NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Lothar sortit dans la cour de la Maréchaussée et fit retentir la cloche d'alerte.
Tous les Maréchaux devaient se présenter au rapport. Si ceux-ci étaient encore en vie.

Ensuite il placarda une affichette sur le panneau d'informations.

Citation :: La Maréchaussée
sera fermée
entre le 9 et le 17 Juillet.

Pour cause de réfection.

Lothar revint après quelques jours.

Une longue marche avait eu raison de lui. Alors qu'il retirait l'affiche, il sentit la fatigue l'envahir. Il s'assit quelques instants à son bureau pour tenter, pensait-il, de reprendre un peu de force.

Il posa sa tête sur la table et inévitablement s'endormit.

entrant dans le bureau du lieutnant lothar, je me présenta à lui. je me nomme dame glorianna (16) , habitante de vertus au 14 rue louis 1 er . je viens à vous pour faire une demande d intégration à la maréchaussée . en effet je ne me sens pas l ame d une dame dérriére les fourneaux . de plus j ai été élevé dans les armes mon pére etant un grand chevalier.. j ai beaucoup de capacitées et je pense ne pas vous décevoir.

Lothar sursauta quand une jeune femme entra dans son bureau. Le cerveau encore tout embrumé par le manque de sommeil, il l'écouta.

Enchanté Mademoiselle.
Je dois vous avouer que vous êtes la bienvenue dans cette caserne.
Etant donné que je me retrouve seul à présent. Nous ne serons pas trop de deux pour faire notre office.

Lothar se leva en s'appuyant sur la table.

Veuillez m'excuser, il faut que je me remette du dernier voyage que je viens de faire.

Il prit une feuille. Trempa sa plume dans l'encrier et commença à noter les informations que lui avait fournit Glorianna. Puis il lui tendit un certificat.

Vous voilà d'ores et déjà Aspirant de la Maréchaussée de Vertus. Il va juste falloir que je vois avec notre futur Maire pour savoir comment réorganiser notre caserne.
Prenez ce dont il vous sera nécessaire dans la réserve pour remplir votre rôle.

Lothar lui indiqua le lieu où se trouvait les équipements et les ames.

étant au bureau de la mairie je décidai de contacter par pli le lieutenant Lothar

Cher lieutenant Lothar

suite à notre dernière discussion à l'heure actuelle on ne peut rien faire pour la ville, il faut attendre les nouvelles élections et à partir de la remettre tout en place.
j'espère pouvoir compter sur votre soutien pour mener à bien la caserne et le recrutement.
Même si je n'ai pas trop le moral, il faut quand même faire vivre cette belle ville de vertus.

votre serviteur Peredunod

je pensais bien que le lieutenant Lothar ait été l'homme de la situation

c est avec une grande joie que je reçue la nomination d aspirante à la maréchaussée ;je ne savais pas comment le remerçier il m indiqua la reserve ou je fis mon choix pour 1 arme et l équipement . apres etre revenue , je lui dis que j attendais ses ordres n je mis le certificats dans mon corsage pour ne pas le perdre , j irai le montrer à dame lugar

Lothar était occupé à comprendre ce que le sort avait réservé à l'homme aux vêtements déchirés. Il avait semble-t-il était attaqué en dehors de la ville. Mais par qui? Par quoi? Les restes d'un corps avaient été retrouvés. Sans plus d'explication.
Le mutisme de la victime, son état cataleptique ne faisait pas avancé la situation.

C'est alors qu'une missive lui parvint. Lothar l'ouvrit. Il s'agissait d'un message de Peredunod.

Citation :: Cher lieutenant Lothar

Suite à notre dernière discussion à l'heure actuelle on ne peut rien faire pour la ville, il faut attendre les nouvelles élections et à partir de la remettre tout en place.
J'espère pouvoir compter sur votre soutien pour mener à bien la caserne et le recrutement.
Même si je n'ai pas trop le moral, il faut quand même faire vivre cette belle ville de vertus.

Votre serviteur Peredunod

Lothar se racla la gorge. Peredunod pouvait compter sur le lui. Il ne pourrait trahir la ville qui le recueillit après cette si longue marche en provenance de l'est. Fuyant un passé qu'il préférait toujours taire.

Lothar sortit de ses pensées par l'irruption de l'Aspirant Glorianna dans son bureau.

J'attends vos ordres.

Lothar sourit devant l'attitude de l'Aspirant.

Et bien! Aspirant. Je vois qu'il va falloir que je vous apprenne les règles de bienséance.

Le lieutenant se leva de sa chaise pour faire face à Glorianna.

Premièrement. Il serait bon de toquer avant d'entrer.
Secondement. Lorsque vous aurez la permission de rentrer, vous devrez faire le salut réglementaire, le petit doigt sur la couture.
Troisièmement. Vous pourrez vous mettre au repos, mais seulement après mon injonction.

