NOUVEAU FORUM DES DROITS DIVINS

Dja qui se calmer petit a petit entenda le bruits des lourde clefs ouvrir la porte .
Et la a son grande étonnement qui ne voya t'il pas surgir sous ses yeux
dame Fineasse .
Dja ne disa pas un mot il avanca devant les barreaux et metta un certain temps avant de realiser que c'etait bien la jeune femme avec qui il avait flaner dans les jardins publics .
Dja la regarda comme si c'etait la première fois il a trouver très belle puis il reponda a sa question .

Oui sa va, rien ne POURRA ME FAIRE FLANCHER !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Dja cria cette phrase comme pour montrer aux gardes qui lui en faudrait plus pour l'anéantir.
Puis il regarda dame fineasse et lui disa:

Vous pouvez pas savoir comme sa me fait plaisir de vous revoir
J'ai beaucoup repenser a vous vous savez ?
Mais ce n'est pas un endroit pour une dame cet endroit
De plus que ce garde essaye de me mener la vie dur sans doute a t'il recu des ordres allez donc savoir.

Dja fit un sourire a dame fineasse de toute facon ou il etait mieux vallait
prendre cesi en ironisant.

Parlez moi de vous ?
Que faite vous en ce moment ?

Dja voulait prolonger se moment,mais savait de toute facon que les gardes pouvait décider de tout en ce lieu sordide ...........................................

Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 21/02/2008

Federico, le meilleur ami de Dja depuis peu, entra dans la cellule. Il fut étonner de voir une dame en ces lieux. Il s'énnerva :

- Vous vous croyez où hein ? Dans un moulin, dans un bordel hein ? Ma ptite dame va falloir dire aurevoir à vot' tit copain. On l'emmène dans un endroit où le soleil ne risque pas de le gêner pacque comme l'a dit m'sieur le juge faut l'emmener dans l'endroit le plus sordide qu'y a dans cette jolie demeure.

Deux ombres appartenant à deux gardes se pointèrent devannt l'embrasure de la porte.

- Z'inquiétez pas ! J'ferais mon possible pour que son séjour soit des plus agréables. Mon maître me l'a ordonné.

Un sourire ironique et édenté déforma son visage

Elle se tourna et regarda le garde. D'un geste elle l'arrêta et lui répondit froidement.

D'abord pas la peine de me parler sur ce ton, vous n'avez aucun ordre à me donner, ensuite cet homme restera ici et le seul endroit où il partira c'est devant le Roy.

Elle se tourna vers Dja et continua.

J'ai ici une missive de la part du Roy, je suis allée le voir. Si vous acceptez de lui présente des excuses, sincère, devant sa personne, vous pourrait surement sortir d'ici.

Elle le regarda, espérant qu'il accepte, puis se retourna de nouveau vers le garde.

S'il accepte, vous devrais le mener devant sa majesté, se sont ses ordres.

Elle lui tendit la missive, sans un mot de plus.

Citation :: Par Ordre Royal, le Prisonnier Dja54 devra se présenter devant le Roy de France avant d'aller en Prison.
Il devra garder chaînes autour des membres et sera escorté par plusieurs gardes.

Cela est dit,
Louis Ier,
Roy de France

Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 21/02/2008

L'homme fut pris d'une intense envie d'en coller une à la petite présomptieuse. Un horrible tic lui remuait les lèvres.

- Faîtes attention vous ! Un accident ici est tellement vite arrivé, lettre de not' bon roy ou pas !
En tout cas, je vous dis merci de nous l'avoir montrée auparavant.

Il imaginait déjà les gens jaser sur "l'appétit" du roy et il dut avouer que la donzelle n'est pas vilainement tournée.

- Voilà, qu'il choississe, dans tous les cas, nous l'emmenons soit vers le roy soit vers des lieux plus sombres encore ! héhé.
Pendant que j'y pense, vous prenez pas pour une princesse dame, ça attire que des ennui le manque d'humilité.

Une missive arriva aux gardes du cachot où était enfermé Dja.
Il s'agissait d'une missive royale.

Citation :: Geôliers,

Une femme viendra vous porter mande de transférer le prisonnier devant ma personne. Prenez ce papier comme inexistant. Le prisonnier ayant proféré ses dernières insultes, je ne souhaite aucunement le voir souiller mon Palais.
Faites en sorte qu'il connaisse la faim, l'ennui et la souffrance. Peut être deviendra t'il plus sage à l'avenir.

