NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Lothar entra dans le Poste de la Maréchaussée et quelle ne fut pas sa surprise de voir le Lieutenant Glorianna en compagnie du Prévôt. Il salua ce dernier.

Mes respects Messire.
Que nous vaut l'honneur de votre visite?

Le Prévôt se leva, un sourire en biais.

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 04/08/2008

Le Prévôt se leva quand le Capitaine Lothar entra dans le bureau.

Ah! Vous voilà Capitaine.

Il tourna autour de Lothar, le verre toujours en main. Il l'inspectait sous toutes les coutures. De haut en bas.

Alors c'est vous Lothar? Mouais!

Le Prévôt s'assis sur le bord du bureau. Bu une gorgée.
Les deux Maréchaux n'osaient intervenir. Ils attendaient de savoir.

Tenez Capitaine! Ce verre est pour vous. Votre adjointe a eu la présence d'esprit de vous servir.

Il tendit en l'air la lettre qu'il avait sortit de sa veste quelques minutes plus tôt et la déposa sur le bureau.

Vous lirez ceci quand je serais partit Capitaine. Et vous en ferez profiter le Lieutenant si vous le souhaitez.

Il leva son verre.

A vos nouvelles nominations!

Le Prévôt se tourna vers Glorianna.

Vous me parliez de votre enquête avant que le Capitaine ne débarque Lieutenant.
Est-ce que ça avance?

je regardais mon capitaine , je me sentais soulagée de sa venue /

oui bien sure, nous avons pu identifier le cadavre de feue le capitaine blanco/

et maintenant ,le capitaine et moi devons réinterroger le témoin qui serait d apres nos conclusions le responsable directe ou indirecte du déçés de blanço et nous mettre à la recherche de la béte /

je regardais le prevot droit dans les yeux ce qui m amusa beaucoup et lui souris

je le remerçia de sa visite en esperant le revoir

désolée mais je dois aller faire ma ronde voir si tout se passe bien dans le village

arrivée devant mon bureau,je pris place dans mon fauteuil

je me servis un verre de vin , et le dégusta tout en essayant d oublier mattéo

quelques temps plus tard , je regarda tout ces papiers qui jonchaient le bureau et me mis machinalement à les ranger en ordre cela me prit plusieurs heures

je commença à planifier la journée de demain

premierement chercher mon chien

deuxiement prendre des armes et munitions

prendre de quoi m alimenter et me désaltérer

apres avoir écrit je sortis du bureau direction la maison

Des son arrivée le Chevalier Marcelus vint se présenter à la maréchaussée.
Il avait été soldat, chevalier de la reyne, chevalier du roy...
Aujourd'hui il aspirait à la paix mais ne pouvait guère se résoudre de quitter ce pour quoi on l'avait éduqué protéger son prochain.
Aussi il se mit a disposition du village de vertus et des ses vilageois des son arrivée.

Lothar arriva fourbu dans le poste de la Maréchaussée.
La joute l'ayant opposé au Capitaine Brian à Reims avait laissé des traces. Des bosses. Des plaies....
Il espérait retrouver le Lieutenant Glorianna, fidèle au poste. Mais au lieu de cela il apperçut un homme. Bien vêtu et pourtant haut le menton.

Messire! Enchanté. Je me présente: Capitaine Lothar, responsable de le Caserne de Vertus.

Lothar posa ses affaires et jeta un coup d'oeil sur son bureau. Il crut reconnaitre l'écriture de Glorianna sur une missive tout en haut d'une pile de documents.

Messire Marcelus, vous êtes le bienvenu en ville.
Juste une question. Vous voulez vous enrolez dans la Maréchaussée?

Lothar se mit à lire ce que Glorianna avait écrit. Il fut étonné. Elle avait besoin de son chien, d'armes, de munitions et de quoi s'alimenter. Où pouvait-elle bien être?
Le Capitaine semblait inquiet tout d'un coup.

Voulez vous boire un petit verre Messire?
Veuillez excuser ma tenue, mais je rentre de Reims.

Lothar se tourna vers le garde-manger et en sortit une bouteille.

Étant à la mairie je décidai de lui envoyer un pli par cavalier.

capitaine Lothar

étant arrivé ce matin d'un long voyage j'aimerais vous voir au plus vite pour être au courant des affaires régler et en suspens et surtout du nombre de soldats au sein de la maréchaussée.
espérant vous voir au plus vite aux bureaux de la mairie.
merci d'avance

peredunod Maire de Vertus

Lothar était affairé à se servir à boire et à épousseter ses habits salis par le voyage. Un cavalier "à pied" rentra dans le poste de la Maréchaussée et remis un pli au capitaine.

Merci jeune homme, merci.

Il salua l'homme.

Restez un moment. Si jamais cela demande réponse.

Il déplia la missive et lut. Le Maire le réclamait au plus vite.

Ah! Bon! Merci. Vous pouvez disposer.

après une bonne dizaine de minutes de marche, j'arrivai devant la porte de la maréchaussée.

après avoir franchi celle-ci je ne vis personne!!

y a-t-il quelqu' un ??

la caserne est elle vide, capitaine Lothar ses Monsieur le maire peredunod quoi!!!!

au bout d'un certain moments ne voyant arriver personnes je décidai de rebrousser chemin, en espérant que le capitaine Lothar viendrait me voir

ne pouvant rester à la caserne le Chevalier Marcelus de Molay avait laissé une misse.

"Excusez moi de partir si vite sir Lothar, mais je devais aller prendre possession de ma nouvelle demeure Sur la route du DUC n°60.
En effet, j'ai choisi la branche défense des mon plus jeune age et oui j'aimerai comme faire partie de la police du village, permettre la garantie de la paie et de la quietude.
Je reste à votre disposition.
Amicalement"

Lothar s'était aperçu qu'il avait parlé tout seul en découvrant la missive de Messire Marcelus. La folie devait le gagner, ou bien était-ce seulement la fatigue. Par contre le pli du Maire était bel et bien réel lui.

Quand il entendit la voix de Pèredunod, il eut un moment d'attente. Moment qu'il ne put évaluer. 10 secondes ou bien 3 jours, la notion du temps lui échappait. Et le Lieutenant Glorianna n'était toujours pas là pour le ramener à la réalité.

Pèredunod? C'est vous?

Lothar ouvrit la porte de son bureau. Personne.
Puis il retourna prendre ses affaires et sortit de la caserne pour prendre la direction de la Mairie. C’est alors qu'il vit arriver Flamme, le cheval de Glorianna. Le corps recouvert d'écume. Et aucune cavalière dessus. Puis Prince, le chien du Lieutenant, la langue pendant de côté arriva à son tour.

Et bien. Où est donc votre maîtresse?

Prince posa ses deux pates sur le ventre de Lothar. Aboyant de tout son saoul.

Doucement Prince, doucement. Tu es content de me voir, oui.

Prince se mit à tourner en rond sur lui même. Aboyant toujours, prêt à alerter tout le quartier.

Qu'y a-t-il Prince? Tu veux me dire quelque chose?

Le chien se mit à partir à toute vitesse. Flamme, quand à lui, piétinait sur place. Il s'approcha du Capitaine, lui donnant un coup de museau sur l'épaule. Comme s'il voulait le pousser.
A une vingtaine de mètres de là, le chien s'était arrêter et avait repris son concert d'aboiements.

Bien d'accord, j'ai compris.

Lothar grimpa sur le cheval prestement. A peine avait-il attrapé les rênes, que Flamme partit seul dans la même direction qu'avait emprunté Prince.
Le Capitaine ne pouvait qu'être mené par ce drôle d'équipage, fait d'un chien et d'un cheval.