Ensuite nous pourrons dialoguer librement.

Le ton de Lothar n'était pas ferme, juste franc et direct. Il sortit du buffet derrière son bureau une bouteille de vin de pays et deux verres.

Mais point de cérémonie pour le moment.

Il servit Glorianna en lui tendant le verre.

Fêtons votre incorporation dans la caserne de la Maréchaussée de Vertus comme il se doit.

Lothar trinqua avec Glorianna.

Mais attention, Aspirant. Ce verre est exceptionnel. Ce ne sera pas le cas tous les jours. La sobriété est réclamée dans nos rangs. Nous devons montrer l'exemple.

Après avoir bu son verre, le Lieutenant se rassit.

Asseyez-vous Aspirant. Nous allons revenir à des choses plus sérieuses.
Je veux vous parler de l'homme que l'on a recueillit sur la place du village, les vêtements en lambeaux.
Auriez-vous par hasard plus d'informations sur le sujet?

apres m avoir fait ses recommandations d usages et offert 1 verre de vin, bien que je ne suis pas portée la dessus. nous rentrions dans le vif du sujet à savoir l homme qu il avait ramené de la place. je racla ma
gorge et lui dis ce que jen pensais à premiere vu.:

voila j ai inspecté ses vetements et son sac ,les déchirures ne sont pas nettes comme 1 couteau ou 1 lame . de plus jai remarqué des poils bruns sur la chemise;
. a premiere vu je dirai que nous avons affaire à une bete mais pour me prononcer vraiment j attend que nous ayons le rapport sur les restes de la personne retrouvée dans le champs .de plus le témoin ne sais pas nous en dire beaucoup pour le moment vu son état.ce que je vais faire avec votre permission , c est jeter 1 coup d oeil sur les lieux ou nous avons retrouvé les restes de la je pourrais vous en dire plus .

Lothar écouta avec attention les paroles de l'Aspirant.

Bien remarqué Aspirant.
Pour en avoir le coeur net et afin d'être plus en sécurité, nous allons y aller tous les deux.
Prenez les armes nécessaires pour nous défendre. Et puis s'il faut faire une traque à cette mystérieuse bête, on ne sait jamais.

Le Lieutenant s'équipa plus que nécessaire. Un mousquet avec suffisament de poudre ainsi qu'une grosse poignée de balles. Son épée et une lance. Ainsi qu'une petite dague bien tranchante.

Prête!

je lui souris et me sentais fiére que le peu d éclairssissement que je lui
apporta,l incita à m accompagner sur les lieux du crime ...................................................................................................
....................... préte mon lieutnant .

je pris mon épée et le suivis

Après avoir assisté à la Messe, Lothar entra dans le poste de la Maréchaussée. Il se mit à l'aise. La journée risquait d'être longue.
Il se servit un verre d'eau, s'assit. Puis posa les pieds sur le bureau.

Le regard dans le vague, il tentait un à un d'assembler les indices. Faisait des regroupements. Et attendait patiemment la venue de l'Aspirant Glorianna.

Plus rien ne pressait à présent. Il fallait agir en toute intelligence et ne plus se jeter à corps perdu dans une traque, au risque d'y perdre la vie.

La lumière pénétrait dans le poste par les fenêtres ouvertes. Une chaleur presque insupportable se faisait sentir. Le temps était lourd et annonciateur d'orage.

toc toc toc /

j entendis la voix de lothar m inviter à entrer /

je me mis au garde à vous ./

le salua , le petit doigt sur la couture /

je n attendis pas son repos ,et lui déposa la gamelle sur le bureau /

voila , pour vous mon lieutnant , je reviens de chez dame lugar,je pensais bien que vous ne penseriez pas à vous nourrire .
/

alors je me suis permise de vous apporter ceci /

( saucisses , légumes ,pain et une bonne chopine de biére )/

vous avez le bonjour de dame lugar /

j attendis qu il finisse sa gamelle pour revoir notre journée

L'Aspirant pénétra dans le bureau, salua comme il se doit , puis déposa devant le Lieutenant une gamelle ainsi qu'un belle choppe de bière.

Merci Aspirant. Vous pouvez vous assoir.
Je remercie vivement Dame Lugar pour ce geste. J'irais lui rendre visite dés que possible.

Lothar n'avait pas songé à manger depuis de nombreuses heures, mais maintenant que le repas était là. L'odeur de la sauccisse encore chaude lui chatouillait les narines.
Il se regala sans toutefois se jeter comme un mort de faim. Avalant de temps à autre, une lampée de bière pour faire descendre le tout.

Che chuis chur que vous chen avez manché aucchi Achpirant!

