Des événements terribles s'étaient produits ces derniers jours. Une bête - c'est ainsi que l'on pouvait seulement décrire cet ignominie - sévissait aux abords de Paris, ayant déjà à son actif plusieurs victimes.

Les rumeurs allaient bon train. Tantôt il s'agissait d'un loup, tantôt d'un rôdeur... personne ne le savait vraiment, mais tout le monde le craignait.
Tout cela était arrivé jusqu'aux oreilles du maire de la ville.

Qui ou quoi que ce soit, il ne pouvait pas laisser son territoire ainsi terroriser. Il fallait agir. L'armée étant occupée à d'autres activités pour le moment, il devrait prendre lui-même cela en mains.

Aussi, il écrivit une annonce pour la population, et fit quérir un messager.
Ce dernier fit apparition une dizaine de minutes plus tard, prêt à réaliser sa mission.

Que puis-je pour vous Messire De Galicy ?, lui demanda-t-il.

Lomax enroula le parchemin puis le lia avec un bout de tissu rouge. Il se tourna ensuite vers le messager :

Va vite en ville pour accrocher ce message sur la place publique. Mets-le bien en évidence. Et n'hésite pas à ameuter les gens sur ton passage, je veux qu'un maximum de personnes soient au courant !, s'écria le maire.

Le messager partit en courant, et dévala les nombreuses marches de la bâtisse.

Quelques minutes plus tard, il arpentait toujours les rues, avançant sur un rythme soutenu. Il criait à qui voulait bien l'entendre qu'une importante nouvelle les attendait.
Arrivé sur la place publique, il délia le parchemin et l'afficha :

Leane avait simplement souri lorsque Lomax lui avait parlé de l'emmener dans les locaux de la mairie afin qu'elle soit en sécurité, lui laissant croire que les choses se passeraient ainsi. Rendez-vous était donné pour le soir même... Avant de partir elle se faufila jusqu'à leur chambre, ouvrit un petit coffre et en sortit une petite dague, seul objet personnel qui l'avait suivi durant ses années d'errance. Elle l'introduisit dans son étuit qu'elle fixa autour de sa cuisse, ainsi dissimulée sous ses jupes, il n'y paraîtrait rien. Elle retrouva ensuite son époux...

Nous pouvons y aller, je suis prête.

Ils reprirent la monture, Leane avait passé ses bras autour de Lomax et se tenait ainsi blottie contre lui jusqu'à ce qu'ils arrivent sur la place de la mairie. Pour l'instant il y avait peu de monde.

Ont-ils tous peur ou la vie de leurs semblables n'a aucune importance à leurs yeux? Se demandait la jeune femme.

De son côté, enceinte ou pas enceinte, il était hors de question qu'elle reste seule et qu'elle soit inutile, quoi qu'en pense Lomax. Elle les laisserait partir devant, puis les rattraperait, une fois devant le fait il ne pourrait faire autrement qu'accepter sa présence.

Rester là, à se ronger d'inquiétude n'était pas meilleur pour le bébé et si par malheur il arrivait quelque chose à Lomax et qu'elle ne soit pas à ses côtés, jamais elle ne pourrait s'en remettre. Il était tout pour elle, il était sa vie. Le seul problème était qu'il la connaissait de mieux en mieux, qu'il pouvait se douter de quelque chose. Elle devait rester le plus naturel possible.

Elle tira la cordelette qui retenait la cloche de la mairie, cloche qui servait pour les appels à la population, en cas d'urgence et hurla à qui voulait l'entendre:

Alors, ne vous sentez vous donc pas concernés. Comptez vous laisser cette chose tuer vos femmes, vos enfants, vos amis, vos voisins??
Armez-vous et venez donc participer à la traque. Il en va de vos vies!!

Elle serra la main de Lomax.

Il est hors de question que tu partes sans être accompagné. On attend ici que les autres arrivent, ensuite vous pourrez y aller ensemble.

