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Nombre de messages : 359 Ville : Reims Date d'inscription : 02/02/2008

Elle prit un air songeur en réfléchissant quelque instant
Hélas, je ne peut vous aider car je ne connais ce messire Uriel. Cela ne fait pas très longtemps que j'ai prit domicile à Reims, par conséquent je ne connais pas encore grand monde.
En tout cas, j'espère que la Comtesse aura très bientôt de ses nouvelles.

Tournant la tête, elle regarda l'horloge solaire du clocher de l'église
Il se fait tard, je dois partir à l'auberge rejoindre mon frère. Bonne journée messire.

"Bonne journée à vous aussi gente dame. c'est vrai qu'il se fait tard , je vais continuer à chercher ce sir, je vais aller voir du coté de la foret.
et Merci encore d'avoir pris le temps de la reflexion à ma requete.
Bonne journée et peu etre à bientot."
marcelus PArtis de l'autre coté de la jeune Eléanore. L'air songeur trouvera-t-il messir Uriel, Aura t-il de bonnes nouvelles a la fin de la journée.

Arlène semblait surprise et un peu perdue à la vue de toutes ces personnes présentes aux portes de la ville. S'adressant respectivement à ces dernières :

Chevalier Marcelus, merci de votre accueil. Sans connaître personnellement Dame Ermeline, ma mère en a entendu parlé et en pense le plus grand bien.

Dame Mirwen, c'est très gentil de votre part de m'accueillir ainsi et de m'offrir l'hospitalité de votre taverne. Si je ne trouve pas à me loger, j'en profiterais certainement même si mes parents risquent de ne pas voir d'un très bon oeil ma présence sans chaperon en celle-ci. Merci de vous soucier de moi, ne vous inquiétez pas ce chevalier a été des plus corrects.

Ma Demoiselle Eléanore, je suis très heureuse de faire votre connaissance et espère vous rencontrer à nouveau.

Dame Ermeline, je suis toute intimidée d'être en votre présence, auriez-vous l'obligeance de m'indiquer où je pourrais trouver refuge en une maison de qualité ou peut-être un couvent.

De nature timide et réservée, elle parut un peu effrayée de son audace et des propos un peu plus hauts que semblaient se dire les personnes qu'elle avait saluées plus tôt, en espérant qu'elle n'était point la cause de ce désaccord.

Ermeline regardait Arlène qui venait de rosir légèrement et sourit :

Vous savez la taverne de Dame Mirwen est tout à fait convenable et très renommée, je suis sûre que vous y seriez en sécurité et auriez la compagnie de personnes plus proches de votre âge.

Cependant si vous pensez que cela peut créer quelques soucis à vos parents, je peux vous offrir l'hospitalité en attendant que vous trouviez quelque chose qui vous convienne.

Mirwen acquiessa

Mon établissement est de première qualité et la clientèle est tout à fait honorable.
Cependant, je comprendrais que vous soyez quelque peu sceptique...

Arlène était un peu embarassée, elle ne voulait froisser personne.

Dame Mirwen, je suis sûre que votre taverne est à la hauteur de sa réputation mais mon jeune âge me fait hésiter sur cette possibilité.

Dame Ermeline, merci pour cette généreuse proposition que j'accepte bien volontiers, je vais essayer de me faire la plus discrète possible. Je serais surtout là en semaine, je m'absenterai dès le vendredi jusqu'au dimanche devant me rendre auprès de ma famille qui habite plus à l'est d'ici.

Nullement froissée, la tavernière sourit.

Ne vous inquiétez pas, je n'en prend pas rigueur. Sachez seulement que la demoiselle Eleanore ne doit pas être beaucoup plus vieille que vous si cela peut vous rassurer.

Sinon, je suis sûre que notre curé pourra vous recommander un couvent non loin.

Albert arriva plus tard mains dans les poches, un brun d'herbe à la bouche. Voyant un regroupement de citadins, il alla faire un tour près du groupe.

Il fit un sourire à ces Dames, puis il aperçu un visage qu'il ne connaissait pas

Mesdames,

Bienvenue à Reims jeune demoiselle,

Albert enchanté. Dit il avec un large sourire, Albert était d'humeur joyeuse en ce jour.

Marcelus venait de quitter son champs pour aller manger. Quand il passa devant lers porte il vis des visages familier.

"Bonjours Mesdames, Bonjours albert
J'espere que vous allez bien?
jeune jouvencelle j'espere que votre problème de logement c'est arrangé.
Je n'ai pu m'empécher d'entendre la requete de Mirwen pour le couvent. MAis sachez que notre représentant de l'église est reparti comme un voleur sur PAris. J'ai meme entendu dire qu'il avait plus une allure de manant que de notable."

Repensant à sa recherche pour Dame Anne
il osa poser une dernière question.

"dites moi, Dame Mirwen vous qui croisez du monde dans votre taverne , Albert et vous DAme rlène qui venait d'arriver n'avez vou saps croisé recemment le sir Uriel comte de plouarn?"