Cela est dit,
Louis Ier
Roy de France

Dja commencait a peine a se sentir a l'aise aupres de dame fineasse qu'une nouvelle fois les clefs retentissérent pour laisser entrevoir l'entrée soudaine de l'infame garde FEDERICO .
il eu un echange houleux avec dame fineasse se qui exeda dja dans une colère alors disa a frederico:

Laisse la tranquille fils de catin ou jte jure que jte tue !!!!!!!!!!!!

C'est alors que le garde federico eu un petit sourire en coin et donna un grand coup de baton dans les cotes de dja suivi de coups de pieds.
Se qui le fesa s'ecrouler par terre de douleur
LE garde federico en profita alors pour lui rattacher les fers aux poignets et lui disant par la meme occasion (Transferer tu va etre) dans un endroit encore plus miteux que cette cellule.
Dja fier se releva difficilement mais se releva puis regarda dame fineasse qui avait assister a toute la scene et lui glissa une phrase avec sa douleur:

Vous inquitez pas dame tout va bien se passer pour moi
Mais malgrès mon profond attachement a votre égard il faut m'oublier !!!!!!!!

Dja fit un signe de la tete a l'infame garde qu'il pouvait y aller,et pour prendre du plaisir federico tira sur les fer pour faire avancer dja sous une pluie d'insultes .
Dja qui quitta la cellule ne se retourna pas en direction de dame fineasse malgrès les paroles qu'il lui avait dit il n'en pensait pas un mot mais son devoir etait de l'oublier car c'etait mieux ainsi .
Puis en quiita la pièce il lacha une dernière phrase :

On a toujours une pensée forte pour quelqu'un qui est loin !!!!!!!!!!!!

Dja disparaissa alors et sur le chemin de son transfère la haine le reprenna le garde federico le tiré dans tout les sens pour faire mal
C'est a cet instant que dja pensa dans sa tete que si ce garde ne le surveillerais pas il le turais de ses mains ..............................

Elle regarda le gardien froidement, ses menaces ne l'impressionnait pas, elle s'approcha et lui répondit.

Si vous continuer, je vais vous remettre moi-même à votre place, alors n'essayez même pas de me toucher avec vos main crasseuse.
D'ailleurs je ne sais pas ce qui empeste le plus, cet endroit ou vous-même.

Elle le fusilla du regard, puis continua.

Et à mon avis une princesse ne se comporterait pas comme je le fais.

Elle se tourna ensuite vers dja et lui lança.

J'espère que tout ira bien pour vous, et essayer de ne pas vous faire trop remarquer, cela vous permettra de sortir plus vite de cet endroit........

Le gardien la bouscula pour enchainer dja et elle en profita pour lui donner un bon coup de coude dans les côtes, devant sa grimace, elle ne put s'empêcher de sourire..
Elle s'en alla ensuite, souhaitant quitter au plus vite cet endroit.......

Le comte avait prit soin d'éviter les rues trop fréquentées pour ne pas attirer l'attention sur lui et son précieux bagage. Le sommeil de Blanche était toujours profond et son calme tranchait avec l'inquiétude d'Agius. Elle ne s'était pourtant pas réveillée durant le long chemin qui séparait la forêt aux murs noirs de la prison de Paris. Lorsque la grande grille d'entrée se présenta devant eux, un signe de désespoir pour beaucoup, Agius posa pied à terre. Les deux gardes l'interpelèrent respectueusement :

- Monsieur le comte ? Que nous vaut le plaisir d'une telle visite... Elle n'est pas de courtoisie, je suppose.

- En effet, emmenez le petit trésor que je porte sur ma selle. Mais ne la touchez pas... Elle m'est trop précieuse pour l'instant. Néanmoins gardez-la dans une pièce assez humide et sombre pour qu'elle ne soit pas accomodée par la chaleur ou la lumière. Comme vous le voyez, je me soucie de sa santé. Quelqu'un viendra en ma personne pour voir si mes indications ont bien été suivies.

Les deux gardes emportèrent la dame qu'ils ignoraient être la promise du Roy et l'emmenèrent au fin fond de l'immense édifice, dans les souterrains... Ils la jettèrent sans ménagement dans une cellule avant de refermer la porte derrière eux.