Julie avait entendu parler de cette "chose" animal ou homme massif on ne savait la dire elle avait aussi remarquer que beaucoup de paysan qui habitai en dehors des rempart de Paris étais venu s'abriter de cette "chose" qui terrorisai la campagne environnante voyant le maire et sa femme qui appelais la population pour lancée une traque Julie décida d'aller ce porter volontaire :

Bonjour je suis Julie je suis arttieulleuse dans l'armée de paris et j'aimerai me portez volontaire pour traquer cette chose je suis passer devant une ferme ce matin et je peut vous dire qu'elle étais dans un salle étas j'ai vu aussi du gibier dans la forêt qui étais vraiment dans un salle état ce qui peut témoigner de la violence et la puissance de cette créature que je ne pense pas humaine regarder ce cerf que j'ai ramener

Julie fit venir son homme de main qui amenait un bœuf avec un chariot derrière une bâche recouvrait un corps difforme Julie enleva la bâche ce qui apparue étais horrible un corps éventrer il ne restai presque que des os briser

Brian avait eu le temps de passé chercher du materiel de combat à la caserne. Il arriva au lieu de rendez vous avec un peu de retard, mais des joujou interréssant. Il avait ramené plusieurs Arquebuses, ainsi que des lances et quelques couteaux, poignards et dagues de longeurs variées. Il posa au sol au pieds du Maire et de son épouse.

Il donne deux arquebuse a Julie. en disant a haute voix.

Si, jamais Mattew arrive donnez lui la deuxième arquebuse

Il prit une autre arquebuse, il en restait deux au sol. Surment que le maire et son épouse les utiliserais, ces armes étaient très efficace et solide. Un balle bien tiré avec une telle arme pouvait faire des ravage. Brian se mit, avec l'aide de son artilleuse, a distribuer des lances et couteaux aux gens qui voulaient bien.

Les armes distribuées, il passa sa mains sur son crane chauve comme pour le carresser. Puis enfonca un chapeau a plume frolant le ridicule sur son crane. Puis enfilant des gants il ajouta au haut voix.

Monsieur le Maire, l'armée a répondu présente pour la sécurité de Paris.

Sinon, ce chapeau c'est pour que vous me reconnaissez. Et j'espère aussi que la bête s'excitera sur moi et vous vous n'aurez plus qu'a la tuer pendant que je courrerais devant elle. Il est pas bien mon plan ?

Il se mit a rire..

Julie reçu l'arquebuse et ce mis a mettre quelque objet en joue sans charger l'arme passant d'une cible a l'autre essayant de suivre quelque oiseau qui s'envolèrent rapidement ensuite elle se mit a charger l'arme le plus rapidement possible finit par dire:

On devrait emporter des arbalète aussi et il me faudra un peut de temps avent de prendre cette arquebuse en main car sa fait un moment que je n'ai pas tirer avec une t'elle arme
Julie rit en voyant le chapeau du lieutenant:

[b][i]Vous avez l'air ridicule , et si vous compter jouer les appat vous risquez également de vous faire tuer vu l'état du cerf que j'ai ramener ce matin cete animal a l'air extrêmement dangereux

Enfin quelques personnes se rassemblaient, prêtes à en découdre avec la bête, ou bien simplement pour s'assurer de ne pas rester seules, bénéficiant ainsi d'une protection de groupe.

Lomax reconnut Brian, qu'il avait pu côtoyer au sein de la caserne parisienne. Ce dernier déposa des armes aux pieds de son épouse et lui-même, afin qu'ils puissent se défendre.
Le maire de Paris regarda son épouse, puis Brian à qui il lança :

Merci beaucoup, cher ami. Cela nous sera bien utile je crois. Cependant, Leane ne viendra pas. Elle est enceinte, et je ne voudrais pas prendre le risque de perdre deux êtres chers.

Mais quoiqu'il arrive, cette arme n'est pas perdue, elle servira bien à quelqu'un.

A cet instant, ce fut Dame Julie qui arriva, d'un air décidé. Nul doute qu'elle sera de la traque, et qu'elle userai de tout instrument pour venir à bout de l'animal.

Lomax se tourna vers Leane et lui saisit les mains. Il avait tant de choses à lui dire, mais le temps pressait, la bête pouvait arriver ou sévir à tout instant. Il s'attarda un instant dans son regard, comme perdu, puis lui murmura :

Rentre à la mairie, et attends moi bien sagement. J'ai fait quérir 3 gardes d'élite pour t'escorter jusque là-bas. Je ne sais pas ce qui nous attend dans les minutes à venir, mais sache que, quoiqu'il arrive, je t'aimerai toujours... où que je vois.