La bouche pleine, les mots sortaient avec difficulté et complétement déformés. Un sourire de Lothar dévoila quelques restes de feuilles de choux collés sur ses dents.
Il termina sa choppe pour se rincer la bouche et était enfin fin prêt à travailler.

Encore merci Aspirant.

Il s'essuya d'un revers de manche.

Bon! Où en étions-nous dans notre enquête?

nous devons tout d abord vérifier l identitée réelle du macabre /

le regarde génée , cela pourrait etre son capitaine ./

je pense que l homme que l on a receuilli en sais plus qu il ne le dit , alors il faudrait le réinterroger ./

j ai comme idée qu il pourrait etre le maitre de la bete /

comme vous le savez bien ; rien nest plus facile de se faire passer le témoin de son propre crime;/

cela lui laisse du temps pour réfléchir en nous envoyant sur des fausses pistes /

de plus je ne sais pas si vous avez remarqué mais dans son sac ; il y avait 1 fouet /

d ou , pourquoi 1 fouet ,,,?????/

je pense avoir mon idée ; tout s éclaircie pour moi ; mais j attend vos conclusions

le regarde finir son repas et attend

Lothar écoute avec intérêt les paroles de l'Aspirant.

Un fouet vous dites? Cela pourrait donc corroborer la thèse du montreur d'animaux.

Le Lieutenant fait la moue. Il récupére une écharde de bois et se cure les dents tout en réfléchissant.

Mouais! Et l'home capturé ne parle plus maintenant. Il se tait comme s’il voulait cacher un secret.
L'animal lui a échappé. Il n'a put le contrôler. Et pour se justifier, il a inventé toute une histoire en nous envoyant, comme vous dites, sur de fausses pistes.

Lothar sert deux verres d'un petit alcool de poire qu'il tenait secret.

A la votre Glorianna....euh....Aspirant.
Arf! Vous permettez que je vous appelle par votre petit nom de temps en temps? Tout du moins lorsque nous sommes seuls.
Et appelez-moi Lothar. Plus de chichi entre nous.

Lothar trinque avec Glorianna.

Et bien Glorianna, je crois que nous progressons.
Essayons d'imaginer comment cela a put se dérouler.

Lothar pose son verre sur son bureau, se lève et s'enquiert de différents accessoires. Son chapeau d'officier, une ceinture et son manteau d'hiver en poil de yack.

Imaginons que je suis le montreur.

Il commence à jouer la scène sous le regard de Glorianna.

Allez! Avances animal......

Lothar joue de sa ceinture comme d'un fouet, la faisant claquer dans l'air.
Puis rapidement se vêt de son manteau. Menaçant à présent, un adversaire invisible.

GROAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRRR!!!!!!!!!!!!!!!

Il fait une courte pause.

Imaginons à présent que je suis un officier de la Maréchaussée qui fait ma ronde et qu'au loin j'aperçois un homme attaqué par une bête sauvage.

Il met le chapeau sur sa tête et se met à courir sur place.

Ne bougez pas l'homme, j'arrive.

Il continue à courir et brusquement s'arrête, jouant la terreur, comme angoissé à la vue d'un animal deux fois plus grand que lui. Remet le manteau sur ses épaules et se retourne.

GROAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRRR!!!!!!!!!!!

Lothar laisse au sol le chapeau et le manteau. L'un sur l'autre. Puis reprend la ceinture en main.

NOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNN!!!!!!!!!!!! ARRETES!!!!!!!!!!!!!!

Lothar récupère le manteau et le jette sur lui, comme si le monstre l'attaquait à son tour. Puis brusquement il jette le manteau très loin.

Lothar vient de terminer sa reconstitution.

Voilà comment je vois la scène Glorianna.
Un montreur incapable de maitriser son animal féroce. La bête s'en prend à un homme innocent et se sauve ensuite dans la forêt.
Puis le montreur rejoint le village. Le corps en sang, mais cachant la vérité.

Lothar se rassoit. Reprend son verre et boit une lichette d'alcool de poire.

Qu'en pensez-vous?
Mais il faudrait regarder à présent les restes de vêtements pour savoir ce que représente ce fameux écusson que vous avez vu.
Pourriez vous me montrer cela Glorianna?

l alcool de poire etait délicieuse ./

aprés avoir écouté le résumé de lorhar, celui çi commença à mimer la scéne/

je devais tenir mon sérieux ,mais une grande envie de rire me tenaillait./

apres avoir fini , je lui dit quil y avait de ça , mais que je supposais aussi que cela pouvait s etre passé autrement ./

supposons que votre capitaine croise le montreur de la bete ( qui doit etre l ours vu les blessures )/

celui çi lui demande les papiers de propriétée de l animal , et l acte de payement de la taxe de la bete . le montreur ne pouvant justifier tout ça , votre capitaine le met aux arrets ; le montreur essai de se dérober d ou bagarre , l animal lui par refléxion défend son maitre ./

mais tout cela nous amene toujours à notre soit disant témoin /

oui lothar , je retira de ma sacoche le reste des vétements et les étala sur son bureau , l écusson bien en vue /

[b] je le regardais inquiéte

Lothar écouta l'autre version de Glorianna.