Albert vit Marcelus arriver. Il remit son brun d'herbe à la bouche

Bien merci.

Vous avez dit comment ? Sir... ? Non désolé je ne connais pas cet homme, je ne l'ai certainement même jamais croisé.

Secoua la tête

Non moi non plus. Pourtant, il avait reçu lui aussi une invitation à l'inauguration mais je ne l'ai jamais croisé.

"Merci quand même Albert.
Cet homme adisparu alors que sa douce épouse est enceinte. Je lui ai promis que je ferai totu ce qui est en mon pouvoir pour trouver des informations.
J'espere Albert vous recroiser prochainement. Bonne journée."

[i]"Dommage DAme Mirwen, je dois avoeur que je portais beaucoup d'espoir sur vous. Mais bon je vais continuer mes recherche.
Je vous souhaite du courage pour vos travaus de toiture. J'ai appercu la dernière fois Albert sur le toit. Attention ce n'est guere prudent. La fouge de la jeunesse pourrai à cette hauteur etre vecteur d'accident."[/i]

MArcelus repartis l'air songeur vers sa pitence du midi. Toujourspas de nouvelles, ce n'est guere rassurant pensait-il.

Ermeline voyait que le chevalier Marcelus prenait à coeur la recherche de Messire Uriel.

Elle se tourna vers Arlène :

Très bien je vais vous montrer le chemin jusqu'à ma demeure, j'habite vers le forêt en bordure de ville. Je vous indiquerai également où se trouve la taverne de Dame Mirwen au cas ou vous souhaiteriez aller voir la Demoiselle Eléanore.

Apres son adoubement, le chevalier Marcelus de Molay de Belleme fit route en extrème urgence vers reims, il arriva tot le matin dans sa belle citée. Il ne savait pas s'il allait devoir quitter ce comté qu'il affectionnait pour pouvoir remplir les missions de son nouveau satut.

Mais il se devait maintenand pour dame Anne revenir sur Reims. Sur paris il avait eu vent d'une piste possible pour retrouver sieur Uriel.
Il le devait pour la si belle et tendre Anne dont il avait de plus en plus d'estime et afffection explorer cette piste.

Demain il enverrai une missive au roy pour expliquer son depart soudain des festivités.

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 17/02/2008

La route avait été longue ! La qualité des chemins n'avait guère permit de repos, le carrosse ayant été balancé pendant des heures !
L'Archevêque avait même demandé un petit miracle, là, sur la route...qu'elle se transforme en doux tapis moelleux ! Mais rien n'y avait fait !

Aussi, c'est courbaturée que la femme, jeune, au port fier et élégant, malgré les vêtements stricts, sorti de la voiture aux armes de l'Eglise, aidée par deux soldats tandis que quatre autres assuraient une espèce de haie pour l'emmener vers...la taverne !

Oui, la taverne ! Parce que la route, ça donne faim et soif !

Ygerne était arrivée à Reims, après avoir quitté son Paris natal...Une nomination d'Archevêque à la clef, elle venait conquérir Reims !

Le Chevalier marcelus de Molay de Belleme, avait fait route toute la nuit.
Son regard était froid, ses pensées maussades.
il avait remplacé son cheval par une charette.
Au milieu de celle-ci gisait un corp inanimé.
Il avait retrouvé le sir Uriel. Mais, le retour n'était guère joyeux, le chariot avait une allure funestre et se dririgeais vers la Maison de Dame Anne de Plouarn.

Nombre de messages : 187 Date d'inscription : 06/03/2008

Kyann arriva enfin en vue de Reims. Après tout le chemin qu'elle avait parcouru, elle était soulagée de pouvoir s'arrêter un peu. Elle repéra une souche d'arbre qui ferait bien l'affaire puis s'installa et déposa son baluchon. L'air était doux et le soleil avait fait son apparition depuis peu. Elle pencha la tête en arrière, ferma les yeux et savoura la chaleur de celui-ci sur son visage.

Le bruit de quelques passants qui semblaient se promener la tira de sa rêverie. Elle décida d'aller faire un tour dans la ville. Déambulant dans les ruelles, elle croisa quelques personnes qui semblaient ma foi fort charmantes. Elle les salua d'un signe de tête et continua sa visite.

La cité était très belle et l'idée d'y rester quelques jours lui traversa l'esprit. Elle se dirigea vers la forêt et s'assit au bord d'un ruisseau. Elle fit un brin de toilette afin de se débarrasser de la poussière de la route. Chose faite, elle fourra dans sa besace et regarda ses maigres possessions d'un air dubitatif.

Reprenant le chemin de la ville, elle prit la décision de s'attarder à Reims le temps pour elle de reprendre des forces et qui sait.. si la vie ici lui plaisait, peut-être pourrait-elle y demeurer. Sinon et bien elle reprendrait la route. Qu'avait-elle à y perdre de toute façon ? Elle était seule et personne ne l'attendait nulle part.

