Une missive adressée au régent fut porté par un Lombard. Elle venait de Talleyrand...

« Vôtre auguste Majesté,

Je vous prie avant tout d’excusez la bienséance car j’ai coutume d’en faire fis lorsque j’écris, au fur a mesure de mon emportement littéraire.

Bien que nous nous soyons encroisé en taverne, il me semble intéressant de me représenter : Charles Maurice de Talleyrand Périgord, plus communément appelé Talleyrand et surnommer par les mauvaises langues, le diable boiteux.

Boiteux, car j’ai un pied bot qui m’interdis toute autres voix que celle de la politique et de l’église. Ayant peu d’affection pour cette deuxième, j’espère et désire vouer ma vie à la France et à son Roi. Etant de l’une le chalant et de l’autre le féal. C’est céans un dessein qui se joue et j’espère que vous n’y serez pas sourd.

Je tiens avant tout a salué le geste qui vous fit permettre a tout homme, outre son passé et ses affinités, et a toute femmes et de se présenter a vous pour reprend le poste qui est au sens de la présente missive : celui de comte de Paris.

L’exercice est ici de vanté mes mérites. Je suis depuis peu résidant de cette bonne ville de Paris, capital de France et du monde que l’histoire place parmi les cités aux grands hommes.

La noblesse est avant tout une habitude, comme le fit Feu Nicolas de Machiavel, je vais décrire les devoir du Prince en allégorie du Comte.

Le Prince doit savoir faire valoir ces actions et être vertueux. Pour ce qui est de la vertu, j’aide depuis peu Fra Thoma à rebâtir la Sainte Eglise. Faire valoir ces actions n’est qu’une question de charisme de plume, je ne puis juger de mon aura mais j’espère que vous trouverez ma plume bonne.

Le prince doit être clément mais savoir faire preuve de sévérité. Je ne suis guère homme du supplice et ma grande mansuétude est sans doute un défaut de ma personne. Mais que l’on touche a l’entité complète et unique de la France je ne puis l’accepter.

Le prince peut agir envers ses sujets selon comment il les perçoit. Je ne répondrais que par mon adage : Malheur au prince qui me néglige !

Le prince doit être juste et équitable en toutes circonstances. L’amitié et l’amour sont deux sentiments forts nobles, mais j’estime qu’ils ne doivent point influencer les jugements du prince. L’homme qui faute doit être puni, qu’il soit frère ou inconnu. Seul l’amour du Christ et l’amitié du Très Haut doivent interférer.

Le vrai prince est celui qui garantit la justice et pèse la raison avec soin. Les décisions prisent sur un coup de tête n’ont aucune valeur intellectuel. Tout influence tout, il faut donc perpétuellement s’en référer au anciens et à Dieu, peser chaque décisions, allocutions et prisent de paroles.

Le prince doit être sage, savant, généreux, plein d'honneur et de sapience, irréprochable en somme. Ce serait mentir que de me dire modèle de vertu mais la plupart des point aborder son déjà dissertés plus hauts. J’ajouterais juste que je pense avoir mes références et que je suis lettré.
Le prince doit être plein de générosité et de libéralité. Ma grand mansuétude en témoigne et plussoie ma générosité libérale. Là réside surement mon point faible. Mais j’y réponds en disant que le Prince doit être bien entouré.

Le prince doit se montrer fiable, familier et agréable avec ses gens, quel que soit leur rang. Le peuple sert le prince et le prince sert le peuple. Ceci explique cela.

Le prince doit montrer de la modération, la patience et le sage conduit de sa vie. Comme je dis si souvent, tout ce qui est excessif est insignifiant.

J’arrête ici l’exposer des vertus qu’un Prince se doit d’avoir et qui nous furent exposer par Machiavel, Aristote, et moult autres auteurs de renom que j’affectionne.

Je joins, sans familiarité aucune, une fleur de lys blanche à la présente, symbole de Vôtre royale puissance.

