres. Je sais maintenant que par le baptême, l’Esprit Saint et Dieu lui-même viennent habiter dans notre cœur et ils nous donnent la paix, la joie, et l’expérience, même à travers les épreuves.

Bonjour mes Enfants,
Je suis votre nouveau curé, comme je viens d'etre nommé, j'espére que quelqu'u pourrras m'aider a me renseigner pour que je puisse remplir mes taches et devoirs au mieux, je suis en train de récolter des renseignements un peu partout, mais je vois bien que la religion est quasi inexistante, pensez vous que je sois capable de remédier a cela? un peu d'animations en tous genres nous feraient pas de mal je pense!!
Merci a vous d'avance...

amen

Thomas se sentit bien seule c'est temps ci, il pensat donc a se rendre a la cathédrale, pour priez tout d'abord, afin que ses priéres lui redonne la foie de vivre. Il alluma un cierge, qui se consummera durant la nuit, esperant que le Seigneur le voit d'un bon oeil. Thomas se rendit ensuite devant la cathédrale, s'installa sur une des nombreuses marches, comtempla la place, et sortit un bouquin de sa robe, se mit a lire en espérant etre déranger par la population.

Nombre de messages : 295 Ville : Paris Date d'inscription : 14/11/2007

Anne n’avait trouvé personne de connaissance à la taverne…
Elle alla tranquillement à la cathédrale pour s’y recueillir un peu, elle avait oublié tous ses devoirs…

Anne entra doucement, l’endroit était frais, cela fessait du bien, au dehors il fessait bien chaud…
Elle pris place dans un coin sombre, sans oublier de se signer a son entrer…
Anne pensa as toute sa vie depuis son arrivée… tant de chose de perdue, son mari, un enfant, ses amis, un frère a peine retrouver…

Anne baissa la tête et se mis a prié doucement ,comme pour elle-même…qu’allait-elle devenir ici… personne ne le savait, même pas elle .

[Dialogue post-municipal]

Jean et Talleyrand était assis sur les bancs d’une notre dame déserte et priaient. Lorsqu’il eu et finis la pieuse action, Jean s’approcha de Charles et l’entendit terminer sa prière par « Pour l’amour de La France, amen ».

-« Vous parlez de la France et vous ne l’aimez pas » L’interpella-t-il
Talleyrand tourna la tête et fixa Jean avec étonnement.

-« Je l’aime autant que vous »

- « Non, Talleyrand, parce que vous n’aimez pas le peuple, c’est lui qu’il faut aimer, c’est lui qu’il faut comprendre. »

Cette fois, le diable boiteux sourit avant de répondre :

-« C’est lui qu’il faut flatter, n’est-ce pas, courtisan ? »

-« Courtisan, moi ? »

-« Vous n’êtes pas autre chose. Vous courtisez le peuple et vous vous imaginez que vous servez ses intérêts. Vous croyez donc que le peuple a des opinions politiques ? Vous croyez donc qu’il a une préférence pour un régime ou pour un autre ? Non, le peuple veut manger à sa faim, voilà le régime qu’il préfère. Il veut être heureux dans sa maison. »

-« Le peuple veut pouvoir travailler » répondît Jean à moitié outré et interloqué.

-« Pas encore, hélas, non pas encore, le jour où le peuple comprendra que sa délivrance est dans le travail, ce jour-là nous pourrons parler de la République. Cher Jean, vous êtes un brave homme. Vous avez pour la France un sentiment profond, inaltérable, aveugle. Dans ces conditions-là, ne faites jamais de politique. Ce n’est pas votre affaire, Jean. Vous êtes un homme de lettres, chantez la liberté des autres mais fuyez la politique. » Répondit Talleyrand en se levant et quittant l’église.

Dialogue inspirée du diable boiteux de Sacha Guitry

[RP] Cathédrale de Nostre Dame de Paris - Page 2 Img-215203tp9gh

« Au bon peuple de France et à ses grands hommes,

L’église sort d’une passe fort mauvaise qui lui valu le statut d’inexistante et d’inopérante. Ce déplorable statut fit tomber la France dans un semi hétérodoxie, laissant aux hérétiques le loisir d’afficher leurs infâmes idées aux yeux de tous et d’honnir la nation et la sainte église.