Kyann se mit à la recherche d'une grange vide où elle pourrait se reposer.

Ermeline se sentait revivre à chaque pas qu'elle faisait dans les rues de Reims. Elle s'était attachée à cette ville au fil des semaines qu'elle y avait passées.

Son regard s'attardait sur les moindres détails tandis que bizarrement son esprit vagabondait, elle songeait à l'avenir de Reims.

Elle croisa aux abords de la ville une jeune femme qui semblait nouvelle en ces lieux. Elle s'arrêta pour la saluer :

Bonjour, vous semblez venir juste d'arriver en notre belle ville. Je suis Dame Ermeline, puis-je vous aider?

Nombre de messages : 187 Date d'inscription : 06/03/2008

Kyann entendit une voix de femme alors qu'elle marchait d'un pas hésitant. Se retournant, elle réalisa que la femme en question s'adressait à elle et la salua.

Bonjour Dame Ermeline. Je me nomme Kyann et, en effet, je viens d'arriver dans votre ville. Pour l'aide, ma foi, je veux bien.. je cherche un endroit où dormir, une grange ou une étable ferait parfaitement l'affaire.

Elle regarda la femme avec un timide sourire, espérant que celle-ci pourrait la renseigner.

La jeune femme qu'Ermeline venait de saluer semblait hésitante, elle lui sourit pour la rassurer et lui dit:

Permettez-moi de vous souhaitez la bienvenue à Reims, je suis actuellement en charge de l'Hôtel de Ville. Vous me semblez bien fatiguée. Il fait encore froid en cette saison pour demeurer dans une grange ou une étable.

Si vous le souhaitez je peux vous offrir l'hospitalité de ma demeure le temps que vous trouviez un emploi vous permettant de vous loger de meilleur façon.

Nombre de messages : 187 Date d'inscription : 06/03/2008

Kyann n'en crut pas ses oreilles lorsque Dame Ermeline lui proposa le gîte. Elle, fille de simples paysans... dans la demeure de cette Dame. Elle n'oserait jamais accepter cette invitation. Touchée et intimidée par cette offre, elle hésita, ne sachant comment la refuser.

Loger chez vous ? euh.. mais.. comment.. pourquoi ? vous ne me connaissez pas.. je pourrais être une euh..une personne.. malfaisante.. ou pire encore.. euh.. une.. euh.. une voleuse..

Rougissante, Kyann, ne sachant pas mentir, bafouillait lamentablement à la recherche d'arguments qui décourageraient la généreuse femme. Elle n'osait même pas la regarder, honteuse de débiter de telles sottises.

Elle espérait surtout que cette tentative de refus ne blesserait pas la dame. Mais elle n'avait pas l'habitude d'une telle générosité depuis qu'elle avait pris la route. Elle avait dormi dans des granges, étables, des bottes de foin lorsque le froid se faisait sentir mais dans une maison.. jamais au grand jamais, personne ne lui avait fait une telle offre !

Tortillant le bout de son baluchon, elle se tut ne sachant plus que dire.

Ermeline regardait la jeune femme qui semblait interloquée, sa vie n'avait pas du être facile et ses désillusions nombreuses :

Je me trompe rarement sur les personnes, vous une voleuse cela m'étonnerait fortement.

Je comprends que vous préfériez votre indépendance, j'ai au fond de mon jardin une petite cabane où vous pourriez vous installer si vous préférez, de plus un petit sentier permet de rejoindre la forêt et la route menant au coeur de la ville ce qui vous permettra de vous sentir libre.

Nombre de messages : 187 Date d'inscription : 06/03/2008

Kyann regarda cette femme qui était décidément très généreuse.

une petite cabane ? hmm.. je pourrais peut-être accepter.. surtout je ne dérangerais pas Dame Ermeline.. pensait-elle

Et bien.. si vous êtes sûre que cela ne vous gêne vraiment pas, j'accepte votre offre avec grand plaisir Dame ! Et si vous avez besoin d'aide, quelle qu'elle soit, n'hésitez pas surtout.. j'ai l'habitude de travailler vous savez.. et je vous promets de ne pas abuser de votre hospitalité.

Remettant en place son baluchon qui glissait de son épaule, elle sourit timidement à la jeune femme.

Et pour ce qui est d'être une voleuse.. et bien.. vous avez raison.. je n'ai jamais rien volé de ma vie.. et je n'ai aucunement l'intention de commencer d'ailleurs..

Kyann sourit plus largement à Dame Ermeline.

Ermeline lui sourit :

Je vais vous y conduire, le sentier y menant est tout près d'ici. Vous pourrez déjà vous y reposer. Puis partir à la découverte de Reims qui est une ville bien agréable où j'espère vous vous plairez.

Ermeline reprit son chemin en compagnie de la jeune femme

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