Dans l’espoir de vous avoir convaincu, votre féal,

Charles Maurice de Talleyrand Périgord plus communément appelé Talleyrand. »

Citation :

A sieur Talleyrand, candidat à la courrone du Comté de Paris,

Nous, Jehan Ier de Vergy, Régent de France, accusons réception de votre candidature. Veuillez nous excuser du temps que nous avons pris pour cette réponse, mais nous souhaitions d'abord faire notre choix. Choix qui à présent, est fait.

Nous vous déclarons donc que votre candidature pour être le futur Comte de Paris, est rejetée.

Nous avons dis en ce vingtième d’août de l’an de Grasce MDLXI, pour la grandeur du Royaume !

Jehan Ier de Vergy,
Régent de France.

Une réponse vint le lendemain...

« Vôtre majesté,

Je ne cache pas l’once déception qui accompagne la présente missive, au vue des décisions prises concernant le grand comté de Paris. Voir Paris privée d’un bon maire ne me réjouis guère, sans vous offenser. Mais soit, le but premier n’est pas de d’honnir vos décisions qui sont, j’en suis sur juste et qui, bien que pour l’instant erronée, se feront saluer par l’histoire et la postérité retiendra cela comme sagesse.

Non, je vous écris pour vous convier à être sacré, à Reims, ville choisie par Clovis, pour entériné d’une mission divine vôtre régence qui, faute de descendance laissée par Louis 1er , se devrait logiquement de devenir règne. L’archevêque de Reims poserait sur vôtre auguste chef, la couronne royale, symbole de vôtre élection par Dieu et qui vous donne accès aux cieux, vous vêtirais du manteau qui relèvent le coté ecclésiastique du Roi, vous donnerai le Lys ou arme de France, symbole de nôtre belle nation. Vous serez oint du chrême, vous faisant ainsi représentant de Dieu en France. Et cela pour continuer une tradition capétienne. Dynastie des plus grands rois de France, trop oublié par nos contemporains.

Et si cela vous sied de paraître si beau que Philippe le Bel, répondez par l’affirmative, afin que nous puissions rendre vôtre règne légal et grand. Car vous n’avez, dans l’état actuel des choses, aucune légitimité sur le royaume spirituel français et donc aucune autorité sur son peuple... mais n’étant guère mauvais bougre, même si boiteux comme le diable, je ne rependrais point cette informations parmi le peuple et la noblesse - qui d’ailleurs m’ébaubissent de leurs manquent d’analyse ou de leurs couardise que sais-je –car j’aime la France et la souhaite unie, sous le règne d’un baronnet ou d’un grand roi, que peu me sied.

La chose publique est importante, mais ne négligeons pas la chose privée, qui bien souvent changea l‘histoire, comme sous Henri VIII d’Angleterre, je n’ai d’ailleurs pas besoin d’autres exemple, tant celui-ci est explicite. Je reviens donc, comme je le fis il ya peu de manière sommaire et avec un manque éhonté de poésie, puisqu’en taverne, mon adjuvat pour donner a vos institutions une bonne base. Notamment a la Pairie de France, oui je vous sens déjà rougir de colère et vous dire qu’un noble privée de droit d’ainesse comme moi ne peut avoir accès a la pairie sans êtres vassal du Roi, mais vous n’en ferez rien car vous connaissez fort bien vos institutions et savez qu’il ya existe un pair ecclésiastique ou aussi nommé grand aumônier de France. Vous n’êtes pas sans savoir que j’ai un excellent rapport avec l’église, en étant par ailleurs un de ses principaux cardinaux. Voila qui justifie donc la candidature et permettra de régler de façon plus simple, le sacre a Reims.

Avec un certains respect,

Charles Maurice de Talleyrand-Périgord plus communément nommé Talleyrand, cardinal de la Sainte Eglise et féal de Sa Majesté.