Ce matin, Blanche s'était levée de bonne heure. Elle était toute excitée de savoir qu'aujourd'hui, le Roy venait déjeuner dans la demeure de Père.
Elle n'avait pas dormi de la nuit, essayant encore et encore de s'imaginer à quoi ressemblait un Roy, à quoi sa Majesté Louis, ressemblait.
C'était pour la première fois que sa famille recevait un invité de marque, ici, à Cloussay... Mais quel invité était-ce donc !
Hélas, elle savait que le Roy n'était pas venu pour elle, même si les rumeurs affirmaient qu'il cherchait une épouse...
Oui, il était venu car il parcourait le Royaume pour une affaire que seul Père connaissait.
Ahhhh ! Elle avait tellement hâte de le rencontrer !
Elle sauta de son lit, et partie se préparer, escortée par cette chère Marguerite.

Quelques heures plus tard, elle était enfin prête, et toute la famille n'attendait que Lui...
Mais ces personnes aimaient, parait-il, se faire attendre. Ainsi, la petite Blanche et ses pauvres parents dûrent patienter encore et encore.
Un messager vint finalement les prévenir que le Roy avait trouvé refuge dans un domaine proche.
Profondémment déçue et ne souhaitant pleurer ce "malheur" avec Père et Mère, elle décida de partir se prommener dans le parc.

C'était une magnifique journée mais tout le monde, y compris les domestiques, les chevaliers, et les artisans semblaient malheureux que le Roy ait préfèré un seigneur voisin, à la famille de Cloussay.

Elle marchait paisiblement le long d'un chemin, s'emplissant de la chaleur du soleil, s'ennivrant du parfum de ces quelques fleurs qu'elle avait ramassé ; lorqu'un grand cavalier, accompagné de deux soldats, arborant des armoiries qui lui étaient alors inconnues vint à sa rencontre.

Bonjour jeune et belle damoiselle,
Auriez vous l'amabilité de nous indiquer la route conduisant à la demeure de la famille de Cloussay ?

Elle sentit ses joues s'empourprer...mais elle ne réussit à dire mot. Il dût certainement s'en sentir flatter, car il s'empressa de rajouter :

Et aurons nous la chance de connaitre le nom de cette belle princesse ?

Blanche... Murmura t'elle dans un souffle, avant de se reveiller.
Sa tête lui faisait affreusement mal...Ses jambes également.... Que s'était il passé ? Ou était elle ?

Elle releva la tête pour scruter l'endroit dans lequel elle était...
Mais tout était sombre, tout était noir... et une odeur immonde l'empêchait de respirer correctement.
Elle essaya de se relever, mais une fois sur ses deux jambes, elle s'éffondra de nouveau sur le sol.
Elle se sentait faible...Elle se sentait fatiguée... Comment avait elle pu en arriver là ?
Ou était donc ce merveilleux conte de fée dans lequel l'avait entrainée Louis, depuis leur rencontre ?

Elle porta fébrilement la main à son front et poussa un petit cri en s'appercevant que la substance qui souillait sa main, était son propre sang.
Une série d'images lui revinrent soudainement. Comment...? Comment avait il pu lever la main sur elle ?
Elle était la R....Elle baissa les yeux.... Non... Elle était faible...tellement faible.
Elle sentit des larmes couler le long de ses joues... Ou était Louis....?

Elle ferma les yeux un instant et se laissa fondre en larmes...
Quelques minutes plus tard, elle sombra de nouveau, dans un profond sommeil.

Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 21/02/2008

Te vlà bien... Toujours en train d'aller de gauche à droite pour transmettre des messages ou pire encore rencontrer des moribonds... Pas de chance c'était bien le cas aujourd'hui.. Pourquoi j'ai accepté ? Dieu sait pourtant combien je déteste les prisons... Trop de mauvais souvenirs... Mais bon la volonté du comte avant tout !

Adresse un bon sourire aux gardes et montre leur le papier. C'est fait... Allons voir la dame dans sa cellule... Hop hop... quelques marches pour être plus proche des enfers... Voilà c'est bien là... Le garde fait quelques tours de manivelle avec sa clé ; la porte s'ouvre... On prend une bonne bouffée d'air un peu moins vicié et on entre !... Triste grincement quand elle se referme...