En effet, c'est une autre façon de voir les choses. Et j'approuve ce jugement.

L'Aspirant sortit de sa sacoche les restes de la dépouille. Du sang séché parsemait les lambeaux à peine reconnaissables.
L'écusson bien en vue. Lothar se pencha, on pouvait distinguer très nettement l'emblème aux armes de Vertus. Et cet écusson était à n'en pas douter celui que portait le Capitaine Blancos.
Lothar soupira. Il ne faisait plus aucun doute à présent.

C'est bien l'écusson du Capitaine Blancos, ma chère Glorianna. Je le crains.
Il aura donc périt en combattant ce monstre.

Le problème maintenant, c'est que cette bête est toujours en liberté. Son montreur est en sécurité dans une cellule. Il passera en jugement. Nous avons suffisamment de preuve à présent contre lui. En espérant que la bête puisse nous en donner encore plus.

Mais il faut l'abattre. Car elle risque de faire d'autres victimes, voir de ravager des troupeaux.

Lothar se leva et repositionna son chapeau sur la tête.

Allons trouver le Maire dans son bureau. Nous devons lui exposer la situation.

Les deux Maréchaux sortirent de la caserne sous une chaleur étouffante.
.

ayant fini de débattre sur la situation ; mon lieutnant me dit de le suivre jusque chez le maire

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 04/08/2008

Le Prévôt arriva avec grand fracas dans les locaux de Maréchaussée.
Personne. Le poste était désert.

Scrogneugneu!!!!!!!! Mais où sont-ils passés?

Il inspecta chaque bureau. La salle d'armes, fermée à double tour heureusement. Puis se pencha sur le tableau d'affichage.

Citation :: Sommes de retour dans un instant!

Le Prévôt semblait fort mécontent.

Pfff!!!

entrant dans le bureau , je déposais mes affaires et voulu m assoire pour me reposer un peu /

j allongeais mes jambes et commençais mes reflexions lorsque je remarqua sur le tableau d affichage un message que je n avais pas encore vu ./

je me leva pour le lire /

sommes de retour dans un instant /

cela venait du prevot de vertus /

je faisait les cent pas dans le bureau en priant que lothar ne trainerait pas /

[b]la venue du prevot ne me disait rien qui vaille et pensée que ma journée n etait pas encore finie

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Le Prévôt revint de la cour où il se trouvait pour des besoins naturels. Il vit le Lieutenant, marchant de long en large dans le bureau. Glorianna se mit aussitôt au garde-à-vous à l'apparition de l'homme.

Repos Lieutenant! Repos!

Le Prévôt se posta à deux pas du Lieutenant. L'inspectant de haut en bas.

Où se trouve donc votre Capitaine?
J'ai deux mots à lui dire. Ainsi qu'à vous d'ailleurs.

Le Prévôt ne semblait pas des plus commodes. Et pourtant son regard pétillant laissait poindre un soupçon d’espièglerie.

Vous êtes nouvelle promus il me semble ? N’est-ce pas ?

heu oui monsieur le prevot il y a peu de temps que je suis lieutnant /

son regard inquisiteur me tétanisait , mais j essayais de ne pas le montrer/

ah mon capitaine ne devrait plus tarder, je l ai quitté à la chapelle /

vous pouvez prendre place sur le siége en attendant

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Le Prévôt se détendit en affichant un sourire quelque peu forcé.

Merci Lieutenant.

Il s'assit sur le siège du Capitaine. Avisant du regard les quelques papiers jonchant le bureau.

Dites-moi Lieutenant. C'est un peu le fouillis ici.

Il sortit de sa poche intérieure un parchemin plié en quatre qu’il garda en main.

Vous n’auriez pas un petit quelque chose à boire Lieutenant ? Nous pourrions trinquer ensemble en attendant le capitaine Lothar.

ouicerte ,mais nous avons tellement ete pris ces jours çi avec notre enquéte que nous n avons pas eu de temps à ça , meme de penser à notre propre personne /

je regardais mes vétements poussiéreux, je sentis le rouge me monter chauffer les joues /

j essayais discrétement d en retirer /

bien sure,je sais que le capitaine à une petite réserve de vin du pays/

je pense qu il ne verra pas d inconvénient à ce que je me permette de vous en offrir /

je me dirigea vers le meuble en sortis une bouteille et 3 verres et servis /

mais quelle est l affaire qui vous méne dans nos bureaux ?????/

je commençais a le détailler et je remarquais qu il avait de magnifiques yeux