Seing de la Famille de Talleyrand-Périgord
»

[La réponse arrivera très bientot, mais comme tout le monde j'ai une vie IRL. Et il faut savoir qu'avec sa récente ascension, Jehan a beaucoup de travail et ne peux, ne pas pouvoir répondre de suite. ]

Citation :

À Charles Maurice de Talleyrand-Perigord,

Nous, Jehan Ier de Vergy, Régent de France, accusons réception de vostre missive. Nous n’avons pris le temps de répondre de suite, le travail étant actuellement de mise à la pairie. De plus, vous n’estes pas le seul à nous écrire, nous recevons des missives de part tout le Royaume, et nous nous devons de répondre à toutes.

Concernant un quelconque sacre, nous n’en voyons pour le moment pas la priorité, la priorité à l’heure actuelle est de remonter le Royaume, nous sommes pour le moment seulement Régent, si nous devons nous faire sacrer Roy, cela arrivera en temps et en heure. Nostre règne n’a pour le moment rien d’illégal, un Régent n’ayant point besoin de recevoir la cérémonie du sacre tant qu’il n’est pas Roy.

Concernant la Pairie, si Pair Ecclésiastique il doit y avoir, celui-ci sera nommé en tant et en heure, mais pas actuellement. Comme je vous l’ai déjà fait remarqué, la priorité est à remonter la pente de déclin que la France à subi ces derniers mois.

Nous avons dit en ce vingtième d’août de l’an de Grasce MDLXI, pour la grandeur du Royaume !

Jehan Ier de Vergy,
Régent de France.

Citation :

Vôtre sérénissime majesté,

Loin de moi l’idée de vous honnir ou de faire appel à vôtre décision, ni de souligner vôtre manque de lettrisme, mais je me dois, en homme de foi, vous rappelez certaines choses qui subsistent depuis Hugues Capet.

Vous n’êtes certes pas encore roi, et je vous avouer d’ailleurs ne pas comprendre pourquoi au vue du manque d’héritier de l’hérésiarque suicidaire qui se crut souverain de France. Mais vôtre régence vous place justement au dessous d’un roi, les devoir qui les incubent donc, sont d’autan plus important dans vôtre posture.

Pourtant, je vous vois reniez ses devoirs un à un et je m’en ébaubis, voir m’en inquiète. Vôtre règne est illégal par cela que personne ne vous a reconnu régent de France mise a part vous-même. Je ne vois nulle part de lien vassalique vous liant à la noblesse Française. Ainsi donc, juridiquement parlant, les ducs et comtes du royaume sont souverain légaux de leurs fiefs et vous n’avez rien à redire à quelconques de leurs décisions. Ils n’ont ni prêter serment ce qui est anormal en tant que pair pour certains, ni prêter allégeance, ce qui est anormal en tant que noble.

Ensuite, je vous avoue avoir été choqué par une partie de vôtre réponse. Et si je ne vous savais fort pieu, j’aurais pu vous croire hérétique. Vous voulez faire remontez la France au rang des grandes nations, hors vous voulez le faire sans l’église – pis ! – vous assurez qu’icelle est de second ordre et que bien d’autres choses, d’une bien plus grande importance, sont à régler. Mais qui a-t-il de plus important que Dieux ? Je réponds sans craint : rien.

Les plus grands rois furent capétiens car ils comprirent la mission divine qui était donnée à un souverain, ils comprirent que l’image de la France passe par iceux !

Je vous ai proposé de légalisé d’un point de vue historico-ecclésiastique vôtre position... je vous demande d’y réfléchir à nouveau.

Avec l’espoir que le Très Haut vous fera œuvrer pour la France.

Son éminence, Charles Maurice de Talleyrand Périgord.

Creve salope

Moi Jehan de Vergy nique la mère de Talleyrand !

t'aurais du dire " Nous Jehan de Vergy niquons la mere à Talleyrand !" tu perds de ta superbe

Désolé, j'ai fait un stage dans le neuf trois depuis, ca m'a changé.