Il se tourna cette fois vers Brian, sans lâcher les mains de sa femme. Il reprit :

Et puis regarde, avec Sire Brian, je ne risque vraiment rien. En le voyant, la bête sera tellement prise de rire que nous l'abattrons sans soucis, plaisanta-t-il.

Il fit un clin d'oeil à Brian, lui prouvant le ton sympathique de la remarque, et cherchant à détendre quelque peu l'atmosphère.
Il pinça ses lèvres pour siffler, et sitôt 3 gardes arrivèrent à cheval, ainsi qu'une monture pour la Dame de Galicy.

Il savait pertinemment, connaissant maintenant Leane, qu'elle repartait aussitôt arrivée au château. Lomax avait d'ailleurs déjà fait préparer un autre cheval pour elle là-bas, mieux équipé. Il avait également exigé un bataillon d'une dizaine d'hommes qui l'accompagnerait, formant ainsi une ultime capacité d'assaut, si tout espoir était perdu pour les autres...

Enfin du monde arrivait. Leane reprenait peu à peu confiance en cette ville et en ses habitants. Depuis le chaos qui avait secoué le royaume, les gens se terraient chez eux, il était donc important d'éliminer cette créature avant que, de nouveau, chaque habitant reste cloîtré.

Lorsque Brian déposa quelques armes aux pieds des jeunes époux, Leane ne fit un seul geste, ne voulant pas éveiller les soupçons de son époux. Elle se contenta simplement de les observer du coin de l'oeil.

Les mains dans celle de Lomax, elle écouta ce qu'il avait à lui dire, essayant de masque la petite lueur de déception qui passa sur son visage lorsqu'il aborda le sujet de l'escorte. Il avait donc pensé à tout, elle serait comme prisonnière de sa tour d'ivoire. Comment échapperait-elle aux gardes? Peut-être pretexterait-elle vouloir prendre l'air pour chasser ses nausées.

Avant de quitter le groupe, elle serra son époux contre elle et l'embrassa rapidement, elle n'avait aucune envie qu'il ressente la peur qui l'habitait maintenant, peur qu'elle avait à l'idée qu'il lui arrive quelque chose et qu'une nouvelle fois elle soit abandonnée.

Promets-moi d'être prudent, Mininous aura besoin de son père et moi j'ai besoin de toi.

Elle grimpa sur sa monture et souhaita bonne chance à tout le monde. Elle tira sur les renes et suivit les gardes jusqu'au château, cherchant mille et une façons d'échapper à leur surveillance une fois là bas.
Pourtant une fois sur place, elle s'aperçut qu'il avait tout prévu. Il la connaissait désormais mieux que personne.
Elle décida donc de se reposer quelques instants avant de partir rejoindre les "chasseurs".

Brian souri quand il vit le soldat Alkior arriver. Il était fièr de ses soldats. Il écouta les propositions de ses soldats tout en regardant le maire triste de voir son épouse se retirer.

Oh, moin mon chapeau vous plait bien..., Brian se mit a rigoler tout seul.

Oui, soldat Alkior prennez l'arquebuse ! Puis mon "plan" n'est pas un plan c'était juste pour détendre l'ambiance, car souvent avant de partir a la mort les gens sont un petit peu plus angoissés.

Donc pendant qu'on marche si vous ave le ...tracas, regardez mon chapeau. Vous irez surment mieux.

Brian se mit à sourire se qui était assez rare, il ne voulait pas perdre d'hommes aujourd'hui, qu'ils soient civile ou soldat. Il tapota sur l'épaule d'Alkior et ajouta ;

Vous en faites une tête, vous avez peur ? C'est votre première mission ?