Tiens, la ptite dame dort. Toute mignone prise au dépourvu dans les bras de Morphée. Rien à dire pour désacraliser un noble, rien de mieux que le sommeil ! On est tous égaux pendant le roupillon. Bon, je me lance, j'éclaircis ma gorge et je ramène la dame à la dure réalité.

- Hum, hum... Vous me voyez désolé d'vous réveiller, mais le comte de Paris se montre bien soucieux de vot' santé et de vot' bien être... Alors je prends vos nouvelles...Il veux aussi vous dire que la suite des opérations est plutôt favorable... enfin de son point de vue je veux dire...

Cela faisait bien longtemps que personne n'était venu en ces lieux. Les cachots étaient vides depuis bien longtemps. Brian n'était jamais entré dans ces cachots...Mais il savait qu'il s'y était passé des choses...des choses horribles...

Deux soldats entrèrent derière Brian. Depuis que Brian était capitaine, il avait les clés des cachots, au début il se demandait à quoi sa lui servirait, jamais il aurait pensé devoir y emmener un des ses ancien soldat.

Les soldats tenèrent fermement Cyclouan. Brian ouvrit une cellule, assez grande, et les soldats y jettèrent comme un sac de patates l'homme.

Bon, je ferais surveiller la cellule. Tu attendra la pour être juger...On te nourrira t'inquiète pas. Bon courage.

Brian fixa encore un instant Cyclouan dans sa cellule.

Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 13/12/2007

cyl se fit jeter dans une cellule

Mon capitaine !!!

puis cyl s arreta apres tout ca ne servait a rien maintenant cyl donna un coup de pied de rage dans le banc de la cellule

puis se retourna encore une fois vers le capitaine qui l observait

c etait juste pour faire une blague !!!
ca m erite pas que l on m enferme ici !

Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 13/12/2007

le capitaine semblais etre partit sans lui repondre

pffffffffffff me voila dans des beau draps

cyl se retourna et inspacta d un peu plus pres cette celule y avais pas grand choses et il fesait bien trop sombre puis il ne persevait que des bruit au loin

il regarda par les bareau pour voir si il apercevais quelqu un ou un autre prisonnier ..... ca avais pas l air

cyl s assailla pres de la grille d entree de la celule pour profiter le plus possible de la lumiere du couloir.

il ne put s empecher de sourir quand il repensa a la tete de la juge toute sale

hehehe au moin j aurais un truc a raconter

mais son sourir s arreta en regardant encore cette maudite cellule
pffff combien de temps je vais rester ici moi

il se souvin que brian avait parler d un proces, un proces pour un sceau renverser n importe quoi ! qu est ce que je vais bien pouvoir y dire a ce proces moi ...

cyl commencais a avoir fain puis il avait pas envie de rester bien sagement la a ce taire autent ennuyer son monde il se leva et s aprocha de l entree

EEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEH
EEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

Y A QUELQU UN ICI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

il se dit que si il simplement qu il a fain personne ne viendrA
EEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEH
J AIIIIIIIIIIIIII BESOINNNNN D AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDDDEEEEEEEEEEEEEEE

Un messager se présenta devant les gardes de la prison, apportant une missive de la Comtesse consort Leane de Galicy.

Citation :: Message aux Gardes de la prison de Paris.

Messire,
Je vous prierai de bien vouloir, sur le champ, déférer le Sieur Cylouan au tribunal de Paris, où il est attendu pour témoigner dans l'affaire qui l'oppose au Juge Lucyle.

Leane de Galicy, Comtesse consort
Procureur de Paris.

Le garde ouvrit la porte de la cellule, entra pour mettre le prisonnier aux fers et l'entraîna au dehors.

En route, on t'attend au tribunal. J'connais un bourreau qui va êt'content. Ca fait longtemps qu'il a pas travaillé té.

Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 13/12/2007

cyl regarda le garde rentrer dans sa cellule

eeeeeeeeet pas besoin de matacher j ai tuer personne juste une ptite blague de rien du tout

cyl voyant que l homme ne l ecoutait pas il lui cracha a la figure pour montrer son mecontentement.

cyl se fit attacher les poignet et n eu pas d autre choix que de suivre le garde.

pfffff qu est ce que je vais bien pouvoir leur dire moi!

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[RP] Le cachot