Ces ce temps la que nous souhaitons abolir ! En relançant plus forte qu’avant l’église de notre Seigneur Jésus Christ et de son Père, le très haut. Jésus posa la première pierre, mais seul, il n’aurait pu bâtir une église. C’est pour cela que nous demandons votre adjuvat et avons créé au saint siège de Paris, un comité de réflexion apostolique dont le but sera de donné une base stable a l’église.

Toute personnes motivées à rejoindre ca groupe est prié de sa rendre au siège pontifical de Paris et de se présenter a l’entré.

Nous rappelons aussi que l’église pour vivre a besoin d’une hiérarchie et que nous cherchons par conséquent des personnes intéressées par les postes de cardinaux, évêques, archevêques, prêtres et gardes pontifes de l’ordre de Malte.

Charles Maurice de Talleyrand Périgord plus communément appelée Talleyrand au nom du Saint Père. »

Citation :: « Nous, Charles Maurice de Talleyrand Périgord, Cardinal Tybaldiste annonçons que, et ce au nom de la Sainte église Tybaldiste et du Saint Père:

Nous reconnaissons Sa grandeur Lomax comme légitime comte de Paris et que nous l’invitons à discuter avec nous au siège parisien de la Sainte Eglise.

Nous reconnaissons Sa grâce Kheysa comme légitime duchesse de Champagne et que nous l’invitons aussi à discuter avec nous au siège parisien de la sainte église.

Nous ajoutons par la présente la description du gouvernement de l’église hors sa Sainteté le pape.

Son éminence Thoma est nommée à l’unanimité cardinal camerlingue.

Son éminence Brian est nommé cardinal connétable.

Son éminence Talleyrand est nommé Cardinal électeur.

Monseigneur Huon est nommé archevêque de Champagne

Monseigneur Lambert, dit des Traits, est nomme évêque de Reims et qu’il a pour mission d’adjuver l’archevêque de Champagne, ainsi que curé de Reims.

Nous ajoutons que d’autres nominations suivront et que pour la bonne tenue de l’église celle-ci étaient indispensables.

Au nom du Très Saint Père »

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 10/09/2008

Le jeune homme habitait depuis deux semaines chez la Duchesse, dans une chambre aménagée dans le grenier. Il y passait la majorité de son temps, à lire les saintes écritures, à correspondre avec cette dame qui l'avait accueilli. Tantôt il se voyait, la Duchesse l'avait informé que durant son sommeil il bredouillait des choses. C'est ainsi qu'il avait compris qu'il n'avait pas perdu totalement l'usage de la parole, que son inconscient prenait le relais lorsqu'il dormait. Elle lui avait conté, qu'il avait dit "Je m'appelle..." le reste ne semblait pas être compréhensible. Petit à petit l'individu reprenait confiance en lui, et retrouvait goût aux joies de la civilisation.

En ce lundi de fin de mois de septembre, Plouqi se rendit à la Cathédrale, il voulait remercier les Dieux de lui avoir permis de croiser cette femme et d'avoir retrouvé enfin confiance en lui. Arrivé dans la bâtisse, il se signa puis alla s'installer sur un banc en chêne au milieu de la Sainte maison. Plouqi récita longtemps une prière à l'attention du Dieu du Feu Fuega. Il resta ainsi un long moment les mains jointes à faire le vide en lui, il réfléchissait à son avenir sur Paris, il s'interrogeait sur l'éventualité de voyager dans d'autres villages, là où peut être il pourrait retrouver les traces de son passé...

Le jeune homme ressortit de la bâtisse, espérant croiser quelques personnes, n'ont pas avec qui il pourrait parler, mais simplement partager des expressions. Ce soir, il continuerait de soigner ces cicatrices avec un onguent miraculeux que lui appliquait la Duchesse...

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