Après une nuit fort agitée Dame Vaniile alla rejoindre les villageois pour leurs raconter les événement de la veille
Cette nuit entendant un raffut infernal chez mes voisins, je suis sortie avec mon fusil de ma demeure et ayant déjà été confrontée a des horreurs dans le passé je ne sort jamais sans lui, bien m'en a pris, je me suis retrouvée nez a nez avec une bête énorme et hideuse couverte de sang, j'ai compris tout de suite ce qu'il s'était passé chez mes malheureux et charmants voisins, ils étaient si jeunes!!... je ne sais pas combien cette chose en a tuer mais mon sang n'a fait que tour, je l'ai mise en joue et tirer a 3 reprises et touchée a deux, elle est blessée mais vivante,il faut atteindre le coeur pour la tuer, un homme vivant dans les bois me l'a raconté et c'est lui qui m'a dit de fabriquer des balles en argent, heureusement il y a un orfèvre dans ma famille sinon je ne sais pas comment j'aurais fais! je l'ai vue partir dans les bois, elle mettra du temps a guérir ces balles font quand même du dégât, mon fusil en est chargé depuis que mon malheureux époux s'est fait occire par le même genre d'animal dans les faubourgs de Reins, c'est pour cette raison que j'ai fuis cette ville malheureusement, je constate qu'elle n'était pas seule au monde et elle est peut être même dirigée par un malfaisant avide de sang, elle est très très dangereuse il nous faut être très nombreux sinon nous n'avons aucune chance...

Brian vit la dame arriver et l'écouta le visage impassible, tout en se frottant les mains gantés de gants de cuir.

Ah

Il n'en dit pas plus, ce que lui racontait la dame lui semblait completement fou. Cette paysanne avait elle perdu la raison ? Comment ce faisait telle qu'elle portait une telle arme, et l'argent est un metal bien trop mou pour tuer quoi que ce soit.

Dame, j'ai du mal a vous croire...
Comment se fait il que vous ayez une telle arme ?
L'argent ne sert a rien dame, ce metal est mou et donc innofenssif, au pire vous lui faites un petit bobo.
Et de plus tirer dans le coeur ne fait que d'accelerer la mort, mais je vous jure que si nous tirons 40 balles, biensur pas en argent, dans le derière de cette bestiole, elle moura quand même.

Il réflechit a quelques chose et ajouta au soldat Alkior.

Alkior, vous avez dit que la bête m'oterais mon chapeau ?

Alors je pourrais courrir plus vite, mon crane bien lisse me fait gagner de la vitesse.

Il se mit a rire tout seul en avancant de quelques pas vers les plaines.

l'heure n'était plus a la rigolade, Brian écoutait Alkior attentivement. Il espèrait qu'Alkior ne meurt pas, c'était un bon soldat.

Lomax prit a son tour la parole, le maire parlait fort pour bien se faire entendre . On aurait dit que Lomax avait l'habitude de donner des ordres, Brian eu une petite pensé pour l'épouse de son maire. Il souriat en coin.

Brian monta sur sa monture, une arquebuse dans la main droite, les rennes de la monture dans sa main gauche. Sa monture était exité et bondissait légèrement dans tous les sens.

Julie, vous irez avec Alkior et Vanille ! Ils auront plus besoin de vous que nous...Bonne chance..

Alkior si vous me rammener la bête je vous donne mon chapeau!

Lomax s'élança, Brian éperonna sa monture et se mit a suivre son maire. Quelques autres cavaliers les suivaient...

Julie étais comptente que la traque commence elle monta sur jade sa jument et siffla après son faucon et dit:

Mon faucon nous aidera a trouver l'animal et avec ma jument je partirai en avant pour vous ouvrir le chemin cette animal nous auront sa tête je vous l'assure même si certain doivent mourir ou être blesser pour sa ensuite dame vanille les balles en argent je ne sais pas ce que vous pouvez croire mais je ne suis pas sur qu'elle on fait grand déga et voir si elle on percer la peau enfin bref allons y Julie éperonna sa jument et ils ce mire en marche

au juste ou allons nous ? dit Julie aprés reflexion

La lune est pleine nous devrions faire attention car nous ne passon guère inaperçu contrairement a cette animal qui n'apparait que l'or de ses attaque ... Julie mis son heaume sur sa tête et son arquebuse sur ses genoux prête a tirez au moindre mouvement suspect

[i]Dame Vanille attristée de voir l'ignorance de ce valeureux soldat incapable de faire la différence entre une paysanne et une dame de la bonne société et, mais ça il faut être orfèvre pour le savoir que ce n'est pas l'argent qui est mou mais l'or, ne répondit pas, il verrait par lui même si il ne se faisait pas tuer sauvagement, Dieu l'en préserve, que les balles ordinaire ne faisaient pas grand mal a cette créature démoniaque pour l'avoir malheureusement déjà vécu a Reins, bref pensa t'elle[b]

Parfait messire le maire, Alkior et julie je vais vous montrer où j'ai vu la bête pour la dernière fois, pour votre information mon défunt père était commandent dans l'armée de Reins et il m'a appris a tirer lorsque j'étais enfant et nous nous sommes entrainés jusqu'à sa mort, il adorait la chasse, il ma offert ce fusil fabriqué a la forge non loin de la ville de Reins...

Allons y...

Que Dieu vous garde tous, bonne chance et faites attention elle est très rapide...

[Groupe 2, Guidé par dame Vanille]



Nous allons là ou dame Vanille à tiré sur la bête Julie...

Répondit Alkior tandis que celle-ci se demandait ou ils allaient
Puis il regarda l’arme que tenait dame vanille

Une très belle arme je dois dire, feu votre père serait fier de vous car vous êtes très courageuse

Le petit groupe se dirigeait prudemment vers les habitations, vers le lieu ou la bête avait essuyé les tirs de dame Vanille, et avait été blessée. Depuis leur départ, les rires et plaisanteries avait fait place à de rares paroles échangées, ils suivaient leur guide en silence
Dans la nuitée la vigilance grandissait au fur et à mesure qu’il se rapprochait de la maison de dame Vanille, les visages s’étaient faits plus graves et chacun était sur ses gardes, scrutant les alentours tout en marchant, l’arme prête à servir à la moindre alerte
Soudain au loin se dessina dans la nuitée étoilée un hameau et Alkior demanda…

Est-ce l’endroit ou vous habitez dame Vanille?

Avant même que celle-ci n’ait eu le temps de répondre Alkior vérifia son arquebuse une énième fois, avant d' adresser à tous une ultime recommandation...

Vérifiez les armes et resserrez les rangs de façon à être le moins exposé possible

Dans quelques instants il atteindrait l’endroit ou le drame s’était déroulé...

Julie caressait l'arquebuse et étais prête a tirer au moindre geste suspect être entourer d'arbre ne l'enchantais guerre car d'après ce qu'elle avait entendu dire les forêt de Paris étais devenu le territoire de cette animal qui pouvais surgir de n'importe ou peut être les guettais peut être déjà prête a bondir a n'importe quelle moment

Je vais envoyer mon faucon donner une missive a brian et monsieur le maire pour savoir ou ils en sont , j'ai entendu que qu'ils comptais ce rendre a la maison de monsieur le maire hum... je vais envoyer mon faucon dans c'est parage dit-elle

Citation :

Bonjours monsieur le maire , je suis Julie qui fait partie du deuxième groupe je voulais savoir comment cela ce passait de votre cotée avez vous trouvez quelque chose pour le moment nous non vous pouvez écrire votre réponse et l'accrocher a mon faucon qui vient de vous apportez cette missive pour le faire partir faite un mouvement du bras vers le haut et dites TITI l'animal comprendra et reviendra auprès de moi


bien a vous Julie

et Julie fit s'envoler l'animal en direction de la maison de Lomax l'animal mis un bon moment avant de trouver Brian et les autres mais il les trouva et ce dirigea vers eux

oui messire Alkior, c'est bien ici que je vis, la bête s'est engouffrée dans ce bosquet, il doit encore y avoir des traces de sang, nous devrions pouvoir la pister, vos gens doivent avoir l'habitude de ce genre de choses, je vous suis mon fusil est prêt a tirer...

Dame Julie je dois vous dire que vous avez fière allure, votre monture est magnifique, prenez garde je crois que la bête apprécie aussi ce genre de "gibier"...

[Dans les plaines, Groupe de Lomax]

Le petit groupe de cavalier avançait a fièr allure a travers les plaines, il faisait de plus en plus noir avec le ciel qui devenait nuit. Brian mit sa monture a coté de celle de son maire tout en trotant.

Sir, croyez vous que l'on trouvera quelques chose ?

J'espère que l'autre groupe s'en sortira bien...

Brian regardait attentivement le groupe, chaque homme regardait partout autours d'eux. Le doute reignait...